2. Dans l'ouvrage collectif présenté par E. J. Simmons, Continuity and Change in Russian and Soviet Thought (Harvard Univ. Press, 1955), les contributions d'Ai. Gerschenkbon (p. 11-39) et de S. M. Schwakz (p. 40-62). Dans VAmerican Slavic and East European Review, les articles de T. H. von Laue, « The Fate of Capitalisai in Russia : the Narodnik Version » (février 1954, p. 11-28) et d'A. P. Mendel, «

1. Il écrivait à cette époque : « Le soulèvement populaire en Russie peut produire un ambitieux de génie, un César, un demi-dieu devant qui notre malheureux pays courberait la tête. » Cf., p. 241, le livre récent d' Yarmolinsky, A., Boad to Révolution. A Century of Russian Radicalism, Londres, Cassel, 1957.Google Scholar

1. Voir le livre de Sanine, Mile Kyra, Saltykôv-Chtchédrine, sa vie et ses oeuvres, Paris, 1955 Google Scholar (Bibl. russe de l'Inst. d'Etudes slaves), notamment (p. 251) cette citation de Saltykov, tirée de son Héritage littéraire, publication posthume : « Il faut avouer qu'on ne peut qualifier ni de brillante, ni même d'assurée la situation de l'homme de lettres russe… L'artisan le plus obscur a conscience de faire quelque chose de positif. L'homme de lettres russe, lui, semble ne penser qu'à rester parmi les vivants ; et aussi, en second lieu, à chuchoter quelques mots entre deux frayeurs. »

2. Cf. H. Granjakd, Revue des Etudes slaves, « Du romantisme politique : slavophiles et populistes », 1957, p. 73-80.

3. M. Billington évoque (p. 166 et suiv.) la polémique serrée qui s'est instituée entre Mikhaïlovski et Plekhanov, et dans laquelle celui-ci a eu finalement le dernier mot. Il aurait pu insister davantage sur Ce que sont les « Amis du Peuple »…, la première oeuvre importante de Lénine (1894), entièrement consacrée à la réfutation des idées exprimées par Mikhaïlovski et ses amis Krivenko et Ioujakov.