Hostname: page-component-848d4c4894-wg55d Total loading time: 0 Render date: 2024-06-11T00:27:04.789Z Has data issue: false hasContentIssue false

The Watcher Betrayed and The Fatal Woman: Some Recurring Patterns in Zola

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

John C. Lapp*
Affiliation:
University of California, Los Angeles 24

Extract

When critics compare an author's early works with those of his maturity, it is usually to emphasize his final achievement. In one extreme case, such a comparison has even been urged as a source of moral uplift for struggling authors. When Charpentier brought out in 1880 a new printing of Zola's first novel, La confession de Claude, a critic advised young writers to read it and take heart, since the fact that the author of Nana could have written anything so abysmally bad twentyyears before proved beyond question that lamentable beginnings did not mean inevitable failure. Too seldom have critical comparisons of this kind gone beyond this demonstrative act, and one might reasonably question their worth when they fail to do so, for after all, if a work is a masterpiece should not that fact be discernible from the work itself?

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1959

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

1 J. R. in Le Livre, 11 Nov. 1880; repr. in La confession de Claude in Œuvres complètes, ed. Bernouard, p. 149. All page references to works of Zola are to this edition.

2 Emile Zola (Oxford, 1953), p. 27.

3 “The Art of the Flash-Back; Violent Technique in Les Rougon-Macquart, PMLA, LVII (Dec. 1942), 1137–59, and ”Character-Types of Scott, Balzac, Dickens, Zola,“ PMLA, LXII (March 1947), 213–232.

4 For a similar use of anticlimax see my article, “The Dénouement of Mérimée's La chambre bleue,” MLN, LXVI (1951), 93–98.

5 Although Zola does not re-use this type of scene, it would be interesting to trace it through other writers. The famous passage in Proust's La prisonnière, where the narrator observes the sleeping Albertine, has recently been discussed by H. A. Grubbs and compared to Valéry's poem La dormeuse (PMLA, LXXI, Dec. 1956, 900–909). But Grubbs's article, while interesting and valuable, does not bring out the really essential element in this theme: the writer's view of the relationship between the sexes. It is, to say the least, significant that Proust goes counter to tradition, believing that he had attained really complete possession of his captive love only on those occasions when he watched her sleep. Valéry, like Zola, sees in the woman asleep an enemy, imperturbable and somehow invulnerable. By an odd coincidence the American poet Robert Fitzgerald, in The Mills of the Kavanaughs, has written a scene closely similar to the one in Madeleine Féral. It seems likely that an examination of similar patterns in different authors as well as in a single author would be a fruitful procedure for critics.

6 La morte, la carne e il diavolo nella letteratura romantica (Milan, 1930), English trans. Angus Davidson, The Romantic Agony, 2nd ed. (Oxford, 1950). References are to this edition.

7 See my article, “Zola et la Tentation de St. Antoine,” in La Revue des Sciences Humaines (Oct.-Dec. 1958), pp. 513–518, for a discussion of Zola's debt to Cézanne's painting of the same name.

8 Nouvelles Acquisitions françaises, 10313, foil. 341–342.

9 A comparison of the passage in Zola's notes and the description is instructive. Renan wrote: “Un enlacement de victimes navrés à mort se dénoue à ses pieds… On se dirait qu'ils se sont rués sur un bücher volontaire. L'hommage de leur vie que ces guerriers, ces princes, ces poètes, adressent en vain à l'idole errante se lit sur leurs fronts… le tableau respire le carnage et la volupté” (quoted by Praz, p. 296); Zola noted: “Le c… dans toute sa puissance; le c… sur un autel et tous sacrifiant devant. Dès le premier chapitre, je montre toute la salle prise et adorant: étudier les femmes, étudier les hommes devant cette apparition souveraine du c… Tout ce qu'elle dévore, elle mange ce qu'on gagne autour d'elle dans l'industrie, dans l'agio, dans les hautes situations, dans tout ce qui rapporte. Et elle ne laisse que de la cendre” (N. A. fr., 10313, fol. 193).

10 N. A. fr., 10313, foil. 192–193.

11 Here is Céard's sketch. Were it not for La curée, onp would be tempted to attribute Nana's Lesbianism to Céard's influence:

C'était un des plaisirs des longues journées d'hiver. Dans un appartement capitonné de soie d'une teinte expirante, le lustre et les appliques allumés au milieu de la nuit factice des rideaux tirés. Elle se coiffait longuement. Et, tandis que son amant, sur un canapé bas, s'étendait en fumant de rêveuses cigarettes, elle, les jambes chaussées de bas mauves envahissant à demi les cuisses, les pieds bottinés jusqu'à la mi-jambe, le ventre nu, le torse nu, la gorge nue, elle s'approchait de son armoire à glace, en souriant au reflet de sa beauté que rosaient par derrière les flammes d'un grand feu. Et doucement, comme savourant la splendeur de son corps, perdue dans la contemplation des lignes correctes de sa chair, d'un geste voluptueux, elle s'envoyait d'amoureuses salves de baisers. Peu à peu, peu à peu, sa main descendait, et pendant que le visage prenait une sensuelle expression de douleur, c'était, dans le miroir à double biseau, le rondement des doigts, à la grâce lesbienne d'une Vénus de Médicis obscène. (N. A. fr., 10313, fol. 247, quoted by J. H. Matthews, Les deux Zola [Geneva: Droz, 1957], pp. 57–58)

Zola's urge to attenuate may have made him cross out in the manuscript the following lines on Muffat's thoughts: “Le sexe de la femme rayonnait comme un soleil, dans l'éblouisse-ment de son désir, avec la toute-puissance fatale d'un Dieu. Sans doute tout allait crouler. Eh bien! tout croulerait, ce baiser le gâterait jusqu'au moelles, corromprait les siens, désorganiserait son petit coin du monde. Mais il ne pouvait pas faire que cela ne füt point. Il goütait à se perdre des jouissances aiguës de Catholique que l'enfer attire” (Nana MS., fol. 267, J. P. Morgan Library).

12 N. A. fr., 10319, fol. 274.

13 N. A. fr., 10294, foll. 82–99.

14 Or submerged it so completely that it escapes notice. This is all that comes of Zola's note, quoted above: “Des cercles bruyants, au pied des platanes, discutaient; des amis s'isolaient, deux à deux, dans les coins, épiés par quelque directeur caché derrière les rideaux de sa fenêtre” (La faute de l'Abbé Mouret, p. 118).

15 N. A. fr., 10282, fol. 337.

16 Ibid., foil. 237, 222.

17 N. A. fr., 10319, fol. 253.

18 A. Lanoux, Bonjour, M. Zola (Amiot-Dumont, 1954), p. 20.

19 Paris: G. Carré, 1896. (Saint-Paul used the anagram-matical pseudonym “Laupts.”) Saint-Paul says that the young man read his volume and wrote him a letter containing new observations which he intended to publish. In his letter Zola's correspondent shows remarkable perspicacity, noting for example that Balzac's La fille aux yeux d'or does not really come to grips with the question: “Sarrazine aime vraiment Zambonelle, mais il le croit femme et cesse de l'aimer après avoir découvert la vérité” (p. 48). And despite Zola's reticence in La curée, he correctly identified Baptiste's proclivities: “Vous-même… dans votre admirable Curée, n'avez fait que toucher, dans la personne de votre Baptiste, à un des plus affreux vices qui déshonorent l'humanité. Cet homme-là est ignoble, car la débauche à laquelle il se livre n'a rien à voir avec l'amour et n'est que chose absolument matérielle, une question de conformation que les médecins ont plus d'une fois observée et décrite.”

20 Laupts, A la mémoire d'Emile Zola (Lyon: Rey, 1907), p. 10.

21 E.g. “Veux-tu que je te dise, eh bien! tu es un… Et elle dit le mot” (Tliérèse Raquin, p. 220); “—Tiens, veux-tu savoir, tu es une… ! Il dit le mot” (La curée, p. 221).

22 Originally entitled Une histoire d'amour. The MS is in the Houghton Library. It is interesting that a passage, deleted by Zola, in which Julien watches Thérèse dressing, closely resembles the scene in Nana's dressing-room: “D'un geste souple, elle avait retiré son corsage, et elle procédait à sa toilette, les épaules nues, les bras nus, livrant toute sa nudité de jeune fille, que la flamme des bougies moirait de rose, pareille à une soie fine. Et elle ne se pressait pas, toute ruisselante d'eau, odorante dans la fraîcheur du bain, s'es-suyant d'une main soigneuse qui s'attardait sur les rondeurs de sa chair.”

Erroneously stated by Maurice LeBlond to have been drawn from “une nouvelle de Casanova” (Contes el nouvelles, ii, 659). The episode in Casanova is a variant, considered apocryphal by some editors. Zola could have read it in any one of the Paulin editions published after 1833. Casanova's heroine, Dolores, is actually closer to algolagnia than Zola's, since she apparently kills her lover during intercourse. Casanova, after swearing on a crucifix to do her bidding, opens the bed-curtains and sees “un cadavre d'homme, jeune et d'une figure charmante; le désordre de ses vêtements et de sa position sur le ht indiquaient que la mort lui avait été donnée dans une de ces situations où on l'attend le moins” (Mémoires de J. Casanova, Ed. de la Sirène, 1933, Variantes, ii, 285–287; 288–289). That Zola should have made Thérèse kill Colomban in a playful tussle is another odd example of his reticence.

23 “The Perils of Chastity,” 11 Dec. 1954; since repr. without change in Anthony West, Principles and Persuasions (New York: Harcourt, Brace, 1957), pp. 134–138.

24 French Studies, x (1956), 367–368.