1. Antoni, Carlo, L'historisme, traduit de l'italien par Alain Dufour, Genève, Droz, 1963, 125 p.Google Scholar

2. Et aussi, ne l'oublions pas, par Chateaubriand, dont la philosophie de l'histoire mériterait, à elle seule, toute une étude.

page 1296 note 1. Et n'est-ce pas d'ailleurs là qu'est l'explication de cette floraison historiciste dans une Italie méridionale qui assiste au processus d'unification nationale sans y participer vraiment ?

page 1296 note 2. Le « crocianisme » de M. Antoni semble obéir, du reste, à de curieuses destinées, puisque la « Conclusion de l'auteur », qui s'achève sur un appel à la « personne humaine » — bien abstraite — de Kant, tente de mettre historicisme et crocianisme au service de la rénovation tardive d'une « tradition du droit naturel » qui correspondrait à un » moment éternel de notre esprit » !