Hostname: page-component-84b7d79bbc-g78kv Total loading time: 0 Render date: 2024-07-27T16:52:23.962Z Has data issue: false hasContentIssue false

Sous la terreur parisienne.

Published online by Cambridge University Press:  22 September 2017

Get access

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Du Passé au Présent : Courriers Critiques
Copyright
Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1944

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 113 note 1. Paris, Librairie Nizet et Bastard, ipii ; in-88, 408 p. (avec un index des noms de personnes). Les archives du dit Comité sont aux Archives Nationales. Les principaux arrêtés et communications au public étaient insérés dans le Moniteur et le Journal de France.

page 113 note 2. Il assura, par exemple, le paiement des 40 sols aux insurgés du 31 mai. M. Calvet a dressé la carte des sections selon le pourcentage des Insurgés par rapport à la population (p. 158). Voir une autre carte des effectifs de l'armée révolutionnaire eelon un pourcentage analogue (p. 186). Trop rares sont les tentatives cartographiques de cette sorte pour n'être point signalées ici !

page 113 note 3. M. Calvet souligne que les rapports avec les autorités provinciales se bornèrent à des échanges de dénonciations et d'adresses de propagande. Ajoutons; aprfe lui, que les comités départementaux qui n'ont pas d'ailleurs surgi partout (le comité parisien entra en relations avec 17 d'entre eux, p. 5), ne sont guère connus et ont été parfois même confondus avec les comités de communes.

page 114 note 1. Par analogie méthodique, M. Calvet a également tenté un essai parallèle du bilan policier du Comité de Surveillance (après octobre 1793). Il apparaît de même restreint dans le domaine économique, portant surtout sur les suspects, mais a un rythme moins précipité. (Sur la surveillance des journaux et des théâtres, voir p. 340.)