Hostname: page-component-77c89778f8-n9wrp Total loading time: 0 Render date: 2024-07-17T14:09:14.987Z Has data issue: false hasContentIssue false

ABSTRACTS

Published online by Cambridge University Press:  05 November 2007

Rights & Permissions [Opens in a new window]

Abstract

Type
Abstract
Copyright
Copyright © European Association for Banking and Financial History 2007

This article highlights the importance of the SMU in fostering financial market integration in Scandinavia prior to World War I. Earlier studies have centred on trade integration and impact on present monetary integration, but have dismissed the notion that financial integration was of importance. Based on Norwegian data and qualitative sources the article demonstrates that financial transfers through the clearing mechanism of the union were substantial. Thus, the real significance of the monetary union was to facilitate the development of a more unified Scandinavian money market.

This article compares Japan and Southeast Asia before World War II to explore the question Goldsmith posed: why, since financial transition in all countries follows the same path, should there be such remarkable differences in the speed of transition? Beginning after the Meiji Restoration in 1868 and starting from the same per capita income as Southeast Asian countries, Japan had, by 1913, built a modern financial system comparable to those in the West. But finance in Southeast Asian countries was (and remained in 1939) little developed, dominated by metropolitan interests, heavily reliant on informal finance, and geared towards primary commodity exports. The article argues that Southeast Asia's no more than partial financial transition is explained by a continued ability to tap natural resources, limited technological change, and the laissez-faire stance of colonial governments. Japan, by contrast, could not depend on abundant resources for growth. Its experience demonstrates how nationalist objectives of military power and industrialisation can motivate government to accelerate financial transition.

This article explores the automation of the supply of financial services by British high street banks and provides a comparative assessment of the impact of similar developments in the USA. Its aim is to provide a historical perspective to highlight the longevity of organisational change in the financial sector and to emphasise its remarkable continuity: UK clearing banks and building societies faced very specific problems to which they adopted particular responses. Office mechanisation, from the adoption of office equipment pre-1914 and ‘mechanical banking’ in the interwar years to its culmination with computer technology in the late 1950s and beyond, was introduced after emergent capabilities had been evaluated in terms of costs and benefits. Innovative practices and procedures associated with the accounting function were introduced but the utilisation of accounting information for command and control remained largely unchanged.

In the late antebellum period, state bank notes served as the principal means of cash payment but the notes of most banks only circulated at par within a limited geographical area. In passing the National Currency Acts of 1863 and 1864, the US Congress sought to create a uniform banknote currency. The key to keeping national bank notes at par as they circulated away from the bank of issue was the requirement that banks redeem their notes with agents in designated redemption cities where the notes flowed in trade. Banks in these redemption cities were, in turn, required to redeem their notes in the central redemption city of New York. This hierarchical structure was designed to create a uniform currency while imposing sufficiently low costs on the banks that the national banking system would be able to displace the existing state banking systems.

Cette communication met en lumière l'importance de l'UMS sur l'intégration des marchés financiers en Scandinavie avant la première guerre mondiale. Des études précédentes se sont concentrées sur l'intégration du commerce et sur l'impact sur l'intégration monétaire actuelle, mais ont écarté l'idée que l'intégration financière était importante. En se basant sur des données norvégiennes et des sources qualitatives, l'auteur démontre que les transferts financiers à travers le mécanisme de compensation étaient considérables. Par conséquent, la signification réelle de l'union monétaire était de faciliter le développement d'un marché monétaire scandinave plus unifié.

Cette communication compare le Japon et l'Asie du sud-est avant la deuxième guerre mondiale pour explorer la question posée par Goldsmith: puisque la transition financière dans tous les pays suit le même chemin, pourquoi devrait-il y avoir des différences si marquées dans la vitesse de transition? En commençant après la restauration Meiji en 1868 et en partant du même revenu par tête que dans les pays du sud-est asiatique, le Japon avait en 1913 construit un système financier moderne, comparable aux systèmes occidentaux. Mais la finance dans les pays du sud-est asiatique était peu développée (et le restera jusqu'en 1939), et elle était dominée par les intérêts métropolitains, elle était dénuée de formalité, et elle était orientée vers les exportations de produits de base. Cette communication affirme que la transition financière partielle de l'Asie du sud-est s'explique par la capacité prolongée à exploiter les ressources naturelles, par le changement technologique limité et par l'attitude de laisser-faire des gouvernements coloniaux. La croissance du Japon, par contraste, n'était pas en mesure de s'appuyer sur des ressources abondantes. L'expérience japonaise démontre la manière avec laquelle les objectifs nationalistes de puissance militaire et d'industrialisation peuvent inciter le gouvernement à accélérer la transition financière.

Cette communication explore l'automatisation de l'approvisionnement des services financiers par les grandes banques britanniques, et fournit une évaluation comparative de l'impact de développements semblables aux USA. Elle a pour but de fournir une perspective historique afin de souligner la longévité du changement d'organisation dans le secteur financier et d'insister sur sa continuité remarquable: les banques de compensation et les sociétés de crédit immobilier britanniques faisaient face à des problèmes très spécifiques, face auxquels des réponses particulières ont été adoptées. De l'adoption d'équipement de bureau avant 1914 et des opérations bancaires mécaniques dans l'entre-deux guerres à sa culmination avec la technologie informatique vers la fin des années 50 et après, la mécanisation des bureaux fut introduite après l'évaluation en termes de coûts et de bénéfices des capacités naissantes. Des procédures et pratiques innovatrices associées à la fonction comptable furent introduites, mais l'usage des informations comptables pour le contrôle et la commande resta grandement inchangé.

Avant la guerre de secession, les billets bancaires des Etats ont servi de moyen principal de paiement en liquide, mais les billets de la plupart des banques n'ont circulé au même niveau que dans une région géographique limitée. En votant les lois de devise nationale de 1863 et 1864, le congrès américain a cherché à créer une devise uniforme de billets de banque. Les banques devaient honorer leurs billets auprès des agents dans les villes de rachat où les billets rentraient dans le commerce, afin de garder les billets de banque à niveau tandis qu'ils circulaient en dehors des banques d'émission. Les banques dans ces villes de rachat devaient, à leur tour, convertir leurs billets dans la ville centrale de rachat de New York. Cette structure hiérarchique a été conçue pour créer une devise uniforme en même temps qu'elle a imposé des coûts suffisamment bas aux banques pour que le système bancaire national puisse remplacer les systèmes bancaires existants des Etats.

Dieser Artikel unterstreicht die große Bedeutung, die der Skandinavischen Währungsunion bei der Förderung der Integration der Finanzmärkte vor dem Ersten Weltkrieg in Skandinavien zukam. Frühere Studien haben sich auf die Handelsintegration und den Einfluss auf die aktuelle Währungsintegration konzentriert, jedoch die Ansicht außer Acht gelassen, dass die finanzielle Integration von Wichtigkeit war. Auf der Grundlage norwegischer Daten und qualitativer Quellen zeigt der Autor, dass finanzielle Transaktionen durch den Clearing-Mechanismus der Union von ganz wesentlicher Bedeutung waren. Daher bestand die wahre Bedeutung der Währungsunion in der Förderung der Herausbildung eines einheitlicheren skandinavischen Geldmarktes.

Dieser Artikel vergleicht Japan und Südostasien vor dem Zweiten Weltkrieg, um folgende von Goldsmith gestellte Frage näher zu beleuchten: Warum sollte es – obwohl doch die finanzielle Übergangsphase in allen Ländern gleich verläuft – so bemerkenswerte Unterschiede in der Geschwindigkeit geben, mit der dieser Übergang vonstatten geht? Japan hatte sich nach der Meiji-Restauration im Jahre 1868 und von demselben Pro-Kopf-Einkommen wie die Länder Südostasiens ausgehend bis zum Jahre 1913 ein modernes Finanzsystem aufgebaut, das mit denen des Westens vergleichbar war. Die Finanzwirtschaft in den Ländern Südostasiens war jedoch (und blieb bis zum Jahre 1939) nur schwach entwickelt, zeigte sich von hauptstädtischen Interessen dominiert, war stark von informeller Finanzierung abhängig und auf primäre Warenexporte ausgerichtet. Der Artikel behauptet, dass sich der nur teilweise erfolgte Wandel im Finanzwesen Südostasiens durch die kontinuierliche Fähigkeit, Rohstoffe zu nutzen, durch beschränkte technologischen Änderungen und die wirtschaftsliberale Einstellung der Kolonialregierungen erklären lässt. Japan, im Gegensatz dazu, konnte sich bei seinem Wachstum nicht auf reiche natürliche Ressourcen verlassen. Anhand der japanischen Erfahrung wird deutlich, wie nationalistische Ziele von militärischer Macht und Industrialisierung Regierungen motivieren können, den Wandel im Bereich Finanzwesen zu beschleunigen.

Dieser Artikel untersucht die Automatisierung im Finanzdienstleistungssektor der britischen High-Street-Banken und liefert dazu eine vergleichende Betrachtung der Rolle, die ähnliche Entwicklungen in den USA spielten. Das Ziel besteht darin, eine historische Perspektive zu bieten, um die Langlebigkeit organisationeller Veränderungen im Finanzsektor zu unterstreichen und ihre bemerkenswerte Kontinuität hervorzuheben: Britische Verrechnungsbanken und Bausparkassen sahen sich mit sehr spezifischen Problemstellungen konfrontiert, auf die sie auf bestimmte Art und Weise reagierten. Die Büroautomatisierung – von der Einführung von Büromaschinen vor 1914 und dem ‘mechanischen Bankwesen’ in den Jahren zwischen den Kriegen bis hin zur Kulmination mit der Einführung der Computertechnik in den späten 1950-er Jahren und danach – wurde eingeführt, nachdem die neu verfügbaren Möglichkeiten in Bezug auf ihre Kosten und Vorteile begutachtet worden waren. Innovative Verfahrensweisen und Gepflogenheitenen, die mit der Buchhaltung in Zusammenhang standen, wurden eingeführt – jedoch blieb die Nutzung der Buchhaltungsdaten für Anweisungs- und Kontrollzwecke weitestgehend unverändert.

In der späten Vorkriegszeit dienten staatliche Banknoten als wichtigste Methode für Barzahlungen, aber die von den meisten Banken herausgegegebenen Banknoten zirkulierten lediglich zu Pari in einem geografisch begrenzten Gebiet. Durch die Verabschiedung der National Currency Acts von 1863 und 1864 versuchte der US-amerikanische Kongress, eine einheitliche Banknotenwährung zu schaffen. Der Schlüssel dazu, die nationalen Banknoten zu Pari zu behalten, während sie in einiger Entfernung zur Ausgabebank kursierten, bestand in der Forderung, dass Banken ihre Noten bei Agenten in bestimmten Einlösestädten, wo sich die Banknoten zu Handelszwecken in Umlauf befanden, auslösen mussten. Die Banken in diesen Einlösestädten mussten wiederum ihre Banknoten in der zentralen Einlösestadt New York einlösen. Diese hierarchische Struktur sollte eine einheitliche Währung schaffen, und gleichzeitig den Banken nur verhältnismäßig geringe Kosten verursachen, sodass das nationale Banksystem in der Lage wäre, die bereits vorhandenen staatlichen Banksysteme zu verdrängen.

Este artículo resalta la importancia de la Unión Monetaria Escandinava (SMU) al fomentar la integración del mercado financiero en Escandinavia con anterioridad a la Primera Guerra Mundial. Estudios anteriores se han centrado en la integración comercial y el impacto en la integración monetaria actual, pero han desestimado la noción de que la integración monetaria fuera importante. Tomando como base datos noruegos y fuentes cualitativas el autor demuestra que las transferencias financieras a través del mecanismo de compensación de la unión fueron importantes. De modo que el verdadero significado de la unión monetaria fue facilitar el desarrollo de un mercado monetario escandinavo más unificado.

Este artículo compara Japón y el sureste asiático antes de la Segunda Guerra Mundial para explorar la cuestión planteda por Goldsmith: por qué, si la transición financiera en todos los países sigue el mismo camino, ha de haber diferencias tan notables en la velocidad de dicha transición? Con punto de partida tras la Restauración Meiji en 1868 y contando con los mismos ingresos per capita que los países del sureste asiático, Japón había construido un sistema financiero moderno comparable a los occidentales hacia 1913. Sin embargo las finanzas en los países del sureste asiático estaban (y continuaban estándolo en 1939) poco desarrolladas, dominadas por inetereses metropolitanos, dependían fuertemente de finanzas informales, y estaban orientadas hacia la exportación de bienes primarios.

Este artículo argumenta que la poco más que transición parcial del sureste asiático se explica por una continuada habilidad para canalizar recursos naturales, cambio tecnológico limitado y la posición no intervencionista de los gobiernos coloniales. Japón, por el contrario, no pudo depender de abundantes recursos naturales para su crecimiento. Su experiencia demuestra cómo los objetivos nacionalistas de poder militar e industrialización pueden motivar al gobierno para acelerar la transición financiera.

Este artículo explora la automatización del suministro de servicios financieros garantizados por bancos tradicionales británicos y proporciona una evaluación comparada del impacto de desarrollos similares en los EEUU. El objetivo es facilitar una perspectiva histórica para resaltar la longevidad del cambio organizativo del sector financiero y enfatizar su notable continuidad. En el Reino Unido, los bancos de compensación (clearing banks) y las entidades financieras de créditos hipotecarios (building societies) se enfrentaron a problemas muy específicos a los que aplicaron respuestas particulares. La mecanización de la oficina, desde que se adoptó el equipo de oficina con anterioridad a 1914 y la “banca mecanizada” en los años entre guerras a su culminación con la tecnología informática a finales de los años 50 y más allá, se introdujo una vez que se evaluaron las capacidades emergentes en términos de costes y beneficios. Se introdujeron prácticas y procedimientos innovadores asociados con la función de contabilidad, pero la utilización de la información contable para el mando y el control apenas sufrieron cambios.

En los últimos años del período antes de la guera, los billetes de bancos estatales servían como el medio principal de pago en efectivo, pero los billetes de la mayoría de los bancos estatales sólo circulaban de manera equilibrada dentro de una zona geográfica limitada. Al aprobar las Leyes sobre la Moneda Nacional de 1863 y 1864, el congreso de los EEUU buscaba crear una moneda uniforme en forma de billete bancario. La clave para hacer que los billetes continuasen estando equilibrados a medida que se alejaban del banco de emisión era el requisito de que los bancos canjeasen sus billetes con agentes en ciudades de canjeo designadas donde los billtes fluían con el comercio. A los bancos en estas ciudades de canjeo se les pedía a su vez que canjeasen sus billetes en la ciudad de canjeo central de Nueva York. Esta estructura jerarquizada estaba diseñada para crear una moneda uniforme a la vez que imponía a los bancos costes lo suficientemente bajos como para que el sistema de banca nacional desplazase a los sistemas de banca estatales ya existentes.