¹ Cf. PMLA, LIX (Juin 1944), 446–455.

² Histoire de la Philosophie Moderne (Paris, 1876), i, 3.

³ “... Gassendi gehört... durch und durch der modernen Zeit an, und man thut ihm sehr Unrecht und verkennt ganz und gar seine Bedeutung, wenn man ihn wegen seiner Vorliebe fur Epikur aus der modernen Zeit herauswirft und der Période zurechnet, in welcher die Reproduktion der antiken Philosophie das wesentliche Interesse ausmachte.” Geschichte der Natur philosophie (Leipzig, 1841), i, 117.

⁴ Die Unterschiede zwischen der Naturphilosophie Descaries' und derjenigen Gassendi's, und der Gegensalz beider Philosophien uberhaupt (Leipzig, 1905).

⁵ Petri Gassendi Opera Omnia, édition de Lyon, 1658, et réimpression de Florence, 1727, 6 volumes in folio.

⁶ The Philosophy of Gassendi (London).

⁷ La Philosophie Moderne depuis Bacon jusqu'à Leibniz, G. Sortais, S J. (Paris 1922), ii, 1-269.

⁸ La Mothe le Vayer, Gassendi, Guy Patin; Etudes de Bibliographie et de critique, suivies de textes inédits de Guy Patin (Paris), 92 pp.; v. ch. ni: “Des manuscrits de Gassendi à l'oeuvre imprimée: la genèse du Syntagma Philosophicum.”

⁹ (Paris, 1943), 2 v., 713 pp.

¹⁰ Lettres Familières de .Gassendi à François Luillier pendant l'hiver 1632–1633 (Paris).

¹¹ Les Travaux de Gassendi sur Epicure et sur l'Atomisme, 1619–1658 (Paris, 1944).

¹² Mersenne, ou la naissance du Mécanisme (Paris).

¹³ “... er brachte keine Zitate...” (R. F. Pfaff, op. cit., p. 61).

¹⁴ Discours de la Méthode, i, 6, ligne 18–19 (édition Adam-Tannary).

¹⁶ Discours de la Méthode, Texte et Commentaire par Etienne Gilson (Paris, 192S), p. 123.

¹⁶ “Vie de Gassendi,” J. Bougerel (1737), p. 429.

¹⁷ “Je suis toujours sans contrainte mon propre génie”: traduction de B. Rochot, Travaux de G., p. 3, note 6.

¹⁸ Opera Gassendi, vi, 156; Rochot, op. cit., pp. 89–90 et note 110 donne cette traduction: il faut “philosopher sur la nature, non d'après une vaine autorité et selon une sorte de consigne imposée, mais selon les exigences de ce qui nous apparaît... il est évident que celui qui dépend du bon plaisir d'autrui, qui prend pour guide non la raison, ni l'observation, ni l'expérience, mais l'opinion d'un Maître selon les termes duquel il a prêté serment, celui-là n'est pas philosophe.”

¹⁹ Opera Gassendi, v, 171; traduction Rochot, pp. 129–130 et note 180: “... de même qu'en d'autres domaines, je n'écoute que la raison, si bien qu'Epicure ne m'entraîne pas plus que n'importe quel autre philosophe s'il ne la respecte.”

²⁰ Lettres de Peiresc, édition Tamizey de Larroque, IV, 249; et Rochot, p. 43.

²¹ Opera Gassendi, VI, 159 B, lettre au comte d'Alais du 14 novembre 1642; résumé dans Rochot, p. 96; cf. Opera Gassendi, I, 280 A et commentaire Rochot, pp. 189–190; v. ibid., pp. 151 et 152; cf. Opera Gassendi, v, 171.

²² Opera Gassendi, , 279 , cité et traduit par Rochot, p. 188 note 263 : “Il faut considérer... comme entièrement imaginaire cette gravité attribuée aux atomes, telle qu'en supprimant tout centre et en conservant pourtant dans l'Univers la distinction des deux régions, haute et basse, les atomes se meuvent d'eux-mêmes uniquement vers le bas, et cela sans aucun commencement ni aucune fin dans l'espace ni dans le temps; comme imaginaire aussi cette déclinaison en dehors du mouvement vertical, dont nous avons vu que Cicéron avait fait une juste et forte critique.” V. le commentaire de Rochot, pp. 180-189. (Les italiques ne sont pas dans le texte.)

²³ “Lettres de Peiresc,” iv, 249–250 (éd. T. de Larroque).

²⁴ Opera Gassendi, vi, 54 B, lettre à Campanella du 2 novembre 1632; traduction de Rochot, p. 57, note 76: “En tant que philosophe, je ne dois rien cacher de ce qui permet d‘éclaircir la façon de penser de celui que j‘étudie... mais je suis aussi chrétien et théologien, et dois me souvenir de ce qui convient à de tels personnages...;... et,... selon la parfaite loyauté qui est la tienne, tu n'as rien dissimulé de ce qui peut avoir été dit ou être dit encore en faveur d'une mauvaise cause...”

²⁵ Traduction de Rochot, p. 136, note 191 : “... mais encore certains, au premier rang desquels l'excellent Chapelain, me reprochèrent presque d'avoir l'air de ne poursuivre qu'une besogne de grammairien dans cet ouvrage...” (Lettre à Barancy du 2 avril 1647, Animadversiones (1649), i, 101.)

²⁶ Opera Gassendi, iii, 102; et au T. vi pour les lettres à Galilée; cf. Rochot, p. 27.

²⁷ Cf. Pierre Gassend, Gerhard Hess (Berlin, 1939), ch. iv, paragraphe 2, pp. 116–151.

²⁸ Opera Gassendi, iii, 478 sq. “De Motu impresso a Mo tore Translato” (1642); commentaires: A. Koyré, “Etudes Galiléennes,” iii, 65, note 1 et pp. 144–157; Lenoble, pp. 403, 410 et 599 note 1; Rochot, p. 114.

²⁹ “... auspiciis illius eximij, seu incomparabilis potiùs adolescentis PASCHALII...” (Animadversiones, 1649, ii, Appendix, p. iii). “... una cum mirifico adolescente Paschalio...” (ibid., i, 426).

³⁰ Cf. Animadversiones, i, Index p. g3: “De Nupero Expérimente circa Inane coaceruatum;... ”; ibid., i, 424–444: “DE NVPERO EXPERIMENTO circa Inane coaceruatum”; ibid., ii (Appendix), iii-x: “De facto novo circa Inane Experimento”; la rédaction finale se trouve dans le Syntagma Philosophicum, Opera Gassendi, i, 203–216. Cf. le commentaire de Rochot, p. 140 et pp. 154–156.

³¹ Selon Pintard, Etudes Bibliogr., p. 41, qui se réfère aux manuscrits mêmes de Gassendi.

³² Le Développement de la Physique Cartésienne de 1646 à 1712, P. Mouy (Paris, 1934).

³³ “En dépit de toutes les résistances, le cartésianisme a triomphé.” F. Bouillier, Histoire de la Philosophie Cartésienne, 3^e édition (1868), p. 486.

³⁴ Lenoble, p. 616.

³⁵ L. Brunschvicg, L'Expérience Humaine et la Causalité Physique (1922), p. 209.

³⁶ Pintard, Libertinage Erudit, surtout Part, iii, ch. 2, pp. 447 sq. Cf. la discussion par Rochot, pp. 192–195 et note 269, ainsi que G. Hess, Pierre Gassend, ch. i, pp. 33–41.