^{page 297 note 1} Les Comités directeurs de ces Sociétés ont fait connaître leur point de vue au Comité International de la Croix-Rouge.

Le rapport présenté à l'assemblée générale de l'Association des Dames Françaises, le 31 janvier 1919, sur les divers travaux accomplis par la société depuis le début des hostilités est à l'impression (lettre du 4 février).

Quant à la Société de secours aux blessés militaires qui, avant la guerre, publiait un bulletin mensuel, elle a dû, à partir de la déclaration de guerre, espacer cette publication de trois en trois mois.

« … Pour la France en général, et pour la Société française de secours aux blessés militaires en particulier, nous écrit le Secrétaire-général de cette société (25 février), le temps n'était plus à la parole et à la plume, mais à l'action ».

« La Société française de secours aux blessés militaires avec ses 500 comités, ses 800 hôpitaux, ses infirmeries de gare, ses cantines, ses postes de secours, ses convois auxiliaires, ses cercles du soldat, a tenu tête à la tâche qui lui était imposée pour cette lutte gigantesque. Je vous assure, ajoute notre correspondant, qu'elle n'avait guère le temps de songer à faire de la prose. »

^{page 297 note 2} Voy. ci-dessous, page 378.

^{page 298 note 1} Voy. Nouvelles, 1917, No 33, p. 275.Google Scholar

^{page 298 note 2} Voy. Nouvelles, 1918, No 2, p. 14.Google Scholar

^{page 298 note 3} Voy. entre autres Nouvelles, 1918, No 38, p. 240.Google Scholar