¹ C'est ainsi que l'on a surnommé Jean Marchand, Gérard Pelletier et Pierre Elliott Trudeau lors de leur décision d'adhérer au parti libéral fédéral.

² « L'idéologie politique et religieuse de Cité libre; première série », 1962 (un résumé en est fait dans Recherches sociographiques, IV, 2 (1963), 228–36).

³ « L'idéologie politique de la revue Cité Libre; nouvelle série », Département de science politique, Université de Montréal, 1967.

⁴ Pp. 20–4.

⁵ Cf. Fernand Dumont, « Notes sur l'analyse des ideologies », dans Recherches sociographiques, IV, 2 (1963), 155–65; « La représentation idéologique des classes au Canada-français », ibid., VI, 1 (1965), 9–22; « Structure d'une idéologie religieuse » ibid., 2 (1960), 168–9.

⁶ Voici la liste des principaux articles où Cité Libre, nouvelle série (Janvier 1960 – juillet 1966), explique ses intentions, revient sur elle-même et critique son rôle : XXIV, Gérard Pelletier, « Sur les gaités de l'opposition », 7–9, et Marcel Rioux, « Propos de parti pris », 10; XXVI, Gérard Pelletier, « Le sens du devenir », 3–4; XXVIII, Marcel Rioux, « La démocratie et la culture canadienne-francaise », 3–4, et Pierre Elliott Trudeau, « Notes sur l'élection provinciale », 12–13; XXIX, Pierre Elliott Trudeau, « L'élection du 22 juin 1960 », 3–8; XXXIII, « La restauration », 1–3, et Marcel Rioux, « Socialisme, cléricalisme et Nouveau parti », 4–7; XXXVII, Gérard Pelletier, « Cité Libre et ses lecteurs », 3–4; LVII, Pierre Vallières, « Emmanuel Mounier », 11–13; LIX, Pierre Vallières, « Cité Libre et ma génération », 15–22; LXVI, « Pour clore un incident », 1–2.

⁷ Emmanuel Mounier est un philosophe français dont les nombreux ouvrages cherchent à revaloriser l'homme en tant que personne dans toutes les situations de son existence. Sa pensée, le personnalisme, a trouvé un champ d'application direct dans la revue française Esprit dont il fut le fondateur. Jean-Marie Domenach en est aujourd'hui le directeur.

⁸ Mounier, Emmanuel, cité par Lucien Guissard, Mounier (Paris, 1962), 44.Google Scholar

⁹ Rioux, « La démocratie et la culture canadienne-française », CL, XXVIII, 4.

¹⁰ Ces thèmes ont été dégagés par une analyse du contenu de la revue.

¹¹ « La revanche des cerveaux », CL, XXXVII, 12.

¹² En référence aux critiques de Cité Libre à l'endroit de la revue marxiste Parti pris, par exemple. Celle-ci a commencé à paraître en septembre 1963. Elle prône la voie révolutionnaire pour renverser le régime capitaliste et Iibérer la société québécoise.

¹³ En particulier, la revue Parti Pris.

¹⁴ En collaboration « Manifeste pour une politique fonctionnelle », CL, LXVII, 11.

¹⁵ Pierre Elliott Trudeau, « Le séparatisme », CL, XLVI, 6.

¹⁶ Ibid.

¹⁷ Cf. Emmanuel Mounier, Le personnalisme, coll. « Que sais-je ?» no 395 (Paris, 1957), 126.

¹⁸ Jean Pellerin, « L'Etat, c'est nous », CL, LXXXI, 12.

¹⁹ CL, LXVII, 17.

²⁰ Gérard Pelletier, « Le nationalisme… ou la mort », CL, XLI, 4.

²¹ Pierre Elliott Trudeau, CL, XLVI, 15.

²² Pierre Elliott Trudeau, CL, LXVII, 17.

²³ Cf. Dumont. Une idéologie ne contient pas que des objectifs, des priorités. Une pensée devient idéologique lorsqu'elle tente de justifier la valeur de ses objectifs, d'expliquer pourquoi ils sont les plus souhaitables. Dans ce processus, elle utilise les moyens, les faits les plus susceptibles de convaincre du bien-fondé de ses positions.

²⁴ Pierre Vadeboncoeur, « Les amiables compositeurs », CL, LXIV, 12–13.

²⁵ Cf. Léon Dion, « La polarité des idéologies : conservatisme et progressisme », dans Dumont, Fernand et Montminy, J. P., Le pouvoir dans la société canadienne-française (Québec, 1966), 23–35.Google Scholar

²⁶ « La revanche des cerveaux », 14.