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Un capitaliste toscan du XIVe siècle.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

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Type
Civilisations Médiévales (Comptes Rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1958

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References

page 398 note 1. Iris Origo, The Merchant of Prato : Francesco di Marco Datini, Londres, Jonathan Cape, 1957,380 p., 25 ill. Un appendice donne le recensement de la correspondance des fondachi, ainsi que de la correspondance privée existant à Prato.

page 398 note 2. Mme Iris Origo cite Marc Bloch, Métier d'historien, en tête de l'introduction : « L'historien ressemble à l'ogre de la fable. Là où il flaire la chair humaine, il sait que là est son gibier. »

page 399 note 1. Le travail de l'orfèvre servait à camoufler un agio, lorsque celui-ci était illégal. Cf. Joaquira De Vasconceixos, O Commercio do Ouro e Prata nos séculos XVe-XVIe (s.l.n.d.), qui cite la législation portugaise du XVe siècle.

page 400 note 1. En 1376 ; cf. p. 52 et la note de Mme Origo au sujet de ce qu'a écrit Armando Sapori : « Economia e morale alla fine del trecento », Studi di Storia Economica médiévale.

page 400 note 2. Cf. p. 63.

page 400 note 3. Lettre du Maestro Lorenzo Sossoli à Francesco (p. 65).

page 400 note 4. Cf. p. 70-73 et la n. 35 du chapitre II de la première partie, particulièrement ; Mme Origo a retrouvé seulement sept navires italiens partant de la Tamise, en même temps que 101 navires britanniques (1380-1404).

page 400 note 5. Federigo Melis, « La formazione dei costi nella industria laniera alla fine del trecento », Economia e Storia, n° 1-2, 1954 ; cité p. 101, n.

page 400 note 6. Domenico di Cambio à Francesco, le 30 août 1398 ; cf. p. 149 et n. 38.

page 401 note 1. Francesco à Niccolaio di Bonaccorso, en Avignon, le I e ‘ juin ; cf. p. 102.

page 401 note 2. Cf. p. 152-153. Le prêt d'argent à intérêt n'était évidemment pas du ressort des marchands, raison pour laquelle les « changes secs » étaient poursuivis. Mais de là à parler de la condamnation de l'usure… L'Etat poursuit les « usuriers » chaque fois qu'il a besoin de fonds. Ainsi, en 1394, les marchands italiens séjournant en Catalogne risquent des poursuites sous prétexte d’ « usure », mais le véritable objet de la menace est d'obtenir un prêt. Cf. p. 125 et note 45 : lettre de Luca del Sera à Francesco, du 30 janvier 1394. Le système sera suivi ailleurs notamment à la fin du xvi9 siècle, comme je l'ai montré dans Stratégie des Affaires à Lisbonne entre 1595 et 1607, Paris, S.E.V.P.E.N., 1956.

page 401 note 3. Nous avons étudié cette question dans l'ouvrage Esprit d'entreprise et conjoncture (à paraître prochainement).

page 401 note 4. Cf. p . 37. Il s'est aussi associé alors avec un autre Toscan, Tuccio Lambertucci.

page 402 note 1. Mais, n'est-ce pas parce que Francesco a réservé sa position ? Par exemple, dans la compagnia di Francesco e Domineco (di Cambio), vers 1387, Datini entre avec 85 % du capital ; cf. p. 112, n. 10. Cf. aussi p. 109.

page 402 note 2. Cf. la belle note d'Armando Sapori, « Dalla compagnia alla « holding », Rivista dell Società, I, n° 1, janvier-février 1956.

page 402 note 3. Francesco à Fra Giovanni Dominici, le 18 novembre 1400 ; cf. p. 328.