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Mon « Éducation Sentimentale »

Published online by Cambridge University Press:  26 July 2017

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Lorsqu'on se voit doté, comme moi en ce moment, du droit, qui est aussi un privilège et un honneur, d'entretenir ses collègues et ses amis de ses propres affaires, on doit bien réfléchir avant de choisir son sujet. Heureusement, il y a des précédents. Certains de mes aînés ont décrit les chemins bien curieux qui les avaient conduits à l'étude du passé. D'autres ont essayé de donner un aperçu de leurs opinions sur ce qu'est et ce que devrait être la discipline à laquelle ils se sont consacrés. Enfin, nous avons souvent entendu dans ce genre de discours un examen de conscience où les projets étaient confrontés avec leur réalisation. Et cette dernière solution apparaissait généralement la plus triste.

Type
Métier d'Historien
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Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1989

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References

Notes

* Discours prononcé le 27 avril 1976, lors de la séance solennelle du Conseil de la Faculté des sciences sociales de l'Université de Varsovie à l'occasion du soixantième anniversaire de l'auteur. La version polonaise de ce texte a été publiée dans Twórczośó, 9, 1976. La traduction a été établie sur une copie originale, contenant quelques phrases absentes de la publication polonaise. Une version italienne est parue dans la Rivista storica italiana, Anno XCIX, fasc. III, 1987, pp. 674-695, dans une traduction et avec une présentation et des notes de Marta Herling Bianco. Nous reprenons ici l'essentiel du texte de ces notes, savantes et chaleureuses, traduites par Léo Pace. Nous remercions la Rédaction de ces deux revues de nous avoir autorisé à reproduire ce texte, ainsi que Mme Herling Bianco.

1. Stanislaw Egbert Kozmian, Józef Paszkowski et Leon Ulrich ont été les principaux traducteurs de la littérature allemande et anglaise en Pologne au xixe siècle.

2. Karol Szajnocha (1818-1868), poète et dramaturge, a contribué au succès du roman historique dans la littérature polonaise en utilisant un style narratif propre à toucher un large public (Bolesław Chrobry [Boleslas le courageux], 1849 ; Jadwiga i Jagiełło, 1855 ; Dwa lata dziejów naszych : 1646-1648 [Deux années de notre histoire], 1865-1869).

3. Le poème Konrad Wallenrod (1828) évoquant le destin d'une nation asservie, à la recherche de tous les moyens possibles pour assurer sa propre survie, a marqué le début d'un genre littéraire et historiographique qui traite des époques reculées comme forme allusive d'une réflexion sur le présent sur lequel on était contraint de se taire. La publication du premier volume des poésies de Mickiewicz à Vilna en 1822 coïncide avec les débuts du romantisme polonais, la préface en constituant, en un certain sens, le manifeste. Le drame Dziady (Les aïeux), publié dans le second volume (1823), est devenu un texte emblématique national.

4. Les écrits politiques, littéraires, historiques et philosophiques d'Alexander Świętochowski, le « prophète du positivisme » (1849-1938), ont eu un rôle fondamental dans la rupture avec le passé romantique polonais. Świętochowski fut le principal théoricien du « travail organique » : nouveau modèle d'action politique qui substituait aux méthodes insurrectionnelles un programme de solidarité entre classes pour le progrès économique et social du pays.

5. Alexander Apuchtin, surintendant scolaire de la région de Varsovie (1881-1897) durant le gouvernement du général Hurko, fut le pivot de la russification dans le domaine de l'instruction. L'introduction du russe comme langue obligatoire de l'enseignement rendit nécessaire de sélectionner le corps enseignant afin de l'utiliser dans l'œuvre de russification.

6. Militantes de « Proletariat », la première organisation socialiste en Pologne, fondée en 1822 par Ludwik Waryński sur le modèle de « Narodnaja volja ». Après la découverte de l'existence de cette organisation par la police tsariste en 1884, ses membres furent emprisonnés, condamnés à mort et déportés en Sibérie. Parmi eux se trouvait Maria Bohuszewicz, qui avait dirigé le parti jusqu'en 1885 et mourut dans des conditions inhumaines.

7. Il est ici fait référence aux différentes positions militaires occupées et aux batailles livrées par l'armée polonaise dans la guerre contre la Russie soviétique en 1920. Les « trois messieurs barbus » sont Julian Marchlewski, Feliks Dzierżyński (chef de la Tchéka) et Feliks Kon, membres du Comité révolutionnaire formé le 2 août, à Białystok, occupée par les Soviets, dans le but de s'emparer du pouvoir dans la Pologne soviétisée.

8. La biographie de Joseph Poniatowski (1950) est, avec celle de ŀukasiński (1908), l'œuvre la plus représentative de Szymon Askenazy (1866-1935) par ses qualités littéraires et sa rigueur documentaire, ainsi que par sa portée idéaliste et sa signification politique, qui firent de l'action et de la lutte les valeurs suprêmes pour la reconquête de l'indépendance. Dans L'année 1863 (1913), Józef Grabiec-Dabrowski, historien lié au Parti socialiste, mit en évidence les conséquences sociales complexes de l'insurrection de janvier, en soulignant particulièrement le caractère dramatique et l'importance politique du problème paysan.

9. L'Histoire de la nation polonaise après les partages d'August Sokołowski (1846-1921), publiée entre 1896 et 1901, reflète cette attitude critique vis-à-vis des insurrections qui caractérisa le courant « réaliste » de l'historiographie de la fin du siècle, politiquement lié au mouvement conservateur.

10. Le passage de la frontière à Brodnica, où l'essentiel des forces de l'armée polonaise capitulèrent, marqua la fin de la guerre russo-polonaise de 1831 et de cette courte période d'indépendance qui suivit l'insurrection de novembre.

11. Illustre représentant de la « Jeune Pologne », Stanislaw Wyspiański (1869-1907) est à l'origine d'une profonde révolution dans le théâtre polonais moderne. Ses drames représentent une critique radicale de la tradition romantique, de ses mythes et de ses symboles qui, durant la période d'asservissement politique, se sont incrustés dans la conscience nationale. Les mythes grecs deviennent les symboles des destins de la nation, les légendes du passé recroisent les drames du présent, comme dans Legion (Légion) et Noc listopadowa (Nuit de novembre) pour parvenir à une extraordinaire fresque métaphorique des problèmes, des difficultés, des contradictions et des illusions présents dans la vie nationale, comme dans Wesele (Les noces) et Wyzwolenie (Libération).

12. Considéré comme « la conscience de la littérature polonaise », Stefan Żeromski (1864- 1925), a décrit dans ses romans, de manière extrêmement crue, la réalité polonaise de la fin du siècle, dénonçant l'arriération du pays et les injustices sociales (Ludzie bezdomni [Les sans-abri], 1900). L'espérance inverse d'une révolution sociale est teintée de pessimisme : son drame Róża (La rose) est une des plus suggestives évocations de la révolution de 1905 dans la littérature polonaise. Dans Przedwiośnie (L'avant-printemps), de 1924, l'interrogation sur l'avenir de la nation reste ouverte : l'indépendance ne pouvait pas cacher, aux yeux de l'intelligentsia progressiste, les grandes carences économiques et sociales du pays.

13. L'Organisation de combat du Parti socialiste a eu un rôle de premier plan dans la révolution de 1905. Jôzef Piłsudski fut l'un de ses dirigeants.

14. La résidence de Stanisław August Poniatowski, dernier roi de Pologne, dans le parc de ŀazienki, fut le creuset des lumières polonaises. Il est ici fait allusion à la controverse sans fin, historiographique et politique, sur la fin de son règne qui s'est conclu par le troisième partage : époque de réformes ou d'une politique fatale de loyauté à Catherine II ?

15. La société de cours scientifiques supérieurs (TWKN) constituée à Varsovie en 1905 se proposait de propager l'éducation et de préserver la science et la culture polonaises. Après la fermeture et la transformation de l'École principale de Varsovie en Université russe (1869), la TWKN a représenté l'unique école supérieure polonaise jusqu'à la réouverture de l'Université de Varsovie en 1915.

16. Après l'insurrection de janvier, à Varsovie, des écoles et des pensionnats de jeunes filles clandestins ont surgi dans des maisons privées, devenant — pour reprendre la définition de Władysław Smoleński — « un précieux refuge de polonité » (expression tirée de son autobiographie, dans Monteskiusz w Polsce wieku XVIII (Montesquieu en Pologne au xviiie siècle), Varsovie, 1927, p. 21).

17. L'Organisation militaire polonaise (POW), fut créée par Piłsudski en 1914 afin de combattre pour l'indépendance de la Pologne. Elle opérait sur le front russe.

18. Le 15 août 1920, une partie de l'armée polonaise, conduite par Piłsudski, attaque l'aile gauche des forces russes qui se dirigeait sur Varsovie, et réussit à arrêter sa progression.

19. La bataille d'Ostrołęka (26 mai 1831) fut celle qui décida de la défaite et de l'échec définitif de l'insurrection de novembre.

20. La catastrophe que fut l'insurrection de novembre stimula une vaste production politique, militaire et littéraire, ainsi qu'une profonde réflexion sur ces événements. L'amertume de l'échec de la Pologne « par sa propre faute » se propagea dans l'opinion publique. Des témoignages illustres corroborent cette opinion, notamment ceux d'hommes qui prirent activement part à ces événements : Maurycy Mochnacki, le général Ignacy Prądzyński et Joachim Lelewel. A la veille de la première guerre mondiale, la littérature sur l'insurrection de novembre devint une source d'inspiration : c'est à ce moment-là que furent publiés les trois volumes des mémoires de Prądzyński qui, pour la génération qui se battra en 1914, deviendront presque une bible.

21. Chimera, revue artistico-littéraire éditée à Varsovie entre 1901 et 1907 par Zenon Przesmycki (connu sous le pseudonyme de Miriam) a tenu un rôle très important dans la diffusion des tendances novatrices de « Jeune Pologne ». On lui doit d'avoir publié les œuvres des principaux représentants du modernisme. Le grand mérite de Miriam fut la découverte de Norwid auquel il a consacré un numéro entier de sa revue : poète révolté, démythifiant certains schémas romantiques, incompréhensible pour ses contemporains, il avait été oublié et fut dès lors reconnu comme l'un des plus grands poètes polonais.

22. Walerian Kalinka (1826-1886) fut l'un des représentants de l'école historique de Cracovie. Ses œuvres (Ostatnie lata panowania Stanisława Augusta [Les dernières années du règne de Stanislas Auguste], 1868, jusqu'à Sejm Czteroletni [La Diète de quatre ans], 1880-1888) se caractérisent par le tableau « pessimiste » qu'il brosse de l'histoire nationale.

Wladysław Smoleński (1851-1926) appartient à l'école de Varsovie qui puise, dans le patrimoine culturel et civil de la nation, les éléments d'une vision « optimiste » de son histoire ; c'est le sens de ses livres sur l'époque de Stanislas Auguste et sur les mutations de la culture polonaise à l'époque des lumières (Kuźnica Kołłątajowska [La forge de Kołłątaj], 1885, Przewrót umystowy w Polsce wieku XVIII [La révolution intellectuelle en Pologne au xviiie siècle], 1891, Ostatni rok Sejmu Wielkiego [La dernière année de la Grande Diète], 1896).

Réprésentant illustre de cette tradition d'« histoire générale » qui a constitué le lien le plus vivant avec le milieu historiographique occidental, Marceli Handelsman (1882-1945), s'est occupé parallèlement de l'histoire de la Pologne et de l'Europe du Moyen Age à l'époque contemporaine.

23. Au Kordian de Juliusz Stowacki (1834), drame sur l'insurrection de novembre et sur l'exaltation romantique du héros noble qui se sacrifie pour la cause nationale, Léon Kruczkowski oppose, dans son roman Kordian i Cham (Kardian et le vilain) (1932), la vision paysanne de la révolution sociale. Accueilli comme le manifeste politique du courant de gauche dans la littérature polonaise entre les deux guerres, l'auteur s'inscrit dans une interprétation marxiste de l'histoire polonaise.

24. L'Université Libre de Pologne (WWP), créée en 1919, poursuivait la tradition de la TWKN : elle était une institution autonome, non assujettie aux normes en vigueur dans les écoles supérieures. Caractérisée par un esprit profondément démocratique, ses enseignants s'attachèrent particulièrement à y développer les sciences sociales : la sociologie, l'économie et la psychologie.

25. Stanisław Arnold (1895-1973) occupa, à partir de 1929, la première chaire d'histoire économique et de géographie historique à l'Université de Varsovie. Médiéviste, il élabora dans les années 1920 un vaste projet d'atlas historique de la Pologne entre les xve et xvie siècles. Le nom de Natalia Gąsiorowska (1881-1964) qui fut membre de la gauche du PPS à partir de 1905 et du Parti communiste depuis 1918, est lié au développement de l'historiographie marxiste en Pologne entre les deux guerres.

Stefan Czarnowski (1879-1937), sociologue, anthropologue et historien de la culture, formé à l'école de Durkheim et étroit collaborateur de Hubert et de Mauss, a ouvert des horizons nouveaux à l'humanisme polonais en l'insérant dans les tendances qui émergeaient dans les sciences historiques et sociales en Europe. Par sa capacité à rendre vivantes et actuelles l'histoire sociale et la psychologie historique du monde antique, Zdzisław Zmidrygier-Konopka (1897-1939) fut une référence pour les jeunes de formations diverses et d'intérêts scientifiques variés.

26. L'ouvrage en deux volumes qui résulta de ces études est intitulé Essais sur les manufactures en Pologne au XVLIIee siècle, et a été publié en 1956.

27. L'article « Privilège social et progrès économique », Przeglad Socjologiczny, 1947, est la version complète du discours d'habilitation de Kula, prononcé à l'Université de ŀôdz le 6 novembre 1947. Au cours des années 1960 et 1970 Kula a réalisé, avec ses étudiants de l'Institut d'histoire de l'Académie des sciences polonaise, un vaste travail collectif en cinq volumes sur La société du royaume de Pologne. Essai sur la stratification et la mobilité sociales (1965-1972), et sur Les mutations sociales dans le royaume de Pologne, 1815-1864 (1979).

28. Autour du folwark, de sa genèse, de son organisation et de sa fonction économique et sociale, se sont concentrés les intérêts de l'historiographie économique polonaise. De ce fait, les études médiévistes ont fourni des contributions de première importance : depuis les travaux de Tadeusz Wojciechowski (1938-1919) d'orientation juridico-institutionnelle, aux monographies sur la grande propriété terrienne, ecclésiastique et nobiliaire, de Roman Grodecki (1889-1964) et de Kazimierz Tymieniecki (1887-1968) qui dans Les processus déformation de la société polonaise au Moyen Age (1921) a éclairci certains aspects fondamentaux de l'histoire économique et sociale de la Pologne médiévale, dont ceux de l'origine du servage.

29. Ludwik Landau (1902-1944), éminent économiste lié au Parti socialiste, auteur entre les deux guerres, avec Michal Kalecki, de certaines études importantes sur le revenu national en Pologne et sa répartition dans la société, écrivit, pendant l'Occupation, un journal (publié en 1962 sous le titre : Chronique des années de la guerre et de l'Occupation) qui représente une source et un témoignage d'une exceptionnelle valeur historique, intellectuelle et morale.

30. « Spolem » était le signe de l'Union des coopératives des consommateurs fondée en 1908 et le nom du journal que publiait cet organisme.

31. Le BIP était le Bureau d'information et de propagande de l'Armia Krajowa.

32. Ludwik Krzywicki (1859-1941) eut un rôle de premier plan dans la diffusion des catégories du marxisme en Pologne. Son œuvre est un point de référence obligé pour diverses disciplines : l'anthropologie sociale, l'ethnologie, l'histoire, la sociologie et l'économie. A partir de 1921 il dirigea l'Institut d'économie sociale dont le but était d'entreprendre des recherches destinées à rendre compte de la réalité objective du pays.

33. Sociologue et économiste, Stanisław Rychliński (1903-1944) s'est penché sur les problèmes liés à la politique sociale en menant des recherches sur la stratification sociale en Pologne entre les deux guerres et sur la condition ouvrière.

34. L'Institut des problèmes sociaux qui, à partir de 1931, avait commencé des recherches sur la vie économique et sociale du pays, fut transformé en 1939 en usines de chaussures afin d'assurer sa propre survie. Plus de cinquante chercheurs y trouvèrent un emploi : cet endroit devint ainsi le lieu d'une « expérience sociale » de collaboration, sur le travail, entre ouvriers et intelligentsia.

35. Étudiant de Handelsman, Ludwik Widerszal (1909-1944) s'est intéressé à la question caucasienne dans la politique européenne entre 1831-1864, à l'histoire des pays balkaniques, en particulier de la Bulgarie, entre 1800 et 1900, et à la politique internationale, avec deux essais sur les rapports anglo-polonais, et entre la Russie et la Pologne au XIXe siècle, dont les manuscrits ont été perdus pendant l'occupation.

36. Forces Armées Nationales : formation militaire de droite de la résistance, opposée à l'Armia Krajowa.

37. Aleksander Kamiriski (1903-1978) fut l'un des principaux organisateurs des « Files grises » (formation de jeunes liée à l'Armia Krajowa) et rédacteur en chef du Bulletin d'information publié par le BIP.

38. Jan Rutkowski (1886-1949), spécialiste de l'histoire agraire de la Pologne entre le xvie et le xvie siècle, fut le premier à aborder les problèmes cruciaux du second servage, de la « reféodalisation » et du dualisme économique de l'Europe. Dans un essai de 1934, il affirma que la clé pour expliquer de tels processus devait être une théorie économique du système féodal : suggestion que Kula a retenue et développée (cf. son ouvrage, Théorie économique du système féodal, Varsovie, 1962).

39. Dans l'immédiat après-guerre, les villes polonaises furent inondées d'affiches gouvernementales portant ce slogan « Armia Krajowa : gnome baveux réactionnaire ». La phrase de Kula a été supprimée par la censure dans son texte publié en Pologne.

40. Maléfices est le titre d'un dialogue écrit de 1947 à 1951 sous forme d'un échange de lettres remontant à l'époque de la décadence de l'Empire romain. Ce texte contient une réflexion amère sur le déclin de l'Europe, sur le nazisme, sa défaite et sur le succès du communisme dans les pays de l'Est. Condamnation des aberrations et dégénérescences du communisme durant la période stalinienne, ce texte suscita une réponse de la part de Kula sans toutefois qu'il la publiât : elle ne parut qu'après octobre 1956, en annexe à Rozwazania o historii.

41. La phrase de Miłosz, extraite de Rodzinna Europa (Paris, 1959), ne figure pas dans l'édition polonaise de Moja edukacja sentymentalna (Mon « éducation sentimentale ») de Kula.