Article contents
TOXICITY OF SELECTED INSECTICIDES TO SEVERAL LIFE STAGES OF COLORADO POTATO BEETLE, LEPTINOTARSA DECEMLINEATA (SAY)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
Residual and contact toxicities of several insecticides to larvae and adults of insecticide-susceptible (four insecticides) and insecticide-resistant (three insecticides) Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), were measured in laboratory studies. For both methods of exposure, azinphosmethyl was the least toxic to all life stages tested. The residual toxicity of deltamethrin was at least 4.4-fold higher than either cypermethrin or endosulfan. With the insecticide-susceptible strain, residual toxicities of azinphosmethyl, endosulfan, and deltamethrin were, respectively, 3.5, 5.9, and 4.1 times higher to first instars than to adults and 1.2, 8.1, and 1.6 times higher to third instars than to adults. Contact toxicities of azinphosmethyl, endosulfan, and deltamethrin were, respectively, 3.3, 2.9, and 1.4 times higher to insecticide-susceptible third instars than to adults. In most comparisons, susceptibilities of fourth and third instars were similar. With the insecticide-resistant strain, azinphosmethyl, endosulfan, and deltamethrin were, respectively, 3.2, 1.6, and 8.0 times more toxic to third instars than to adults. The importance of differential life stage toxicity to current control recommendations for Colorado potato beetle is discussed.
Résumé
La toxicité résiduelle et la toxicité de contact de plusieurs insecticides ont été mesurées au cours de tests en laboratoire chez des larves et des adultes du Doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, sensibles aux insecticides (4 insecticides) ou résistants aux insecticides (3 insecticides). Avec les deux méthodes, l’azinphosméthyle est l’insecticide le moins toxique pour tous les stades du cycle. La toxicité résiduelle de la deltaméthrine est au moins 4,4 fois plus élevée que celle de la cyperméthrine ou de l’endosulfan. Chez la souche sensible aux insecticides, les toxicités résiduelles de l’azinphosméthyle, de l’endosulfan et de la deltaméthrine sont respectivement 3,5, 5,9 et 4,1 fois plus élevées pour les larves de premier stade que pour les adultes et 1,2, 8,1 et 1,6 fois plus élevées pour les larves de troisième stade que pour les adultes. Les toxicités de contact des mêmes insecticides sont 3,3, 2,9 et 1,4 fois plus élevées pour les larves de troisième stade que pour les adultes chez les doryphores sensibles aux insecticides. Dans la plupart des tests, la sensibilité des larves de quatrième et de troisième stades s’est avérée la même. Chez la souche résistante aux insecticides, l’azinphosméthyle, l’endosulphan et la deltaméthrine sont respectivement 3,2, 1,6 et 8,0 fois plus toxiques pour les larves de troisième stade que pour les adultes. L’influence qu’aura cette toxicité différentielle en fonction du stade du cycle sur les recommandations d’usage dans la lutte contre le Doryphore de la pomme de terre est examinée.
[Traduit par la Rédaction]
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1998
References
- 10
- Cited by