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Les centuriations de l'«Africa vetus» Sous l'œil d'Asmodée...

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

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Les pages qui suivent prennent naturellement la suite d'un article de M. R. Bloch, Où en est la technique archéologique à propos de l’étruscologie (Annales, 1952, n° 3, p. 319-328). Sans avoir la prétention de révéler l'utilisation archéologique de la photographie aérienne, entrevue presque dès les débuts de l'aviation et dont l'ouvrage du colonel J. Baradez a fourni la dernière et la plus brillante illustration, elles ont pour but de présenter au monde savant et au public cultivé les résultats importants obtenus récemment grâce à cette méthode dans l'étude de la cadastration romaine de l'Africa vetus.

Celle-ci, retrouvée dès 1833 par Falbe, consul danois à Carthage, avait donné lieu à de nombreuses études qu'on trouvera mentionnées dans un long article de Deléage sur les cadastres antiques à la date de 1934.

Type
Études
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1954

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References

page 433 note 1. Cf. Annales (E. S. C), 1952, p. 323. Voir aussi l'ouvrage collectif Découverte aérienne du monde (Paris, Horizons de France, 1948) et Chombart Delauwe, , Photographies aériennes (Paris, Colin, A., avec bibliogr., 1951).Google Scholar

page 433 note 2. Recherches sur l'emplacement de Carthage.

page 433 note 3. Études de papyrologie (II). La plupart de ces ouvrages, ne reposant pas sur une documentation suffisante, pourront être repris sur une base plus large. On trouvera dans ce beau travail un exposé complet des diverses méthodes de division des sols selon leur nature juridique, avec des références aux textes des arpenteurs anciens et un inventaire des restes connus à la date de 1934. Rappelons la définition de la centuriation qui nous intéresse ici : « C'est la division d'un territoire en un certain nombre d'unités agraires au moyen d'un réseau de chemins rectilignes se coupant à angle droit. L'arpenteur commence par tracer deux axes, le decumanus maximus et le cardo maximus et mène ensuite à chacun d'eux une série de decumani ou de cardines, parallèles et équidistants. » La centuriation proprement dite se complète sur le terrain par une division parcellaire et un bornage se référant aux axes. — Les centuries tunisiennes sont des carrés de 2 400 pieds de côté, mais la définition de la centurie ne semble pas univoque.

page 434 note 1. L'I. G. N. a montré, dans une publication de 1950 destinée à faire connaître la nouvelle carte au 20 0008, les imperfections de l'ancienne carte d'état-major.

page 434 note 2. Le colonel Baradez insiste justement à plusieurs reprises sur la discipline intellectuelle exigée par un tel travail ; cette éducation de l'oeil est longue et difficile.

page 436 note 1. L'attention s'est fixée d'abord sur les vestiges du cadastre.

page 436 note 2. Elle a demandé, à elle seule, huit jours de travail.

page 436 note 3. Elles pourront être multipliées suivant l'intérêt suscité.

page 436 note 4. Hygin (I, p. 344-3) parle de la grande étendue des terres d'Afrique 1

page 438 note 1. Non visible sur les photos. Cf. Poinssot, C. R. A. I., 1907, p. 466. Bibliographie dans les tables du B. C. T. H.

page 438 note 2. Nous savons par l'inscription d'Ain-el-Djemala que certains au moins renfermaient des centuries.

page 438 note 3. Cf. Schulten d'après les calculs parfaitement exacts d'Ambronn, de l'observatoire de Goettingen.

page 438 note 4. Nous citons les textes d'après l'édition de Lachmann (Feldmesser, p. 183, 13).

page 438 note 5. H. N., XVIII, 264-268.

page 438 note 6. Bull. Com., 1951, appendice.

page 438 note 7. Édition Lachmann, p. 173.

page 438 note 1. Il aurait l'avantage de couper la plus grande largeur du terrain. Nous grouperons après l'étude des différents groupes (limites, origines, orientation, caractères spéciaux) toutes les remarques concernant l'arpentage parcellaire et la répartition des ruines. Remarques valables pour l'ensemble de la Tunisie.

page 438 note 2. On hésite ici sur le tracé de la fossa. Mais elle semble bien avoir englobé dans la province le territoire des Gétules.

page 438 note 3. Le même problème semble se poser pour les groupes CE. et S.E.

page 438 note 4. « On ne peut même pas dire que la limitation orientée à 37° est sûrement postérieure, ou qu'elle s'applique au territoire des villes libres…, car si aucune de ces villes n'a livré jusqu'ici aucune trace de la première limitation, l'ancienne Thysdrus qui n'était pas libre (sic) a livré les plus beaux restes de la seconde. » Il y a ici confusion avec la centuriation de Chebba ; ces conclusions reposant sur une documentation incomplète ne sont plus valables.

page 438 note 5. Il a pu en être ainsi au début, bien que la notion même de cadastre, religieuse à l'origine (ce sentiment a pu disparaître par la suite), réponde parfaitement à l'esprit romain, ce qui a rendu sa réalisation systématique. Notons, dès maintenant, que cette généralisation peut fournir un indice chronologique.

page 438 note 6. Autour de laquelle elle semble tourner, ce qui pourrait nous faire connaître l'étendue de ce territoire qui semble avoir été contigu à celui d'Hadrumète (cf. Feldmesser, I, p. 57, 2).

page 440 note 1. La loi de 111 dit, à propos de trois voies qui ont existé avant la prise de Carthage : « Eoe omnes publicae sunto, limitesque inter centurias ». Le problème est obscur pour l'instant ; il faudrait admettre que oes chemins étaient eux-mêmes orientés selon des directions astronomiques.

page 440 note 2. La difficulté était la même, on l'a vu, pour Carthage.

page 441 note 1. De même que la théorie selon laquelle la strigation serait réservée aux terres imposées des provinces.

page 441 note 2. Les libri regionum montrent que les différentes catégories se recouvrent. Beaucoup de confusions proviennent de ce que les agrimensores se recopient les uns les autres. On a à faire face aux mêmes difficultés pour débrouiller la tradition ethnographique ancienne.

page 441 note 3. Les croquis proposés dans l'article de Deléage (p. 181) pour l'arrangement des slrigse et scamma à l'intérieur de quadroe n'ont pas trouvé pour l'instant leur illustration en Tunisie.

page 442 note 1. La question des fossés signalés par M. Saumagne, visibles sur les photos, sera elle aussi reprise. Leur extension pourrait donner la surface du territoire.

page 442 note 2. On en trouve un exemple pour les territoires des villes rhénanes. Notons qu'intervient de plus l'orientation des cadastres urbains. Nous reprendrons la question des quatre centurioe strigatoe reconnues à Carthage.

page 442 note 3. Il n'est pas exclu que certaines directions ne soient pas arbitraires, on a pu suivre telle direction astronomique un jour déterminé : les decumani de Cologne sont obliques sur un cardo N.S., ceci en rapport avec l'anniversaire d'Auguste (24 sept.).

page 442 note 4. Antiquity, 1949. Une étude au sol serait sans doute décisive : MM. Saumagne et Baradez ont pu retrouver des racines d'oliviers carbonisées par les siècles.

page 443 note 1. Critique déjà faite par Deléage (p. 166, n. 2).

page 443 note 2. Les textes nous apprennent que c'était le cas en Campanie. Peut-être serait-il possible d'établir une chronologie des diverses orientations. Autre fait important pour cette centuriation : les bornes sont sur les quintarii, c'est-à-dire sur les limites enveloppant des paquets de 25 centuries. Voir, plus loin, le problème des saltus.

page 443 note 3. Feldmesser, I, p. 180-181 (il est question de son plan régulier).

page 444 note 1. Les montagnes n'arrêtèrent jamais les géomètres romains.

page 444 note 2. Nous verrions à cela deux raisons. Une, d'ordre religieux, a pu intervenir au début : les bornes de la première colonie de Carthage ayant été, racontaient les ennemis des Gracques, arrachées par des loups, en réalité par des indigènes ou des partisans des nobles. Une raison sociale : il semble que les lots des colons aient été rapidement rachetés pour former les vastes latifundia de ces six personnages dont on nous dit laconiquement : « Interfecit eos Nero princeps ». De plus, en raison des conditions très particulières de l'agriculture africaine, la centuriation, matérialisée sur le terrain et enserrant les terres dans un indéformable réseau de pierre, nulle contestation ne pouvait survenir, en matière de propriété ou de fiscalité. Une forma écrite suffisait et on a pu se contenter de borner les divisions parcellaires à l'aide de pierres anépigraphes ou de pieux. Il n'en faudra pas moins les rechercher avec acharnement, d'autant que nous en trouvons la trace dans les textes (Feldmesser, I, p. 353-2-20, p. 307, 23).

page 444 note 3. Feldmesser, I, p. 57, 58 (controverses naissant en Afrique de la spatiositas et inundatio camporum).

page 444 note 4. Ces remarques résultent d'une comparaison minutieuse, centimètre carré par centimètre carré, des nouvelles cartes avec celles de l'Atlas archéologique.

page 444 note 5. Les Voies romaines de l'Afrique du Nord (Imprimerie officielle, Alger, 1950).

page 445 note 1. Voir les suggestions du colonel Baradez.

page 445 note 2. Le tracé doit en être plus ancien, au moins sur une certaine distance.

page 445 note 3. F. LXV. La centuriation a presque disparu, mais les chemins se coupent à angle droit et ils sont tangents aux bourgs situés tous les 3 km. 5 ou tous les 7 km. Gomme nous l'avons dit en commençant, cette méthode de prospection est insuffisante : f. xxvm à l'Ouest dans la montagne, il n'y a pas de chemins et sans les photos on ne soupçonnerait pas l'existence d'une centuriation.

page 445 note 4. Voir, sur ce point, l'étude faite par M. Saumagne de la formule « iter populo debetur” (Revue de Philologie, t. LIV, 1938, p. 320).

page 446 note 1. Il semble impossible d'imaginer une exacte compensation d'erreurs dues à la prise de vues, ou à l'interprétation. C'est la plus belle preuve sans doute de la précision des levés actuels, mais aussi surtout de la perfection des techniques anciennes !

page 446 note 2. Pour l'observation des astres ou de signaux lumineux, la dioptra, par exemple, instrument à roue dentée et lunette de visée, à côté de la groma.

page 446 note 3. Songeons à Héron d'Alexandrie.

page 446 note 4. Nous pouvons seulement nous demander s'il existait déjà à l'époque où celle-ci fut établie. L'existence de lots de coupes forestières, indépendantes des subcesica, est parfaitement vraisemblable : les textes nous vantent le thuya d'Afrique. En 1934, Deléage posait encore comme principe que la centuriation évitait les montagnes.

page 447 note 1. Pour toutes ces questions, nous renvoyons au lumineux chapitre du Fossatum Africoe sur les travaux d'hydraulique qui montre tort bien comment la minutie dans l'application se combine avec la largeur des vues d'ensemble. Ces questions transparaissent dans les textes (Feldmesser, I, p. 57, 25, et p. 36, 17). La politique moderne des grands barrages permet beaucoup moins facilement de dompter une nature rebelle. Il est vrai que les ravinements, qui suivent souvent les directions antiques, ont multiplié les oueds.

page 447 note 2. Il apparaît ainsi nécessaire de reviser la définition de la centurie comme « une unité formelle de division et non d'assignation ».

page 447 note 3. Il n'est pas exclu que, dans certains cas, la division des centuries en 100 carrés, par exemple, corresponde à des lots réellement attribués à un colon, ou à une famille.

page 447 note 4. Ces réalités constituent un commentaire possible de diverses inscriptions.

page 448 note 1. Pour ce qui est des subcesioa proprement dits, il serait intéressant d'étudier leur répartition aux limites, ou à l'intérieur des perticoe, en les mettant en rapport avec la nature du sol.

page 448 note 2. Feuille XLIX, n08 84-88. Gt. n° 222-240. A Henchir el Hammamon signale des « alignements constitués par des lits de pierres non taillées juxtaposées à la surface du sol » que Schulten prit ensuite pour des limites de scamna strigoe ; n° 158 : le mur à angle droit dont les côtés ont 180 et 520 m. correspond à l'angle d'une centurie. Id. pour le n° 84 de la feuille vu (donné comme un barrage).

page 448 note 3. IX, 5.

page 448 note 4. XXVII, 77 ; XXX, iv : « alignements de murailles «.

page 448 note 5. XI, 47.

page 448 note 6. Cod. Theod., XI, 28, 13

page 449 note 1. Il se peut d'ailleurs que les terres centuriées n'aient pas été toutes divisées, par suite du manque de preneurs ou d'arrangements avec les indigènes (terres rendues, où échangées).

page 449 note 2. Voir notamment ce qu'écrit M. J. Baradez sur le remplacement des céréales par le palmier qui exige plus d'eau, mais pousse tout seul et fournit presque à tous les besoins.

page 449 note 3. Le cadastre nous permet de reconstituer les archives, les formée perdues de l'Empire. Un jour prochain, nous l'espérons, des salles de consultation à l'usage du public compléteront nos bibliothèques.

page 449 note 4. Cf. l'article cité de M. Bradford.

page 449 note 5. Voir aussi ce qu'écrit le colonel Baradez de la façon dont apparaissent les alignements de puits des foggaras, ou de cette curieuse impression de radiographie en positif, ou négatif, que donnent deux photos d'une même zone prises après une pluie et un ressuyage du terrain. « Au sol, la voiture saute sur ces tracés et les roues impriment une trace différente. »

page 450 note 1. C'est sans doute la richesse de l'Afrique en bêtes fauves qui explique leur nombre. Cf. feuille xxii, n° 79 (” restes d'un grand édifice »).

page 450 note 2. Ces indications, fouillées et systématisées, devraient aboutir à l'établissement d'un certain nombre de types qui prendraient place dans un manuel technique d'interprétation archéologique de la photographie aérienne.

page 451 note 1. Les ruines sont marquées sur les cartes ordinaires en rouge ou en noir- ; dans ce dernier cas, elles apparaissent moins nettement.

page 451 note 2. Erreurs dans les attributions ou les levers à la planchette.

page 451 note 3. F. xv, n081-4 (Siminina n'apparaît guère). L'Atlas signale des ruines de 1 km2 sous le sable.

page 451 note 4. Ruines entièrement inconnues, ou indiquées comme « très effacées » (f. xxvi, 3).

page 451 note 5. Feuilles xii, n° 7, xv, n° 55, 113, xix, n° 2 : « inscriptions ; pas d'édifice apparent » : II y a, en fait, une ferme et des centuries !

page 451 note 6. Ces exemples sont innombrables : Atlas, f. XLIII, n° 92. Le développement urbain de l'Africa vêtus n'empêcha pas la population de rester agricole, ce qui explique la désertion finale des cités pour les grands domaines. Délicate question que celle du groupement des villages ; sur ceux-ci cf. Feldmesser, I, p. 53, 3.

page 451 note 7. On songe à la répartition des fermes dans les campagnes américaines ; Schulten part à juste titre de cette réalité contemporaine. Notons que Deléage utilise la même méthode dans son analyse de la notion de cadastre.

page 452 note 1. Cas de Menzel bou Zelfa.

page 452 note 2. Certaines mosaïques nous en ont conservé le souvenir.

page 453 note 1. Nous verrons mieux ainsi l'importance réelle des diverses ruines d'après le nombre de centuries qui semblent leur appartenir. Sur la question des subcesiva, voir la communication de M. Saumagne.

page 453 note 2. En certains points de la frontière de l'Africa vêtus notamment.

page 453 note 3. F. XXXIII, n°» 215-217.

page 453 note 4. F. xv, n° 58. Est-ce la culture de la vigne qui a fait disparaître la centuriation d'Uthina? La ruine est une des plus importantes de Tunisie.

page 453 note 5. Civitas désignant la cité indigène : on a souvent fait le contre-sens I

page 453 note 6. F. xxxiv.

page 453 note 7. F. xxxv.

page 453 note 8. F. xii, n° 306, et xxvi.

page 453 note 9. F. xxvii et XLIII.

page 453 note 10. Nos connaissances ont progressé cependant. En 1934 encore, le sigle 1 paraissait incertain. La lecture de beaucoup de ces abréviations est due à M. Piganiol et à M. Seston.

page 453 note 11. I. L. T., 800. Le nom semble punique : il s'agirait des terres d'un Zoclius devenues domaine impérial ; il faut lire STE (terunt) ; le fundus Banorensis semble privé, vieille assignation ou beneficium? La loi de 111 exceptait les terres déjà occupées si elles ne dépassaient pas 200 jugères.

page 454 note 1. Il semble que ce soit le cas de Vaga.

page 454 note 2. De même les différentes orientations des cadastres d'Orange se sont succédé dans le temps.

page 454 note 3. Rappelons les calomnies mentionnées plus haut.

page 454 note 4. Résumons ses conclusions : 1° La cadastration sempronienne diffère de celle dont l'isthme a conservé le plan remarquable et où on la reconnaît généralement ; 2° Le plan en forme perpétuelle et encore visible sur le terrain est celui de la deductio de César ; 3° Le plan urbain (octavien) a été étroitement adapté à celui de la centuriation césarienne.

page 455 note 1. Mentionnons ici les admirables travaux de M. Garcopino.

page 455 note 2. L'État conserve théoriquement des droits sur ces lots.

page 455 note 3. Terrains reloués à d'autres.

page 455 note 4. Signalons, en particulier, le morcellement des civitates en municipes et l'évolution générales des statuts juridiques. Voir l'article de Poinssot.

page 455 note 5. Des coutumes locales ont subsisté là comme ailleurs. L'agriculture punique était florissante (voir Agathocle). Les Romains appréciaient fort le traité de Magon.

page 455 note 6. La tradition manuscrite montre nettement comment la routine ruine l'art des agrimensores.

page 455 note 7. Fossatum, p. 193 et 326 (Sidi Okba).

page 456 note 1. Nous aimerions connaître certains personnages, C. Vibius par exemple.

page 456 note 2. Cf. l'un des cadastres d'Orange, bornage de la fossa regia, déduction d'une colonie à Ammaedara…, construction de voies.

page 456 note 3. Les matrices du Bas-Empire ne portent plus l'indication de la centurie.

page 456 note 4. Une étude des types de fermes et de cultures serait à faire dans chaque cas.

page 457 note 1. Avantage capital lorsqu'il s'agit d'étudier par exemple une limitation étendue ; dans ce cas la photo aérienne fournit plus que de simples indices.

page 457 note 2. La méthode s'adapte ainsi parfaitement au triple mouvement de toute recherche scientifique.

page 458 note 1. Par exemple Megalopolis dans la feuille XVI (Ferryville).

page 458 note 2. Avec parfois de très légers déplacements.

page 458 note 3. Adressons ici une pieuse pensée à la mémoire de Saint-Exupéry, qui nous a révélé le premier la poésie — et l'humanité — de cette vision aérienne du monde.

page 459 note 1. Deléage montre l'intérêt qu'il y aurait à comparer les différentes langues de ce point de vue pour établir des types avec un répertoire systématique de leurs applications (p. 156).