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Avant-Propos

Published online by Cambridge University Press:  18 December 2008

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Abstract

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Copyright © Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis 1972

References

page VI note 1 Souvent là où l'un des collaborateurs parle d'un document publié ailleurs dans le recueil, le comité de rédaction s'est permis d'y renvoyer en note, ce qui n'implique pas que les auteurs aient pris connaissance de leurs contributions respectives. En régie générale, les documents ont subi quelques retouches légères de ponctuation et d'orthographe, pour en faciliter la compréhension.

page VI note 2 jadis, J'ai avancé, dans Procès des Communards, Paris 1964 (2e éd. 1971)Google Scholar, cette conclusion que l'insurrection communaliste de 1871 était «crépuscule, non pas aurore». A cette affirmation, je demeure fidèle, en ce sens du moins que la Commune m'apparaît d'abord comme la fin, l'achè;vement du grand cycle révolutionnaire français du XIXe siècle. Sans m'abriter derrière ce mot de «dialectique», dont en histoire on mésuse si fréquemment, il est bien loin de mes intentions, il l'a toujours été, que de nier qu'elle était porteuse (consciemment et inconsciemment) des espérances d'un avenir socialiste meilleur. Aurore! mais qui doit briller dans quel ciel!

page VII note 1 Je pense ici aux livres – auxquels M. Moissonnier fait leur part –, de J. Gaillard, Communes de province, Commune de Paris, Paris 1971, et de L. M. Greenberg, Sisters of Liberty, Cambridge (Mass.) 1971, qui amorcent un véritable tournant dans notre connaissance plutôt rudimentaire de la France provinciate de 1871.

page VII note 2 Les Actes de ce colloque ne tarderont pas à être publiés dans la Revue d'Histoire Moderne et Contemporaine. Nul en tout cas ne saurait aborder convenablement le problème, et nous moins que d'autres, sans la précieuse relecture préalable des textes pionniers de G. Bourgin qui fut le maître de plusieurs d'entre nous: «La lutte du Gouvernement français contre la Première Internationale», in: International Review for Social History», t. IV (1939); «Une entente francoallemande. Bismarck, Thiers, Jules Favre et la répression de la Commune de Paris (mai 1871)», in: International Review of Social History, t. I (1956).

page VIII note 1 Je ne mentionnerai évidemment ici que les travaux où l'on aborde un peu longuement les idées de Marx sur la Commune et l'Etat, et dans la liste déjà longue de ceux-ci, le Marx de Werner Blumenberg, Paris 1967, Nicos Poulantzas, Pouvoir politique et classes sociales, Paris 1968, J. Bruhat, Marx/Engels [Collection 10/18], Paris 1971; je ne puis manquer de rappeler tous les travaux de notre ami Maximilien Rubel, mais aussi et surtout en ce qui touche notre propos le recueil désormais fondamental, K. Marx et F. Engels, La Commune de 1871, traduction et présentation de R. Dangeville [Collection 10/18], Paris 1971. Me permettra-t-on d'ajouter que j'ai naguère essayé de me pencher sur ce difficile et délicat problème, dans «Karl Marx, l'Etat et la Commune», in: Preuves, novembre et décembre 1968 ?

page IX note 1 Georges Haupt a tenté de mettre quelque peu en ordre les données principales de ce difficile problème lors des journées du Colloque de Paris de mai 1971. Actes à paraître dans Le Mouvement Social, numéro spécial d'avril-juin 1972.

page IX note 2 Anne Roche a déjà proposé, avec G. Delfau, éditeur des lettres d'exil de Vallès, un rapport sur «La Commune et le roman» au Colloque français de 1971. Remercions-la d'avoir bien voulu développer encore ici pour nous ses idées neuves qui nous provoquent à la réflexion avec tant d'insistance.