Hostname: page-component-77c89778f8-fv566 Total loading time: 0 Render date: 2024-07-17T15:35:27.217Z Has data issue: false hasContentIssue false

La Croix-Rouge et la Convention de Genève pendant la guerre russo-japonaise

Published online by Cambridge University Press:  25 March 2011

Extract

La guerre russo-japonaise, commencée le 27 janvier (9 février) 1904, a démontré une fois de plus l'importance du travail préparatoire de la Croix-Rouge et la nécessité d'une large organisation de l'assistance volontaire, agissant d'un commun accord avec le gouvernement belligérant.

Type
Russie
Copyright
Copyright © International Committee of the Red Cross 1906

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 112 note 1 Voy. T. XXXVI, p. 270 et T. XXXVII, p. 43. Le présent article est consacré à l'activité do la Croix-Rouge pendant la guerre russo-japonaise, mais c'est surtout de la Croix-Rouge russe qu'il sera question, les documents détaillés relatifs à la Croix-Rouge japonaise n'étant pas encore parvenus.

page 112 note 2 Voy. T. XXXVI, p. 49 et rapport de la Commission exécutive de la Société russe de la Croix-Rouge (1904).

page 114 note 1 Pour le détail de ces secteurs, nous renvoyons à ce que nous avons déjà dit dans le Bulletin, T. XXXVI, p. 55.

page 115 note 1 Il serait injuste de passer sous silence les services universellement reconnus du comte J.-J. Worontzof-Dachkof, président de la Commission exécutive. C'est à son initiative qu'on doit l'introduction dans les affaires de la Croix-Rouge d'une publicité étendue et de la coopération de toutes les classes de la société.

« Si l'on veut se placer uniquement au point de vue critique, écrit le prince Lvof, il est facile de signaler des fautes et du déordre, mais tout cela disparaît devant l'activité ardente du personnel. L'ensemble de l'œuvre fait évanouir les mesquines divergences ». Journal de la Commission exécutive, octobre 1904, p. 28.

Le prince Dolgorouky dit à son tour : « La défaveur témoignée par la société russe au personnel de la Croix-Eouge n'est nullement justifiée par les résultats obtenus et peut seulement s'appliquer à l'esprit bureaucratique qui a régné jusqu'à présent dans l'administration de la Société russe de la Croix-Rouge » (Rousskya Viedomosti, 17 février 1905. — M. Némirovitch-Dantchenko, faisant allusion aux préjugés qu'il nourrissait d'abord contre la Croix-Eouge, écrit : « Ici, sur les champs de bataille, je suis amené à rétracter tout ce que j'avais avancé autrefois dans des conversations particulières. Que serions-nous devenus sans l'aide dévouée de la Croix-Eouge ? Les gens qui ont porté son brassard pendant cette guerre, auront le droit de porter haut la tête : ils ont rempli avec honneur leur sainte tâche. » La Parole russe, 18 juillet 1904.

page 117 note 1 L'aménagement de ces wagons se composait surtout de banes-couchettes et d'un poêle qui leur valut ce surnom de chauffoirs (teplouchki).

page 117 note 2 Voy. T. XXXVI, p. 70.

page 119 note 1 An 1er décembre 1904, la Société russe de la Croix-Rouge avait acheté 4 millions de kilogrammes de farines, 500,000 boîtes de conserves, autant de boîtes de lait stérilisé ou condensé, etc., etc.