page 81 note 1. Lille, Facultés Catholiques, 1932. ; in-8°, XXXIII-462 p., 63 photographies hors texte, 32 cartes, dessins et plans ﹛Mémoires et travaux publiés par des professeurs des Facultés Catholiques de Lille, fasc. XXXIX).

page 82 note 1. Je note encore d'intéressantes observations sur les noms de famille, très variés dans la plupart des communes de la moyenne Garonne, à la seule exception des bourgs de bateliers où, au contraire, un grand nombre de ménages, à l'intérieur de chaque agglomération, portent le même nom (p. 161 et 383). Nous sommes par là ramenés à un problème dont j'ai déjà, ici même, cherché à indiquer l'intérêt (cf. Annales, t. IV, 1932, p. 492, n. 1). Disons bien : problème, et pas davantage. Car d'expliquer sans plus, comme le fait M^r Deffontaines, la bigarrure de patronymes par le « brassage » de la population, c'est aller trop vite en besogne : jusqu'à ce que des enquêtes, poursuivies dans différentes régions, nous aient fourni les matériaux d'une étude comparée suffisamment étendue, toute conclusion demeurera sans base solide.

page 83 note 1. Cf. à propos de la thèse de M^r Gibert, les observations de Lucien Febvhe (Annales, t. IV, 1932, p. 389 et sulv.), de M^r Henri Baulio (Bulletin de la Faculté des lettres de Strasbourg, 1932, p. 53-54) et les miennes propres (Revue de synthèse, t. 53, 1932, p. 83-84; — à propos de celles de M^r Blacne, le compte rendu de Lucien Febvhe, dans Annales, t. V, 1933, p. 393.

page 84 note 1. Il mangue au graphique de la p. 91 — courbes de la population de quatre départements garonnaïs — un élément de comparaison essentielle : la courbe globale de la France ; les particularités du phénomène régional ne sauraient ressortir que s'il est mis en regard du phénomène national. Le fort pourcentage de mortalité (p. 106) s'explique certainement par le grand nombre des vieillards, suite de la dénatalité. Sur cette dernière, bien des indications justes. Mais l'esprit de prévoyance, présenté comme une suite des transformations économiques — et mis en lumière, d'une façon très intéressante, à l'aide des statistiques d'assurance — ne suffit pas à tout expliquer. La nouveauté est aussi que le paysan ignore moins que par le passé certaines réalités physiologiques.

page 84 note 2. Dans l'étude de la vie de relations, on relève aussi de curieuses lacunes : presque rien sur les chemins de fer ; rien sur la circulation automobile. On aura peine à croire qu'en l'an de grâce 1932 les routes de l'Agenais n'aient vu encore passer que des carrioles.

page 84 note 3. Cependant je ne crois pas avoir vu citée l'Histoire -de l'urbanisme de M^rLavedan, où il est traité longuement des bastides et particulièrement de Montauban ; l'omission est singulière.

page 85 note 1. Cf. Annales, t. III, 1931, p. 593 (pour la Meuse), et t. V, 1933, p. 83 (pour le Rhin).