^{page 23 note 1} Elle comprend: MM. J. Cl. Pauvert, ethnologue; A. Hauser, sociologue ayant pratiqué les techniques de la sociologie industrielle et de la sociométrie; M. Soret, ethnologue entraîné aux méthodes d'étude démographique.

^{page 25 note 1} Cf. Sautter, G., ‘Aperçu sur les villes “africaines” du Moyen-Congo’, dans L'Afrique et l'Asie, xi, 1951, pp. 34–54.Google Scholar

^{page 26 note 1} A Bacongo, la population révèle ‘76% de moins de 30 ans’; et l'âge moyen des ‘hommes’ paraît encore plus bas: 23 ans 6 mois.

^{page 28 note 1} Soret, M., Aspects démographiques de Poto-Poto; étude inédite, 1951.Google Scholar

^{page 28 note 2} A Bacongo, les faits sont moins accusés: un léger déficit se marque aux classes d'âge de 9 à 18 ans; le sex-ratio de l'ensemble de la population est de 885.

^{page 29 note 1} Le mbongi est, au village, le lieu où mangent ensemble les homines d'un mème groupement familial.

^{page 30 note 1} Système par lequel une partie déterminée de la solde mensuelle est automatiquement prélevée et expédiée à un destinataire précis.

^{page 30 note 2} Cf. M. Soret, op. cit.

^{page 31 note 1} Chants recueillis par M. Bernard Mambéké.

^{page 32 note 1} Inspection du Travail, Rapport annuel de 1949.

^{page 32 note 2} Inspection du Travail, Rapport du Territoire du Moyen Congo, 1949.

^{page 33 note 1} Une étude détaillée demandée par une revue préparant un numéro spécial sur le Travail en Afrique Noire est sous presse: G. Balandier, ‘Le Travailleur africain dans les Brazzavilles Noircs’.

^{page 34 note 1} Les éléments de cet article ont été utilisés dans une conférence prononcée à Paris durant l'année 1951, à là Société des Africanistes.