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Houille et coton en Belgique : Pour une histoire industrielle comparée

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Paul Leuilliot*
Affiliation:
Paris, École Pratique des Hautes-Études

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Que les monographies industrielles s'accumulent, on ne saurait s'en plaindre : elles provoquent l'émulation, la curiosité d'autres chercheurs, suscitent des recoupements toujours utiles, et même des rapprochements féconds par delà des frontières dites historiques, mais si souvent artificielles du point de vue de l'économie : elles n'ont jamais empêché, malgré les guerres dites de tarifs, la circulation des hommes et des idées, des techniques et des capitaux. Pour une histoire industrielle de l'Europe occidentale qui finira bien par se réaliser après tant d'analyses locales plus ou moins minutieuses, mais souvent suggestives, voici quelques matériaux récents élaborés par nos amis et voisins de Belgique : conclusions provisoires, certes, mais aussi et surtout orientations de recherches et suggestions de questions.

Type
Essais et Mises au Point
Copyright
Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1952

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References

page 199 note 1. André Lequeux, L'évolution de l'industrie houillère dans la région du Nord dans Bull, de la Soc. de Géographie de LiUe, 1936, p. 264-275. — Cf., du même, Essai sur l'origine historique et géographique des houillères du Borinage et du Bassin du Centre, Ibid., 1934, p. 100-110.

page 199 note 2. Voir Gonzalès Decamps, Mém. histor. sur l'origine et les développements de l'ind. houillère dans le bassin du Couchant de Mons (HainaUt), t. I (Origines et exploitations anciennes), Mons, 1880. D'abord p. p. Mém. et public, de la Soc. des Sciences, Arts et Lettres du Hainaut, 4e sér., t. I (1879). La suite (Depuis l'introduction des premières machines à vapeur jusqu'à nos jours) a paru dans les mêmes Mémoires, 5e sér., t. I (1889).

page 200 note 1. M. A. Arnould, L'histoire du Borinage, Extrait du Bull, de l'Institut de Sociologie (n° 2-3, 1950) ; in-8°, 10 p. La Reçue française (févr. 1952) vient de consacrer un numéro spécial au Hainaut belge.

page 200 note 2. Signalons la très récente Histoire généalogique de la Maison de Ligne, par le Prince Albert DE Ligne (d'après les Archives de Beloeil), Bruxelles, 1950, in-4°.

page 200 note 3. Sur leurs intérêts, depuis le XVIIe” siècle, dans les mines de plomb de Vedrin, voir Et. Sabbe, Les archives des mines de Vedrin et de Marche-les-Dames, extr. du t. XLII des Annales de la Soc. Archéol. de Namur (1937) ; in-8°, 26 p.

page 200 note 4. Cf. sur cette famille, Dauvergne, Robert, Les résidences du Maréchal de Croy 1718-1784), Paris, R Foulon, 29, rue Deparcieux, 1950 Google Scholar.

page 200 note 5. Les charbonnages de Mariemont-Bascoup, des origines à 1830 environ, dans Docum. et rapports de la Soc. Royale d'Archéologie et de Paléontologie de Charleroi, t. Xlvii (1950), p. 147-250, 4 pi. h. t.

page 200 note 6. Parc, château et collections inestimables. A côté du château actuel, construit peu après 1830 par Nicolas Warocqué, ruines de celui du xvie siècle, construit pour Marie de Hongrie en 1546 (d'où Marie-Mont). — Cf. Le Musée et le Domaine de Mariemont (Guide illustré précédé d'une Notice biographique sur Raoul Warocqué et d'un historique du Domaine), 68 éd., Gembloux, 1951, in-8°. En attendant la publication annoncée : Les antiquités égyptiennes, grecques, étrusques, romaines et gallo-romaines du Musée de Mariemont. Voir encore G. Faiter-Feytmans, Le Musée de Mariemont, centre d'études du passé du Hainaut, dans La Vie Wallonne, 1947, p. 241-248, Sur les Warocqué, notices dePaulFAiDER dans la Biographie nationale de Belgique, t. 27 (1938), p. 94-99.

page 201 note 1. M. FAYT cite à ce propos le travail d'I. Deiatte, Prix et salaires en Hainaut au XVI” siècle, également utilisé par Verlinden, En Flandre sous Philippe II : quelle fut la durée de la crise économique ? dans le dernier numéro des Annales (1952), p. 21-31.

page 201 note 2. Cf. A. Toilliez, Mém. sur l'introduction des machines à vapeur dans le Hainaut (Soc. des Sciences, Arts et Lettres du Hainaut, 1836). Les premières machines de Newcomen apparaissent dans le Hainaut en 1725, à Lodelinsart, introduites par des Liégeois, puis dans l'arrondissement de Mons (vers 1734-1740), à Jemmapes en 1754 (l'une achetée en Angleterre, l'autre à Liège). Celle de Lodelinsart fonctionna jusqu'en 1834 ; les autres avaient été démontées en 1826 seulement (Sur les machines de Watt, et d'Edwards, cf. injra). — La machine de Newcomen est signalée en 1720 dans un charbonnage de Jemmapes-sur-Meuse : G.Hansotte, L'introduction de la machine à vapeur au Pays de Liège, dans La Vie Wallonne, t. XXIV (1950), p. 47-55.

page 201 note 3. F. Fayt a publié par ailleurs Le département de Jemmappes au début du Xix” siècle. Mémoire statistique du Préfet Garnier et rapport de l'Ingénieur des min s Miche dans Annales du Cerch archéologique de Mons, 1949, t. 612 (1950), p. 183-219. On y comptait en l'an XII 400 fosses ou puits, dans 60 communes (p. 213-214). On consultera encore utilement Camille Wins, Hist.de la Soc. d'Encouragement pour l'agriculture etVindustriedansledepart.de Jemmapes (Mons, 1855)

page 202 note 1. Il ne figure pas à l'Index dressé à la fin du t. III de Jean Bouchary, Les manieurs d'argent à Paris à la fin du X VIIIe siècle (1943), mais on le trouve cité, à plusieurs reprises, dans l'excellent ouvrage synthétique de Robert Demoulin, Guillaume Iw et les transformations économiques des Provinces belges (1815-1830), Liège, 1938 (Voir l'Index onomastique).

page 202 note 2. Il s'agissait toujours du système Newcomen. — A. ToillieÏ (ouvr. cité, p. 61) observe que, malgré la supériorité du système des machines de Watt, « ce qui empêcha ces machines de se multiplier… fut la difficulté pour les exécuter des monteurs de pompes à feu. La compagnie qui entreprenait la construction d'une machine de Newcomen, ou la société charbonnière qui l'établissait à ses frais contractait avec un machiniste capable d'en diriger le montage : cylindres et tuyaux des pompes étaient alésés à l'usine où ils étaient coulés, les maréchaux ordinaires et des chaudronniers faisaient le reste, assistés de charpentiers et d'ouvriers charbonniers ». Il signale « le manque général de monteurs habiles et instruits et le manque absolu d'ateliers et d'instruments pour bien construire de nouvelles machines, plus compliquées ». On devait donc les acheter dans des endroits éloignés, d'où des frais de transport, alors qu'elles étaient déjà d'un prix plus élevé que les anciennes. On ne pouvait non plus les réparer facilement. Ce qui explique que, vers 1818, la machine de Watt montée par les frères Périer, de Chaillot, au charbonnage des Produits-sur-Jemappes se trouva insuffisante, on la remplaça par une autre du système de Newcomen (analogue à celle montée en 1766). — L'on ne peut s'empêcher de rapprocher ces difficultés dans l'introduction du machinisme de celles éprouvées à la même époque dans la filature alsacienne. Nous nous permettons de renvoyer à nos articles à ce sujet, Revue d'Alsace, 1949, p. 215, et Rev. d'Hist. êcon. et soc, 1951, p. 42-44.

page 203 note 1. Sa notice dans la Biographie Nationale de Belgique est sans doute volontairement fort discrète àce sujet. R. Demoulin (ouvr. cité, p. 101) est plus explicite, heureusement. I. Warocqué, banquier à Mons, avait alors reçu par endossement 4 millions (florins) d'effets émis par des propriétaires de charbonnages, des entrepreneurs de travaux publics, dés maîtres de forges. La crise le mit dans l'impossibilité de faire face à ses engagements, mais la Société Générale accepta de prolonger l'escompte de cette masse de papiers contre des garanties hypothécaires en biens fonds, dépôts d'actions de la Soc. Gén., garanties de la presque totalité des actions de la Société des canalisations de la Sambre et de 2 000 actions de celle dés Forges de Couvin. L'énumération permet de mesurer l'ampleur des opérations du banquier montois.

page 203 note 2. C'est bien alors—avant 1830— qu'il conviendrait de situer ce qu'on pourrait appeler la pré-révolution industrielle. Le terme « ouvrier de filature» n'apparaît-il pas déjà en 1824 sur les certificats de domicile délivrés à la mairie de Barentin (Seine-Inférieure)? C.-F. Couture, Influence de la S** Austreberlhe sur l'origine industrielle de Barentin, dans Annales de Normandie, janv. 1952, p. 41.

page 203 note 3. Dans Rev. Belge de Phil. et d'Hist., t. XXIX, n° 2-3 (1950), p. 654. Sur le livre de P. Lebrun, voirie compte rendu de M. G. Lefebvre, Annales, 1950, p. 49-56.

page 204 note 1. Une société minière sous VAncien régime. La Société du Grand Conduit et du Charbonnage d'Houdeng (1685-1800), dans Annales du Cercle archéologique de Mons, t. 47 (1950), in-8°, 14 p., une carte et pi. h. t. D'après les Archives de l'État à Mons, les Archives de l'Évêché de Tournai et surtout les Archives (Anciennes) des Charbonnages de Bois-du-Duc.

page 204 note 2. Voir l'étude récente de G. Hubrecht, Les assignats en Belgique, dans Rev. Belge de Phil. et d'ffist.,t. XXIX (1951), n° 2-4, p. 455-481.

page 204 note 3. Compte encore du droit de marlotage, perçu par l'État, de 1694 à 1723, avec maximum au début du xviie siècle (1719).

page 205 note 1. R. J. Lemoine, Classes sociales et attitudes révolutionnaires. Quelques réflexions sur un chapitre d'histoire belge, dans Annales, 1935, p. 169.

page 205 note 2. Selon les termes de J. Vannerus dans la Biographie nationale de Belgique, t. 23, col. 433-453.

page 205 note 3. La correspondance de Dom. Nicolas Spirlet…, dans Archives et Bibliothèques de Belgique, 1927, p. 81-93. Les lettres les plus nombreuses et les plus caractéristiques sont, en effet, adressées à des nommes d'affaires, banquiers, financiers, industriels, négociants, armateurs, commis des Pays-Bas et des pays voisins. M. Bourguignon fournit une utile nomenclature. — L'ouvrage de M. René Evrard s'intitule : Dom. Nicolas Spirlet, maître de forges à Poix, au Châtelet et au Fourneau Saint-Michel. Liège, Éditions Soledi, 1952 ; in-8», 56 p. et 14 fig. — Cf. P. Leuii.Liot, Commémorations industrielles, dans Annales, 1951, p. 61-64. — On doit encore à R. Evrard et B. Buffet une étude technique, Veau potable à travers les âges (de l'antiquité à nos jours), 2° édit., Liège, 1951 (gr. in-8°, 253 p.).

page 206 note 1. M. Evrard annonce à ce sujet un ouvrage en préparation du Baron Albert de Dorlodot qui promet d'être bien intéressant.

page 206 note 2. P. L. Michottk, Localisation de la giosse sidérurgie belgo-luxembourgoise avant et après 1840. Ext. du Bull, de la Soc. Belge d'Études Géogr., mai 1932 ; in-8°, 32 p. Avec bibliographie des ouvrages à caractère historique et cartes h. t. (des hauts fourneaux en 1830, 1848, 1860 et 1930). Cf. Annales, 1933, p. 165-167.

page 206 note 3. A Lequeux, L'industrie du fer dans le Hainaut français au X VIIIe siècle. Extr. de la Rev. du Nord, févr. 1933 ; in-8°, 28 p. (p. 23-24). — B. Gille, Les origines de la grande industrie métallurgique en France (1938), p. 175-177. Sur ce dernier livre, voir Annales, 1949, p. 376-378

page 207 note 1. Pauw, Napoléon De, Liévin-Bauwens, son expédition en Angleterre et son procès (1798-1799), Gand, 1903 Google Scholar, in-8°, 48 D. L'auteur est un descendant du beau-frère de Liévin-Bauwens. — Parmi les biographies qu'il cite figure celle de Boghaert-Vaché parue dans le Bull, de la Soc. Ind. de Mulhouse en 1866 (p. 381-420). —- Selon le rapport d'accompagnement de Ch. Grad, le Strasbourgeois F. C. L. Albert (1764-1831) fut un précurseur méconnu de l'introduction du machinisme anglais en France. Nous publions sa « Biographie industrielle » dans un prochain numéro des Annales Historiques de la Révolution Française (1952).

page 207 note 2. Belgique, Royaume De, MinistÈRE DE L'Industrie ET DU Travail, Les salaires… I, Ind. cotonnière (Bruxelles, 1901 Google Scholar) ; II, Ind. de la filature du lin (Ibid., 1907), in 4». Superficielles sont les indications concernant la vie économique de Joseph Neve, Gond sous la domination française (1792-1814), Gand, 1927 (p. 158-193), et J. B. Neve DE Mevergnies, Gand sous le régime hollandais, Ibid., 1936 (p. 98-114).

page 207 note 3. Renvoyons le lecteur français à Et. Sabbe, L'industrie linièreen Belgique (Coll. Nationale, 1945). — Voir, du même, un résumé utile à propos de l'ancienne industrie hennuyère du lin dans la Revue Française, déjà signalée. Au début de la domination française, le département de Jemmappes — l'Ancien Comté de Hainaut—produisait encore 8 600 pièces de toile par an (chiffre tombé à 4 670 pièces en 1812). Après 1814, le tarif douanier français incita les blanchisseurs d'Ath à émigrer en France (p. 77). Rappelons encore Houtte, F.-X. Van, L'évolution de l'industrie textile en Belgique et dans h monde de 1800 à 1939 (Louvain, 1949 Google Scholar), concernant surtout l'industrie cotonnière depuis 1914. W. Diville lui a consacré un compte rendu (Annales, 1951, p. 404-406).

page 207 note 4. Voortman, J., Les débuts de l'industrie cotonnière et les crises économiques. L'ind. coton, gantoise sous le régime français et le régime hollandais d'après les archives de la maison A. Voortman. Notes et Doc. colligés par J. Voortman, édités en commémoration du 150* anniversaire, Gand, 1940, p. 7173 Google Scholar. Les documents sont surtout nombreux pour le régime français. Pour le régime hollandais, l'interprétation, qui se réfère le plus souvent à J. B. Say, laisse davantage à désirer.

page 207 note 5. Pas un indice, affirme J. Voortman, qui permette d'affirmer que jamais une usine « ait été obliger de chômer par suite du manque de coton, de fil ou de tissu à imprimer». (Et encore : « Du début à la fin de 1810, la maison Voortman charge ses correspondants d'acheter des cotons pour son compte sans jamais faire aucune allusion aux difficulté s qu'ils pourront rencontrer pour s'en procurer. » Ces redites insistantes donnent vraiment à réfléchir I

page 208 note 1. P. 189 (mars 1803), il faut lire Jean Hofer (à Mulhouse), et non Hoser ; de même p. 190 et 192.

page 208 note 2. Selon un recensement de 1817, dans trois fabriques gantoises, sur 327 « hommes» on en compte 137 de 6 à 16 ans— et sur 364 «femmes», 69 (L. Varlez, ouvr. cité, p. 34). — L'ouvrage apporte une abondante documentation aux pièces annexes (graphiques, textes : sur l'esprit autoritaire des patrons gantois en 1810, p. 9-12), etc.. 3. Pour l'empêcher, il s'est rendu à La Haye « auprès du Prince Souverain pour se recommander à lui », en lui conseillant « de protéger les manufactures, de maintenir dans leur propriété les acquéreurs de biens nationaux et d'écarter les francophiles et la faction cléricale extrême ». V. Fris, Histoire de Gand, 1913, p. 337 (2e éd., 1930).

page 208 note 4. En France, sous la Restauration, on s'évertue alors à la conquête du marché de l'Amérique latine, non sans illusions ni déboires. Sur cette prospérité, voir la citation du Messager de Gand (8 janv. 1831) dans J. Stengers, Sentiment national, sentiment orangiste et sentiment français à l'aube de notre indépendance nationale, Rev. Belge de Phil. et d'Hist., t. XXIX, n° 1,1951, p 74-75.

page 208 note 5. Voir les graphiques h. t. de l'industrie cotonnière (1790-1900) et des salaires gantois (1795-1900) dans l'ouvrage de Varlez (p. 16 et 25). Également la comparaison des salaires payés vers 1830 dans les établissements cotonniers de Gand, Mulhouse, Rouen et Manchester, d'après un Mémoire des négociants bruxellois (1834), p. 24. — Sur la vie économique locale de Tournai, et des environs au xixe siècle et au début du xxe, on consultera utilement l'inventaire mss. (par Mme Renée Doehardt) des Archives du Tribunal de Commerce (faillites et concordats) déposé aux Archives de l'État à Mons (352 dossiers de 1796 à 1919). De 1815 à 1830, il s'agit surtout de marchands.

page 208 note 6. Heymann et Mareska, , Enquête sur le travail et la condition physique et morale des ouvriers cotonniers employés dans les manufactures de coton à Gand, Bruxelles, 1846. — Cf. L. Varlez, ouvr. cité, p. 4546 Google Scholar.

page 208 note 7. Sur l'ouvrage, Annales, 1929, p. 624-627 et 1931, P. 75-79. Ajouter Robert Lemojne, La crise économique en Flandre vers 1845. Bxtr. de la Rev. Êcon. Intern., oct. 1929 ; in-8°, 15 p. La derrière partie du livre de Jacquemyns concerne le paupérisme. A rapprocher de Paul Bonenfant, Le problème du paupérisme à la fin de l'Ancien régime, Bruxelles, 1934. Cette très importante contribution à l'histoire sociale de la Belgique ne doit pas, malgré la différence des dates, être perdue de vue pour bien comprendre la « révolution industrielle ».

page 209 note 1. P. Leuilliot, Au pays liégeois ; un document d'histoire sociale (à paraître dans le prochain numéro des Annales).

page 209 note 2. Signalons enfin Ruskarchief TE Brugoe, Inventaires van het Archief van de Franse hoofdbesturen in ivest- l’laanderen (1794-1814), par Jos. DE Smet (Bruxelles, 1951). Inventaire des archives du régime français (arrond. de la Flandre occidentale, administration centrale du département et Préfecture de la Lys).