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Notes sur l’agriculture belge en 1953

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Une analyse économique de l’agriculture belge durant l’année écoulée présente, nécessairement, un caractère artificiel. Ce caractère tient à la nature même du sujet considéré. La période annuelle ne permet que rarement de rendre compte des réactions qui s’y produisent: le cycle saisonnier commande si étroitement les activités productives qu’il faut souvent rechercher en dehors de la période étudiée les premiers éléments d’un processus d’évolution.

D’autre part, cette subordination au lent travail transformateur de la nature sépare fréquemment d’un délai tel la décision humaine de son fruit, à travers les caprices des facteurs non économiques, que les faits observés se dérobent parfois à l’interprétation logique.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1954

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References

page 330 note (1) Dans une étude publiee au Bulletin de l'I.R.E.S. (XIV, L.° 4, août 1948, p. 417), K. Pinxten a estimé la part commercialisée de la production de

froment, à. 88 % ;

d'orge, à 26 % ;

d'avoine, à 15 %.

page 330 note (2) Exploitations recensées : au 15 mai, celles d'un are au moins; au ler Janvier, celles d'un ha au moins

page 331 note (1) Le total des ensemencements d'hiver est en progrès de 12,5 % sur celui de l'année antérieure. L'accroissement des emblavures de froment atteint presque le double : + 23,4 %.

page 331 note (1) Prix de stock, à Fort William-Port Arthur; variete n° 1, Manitoba Northern.

page 337 note (1) Un calcul sommaire, basé sur les quantités produites en 1953 et les prix moyens payés au producteur au cours de la même année, nous offre les résultats suivants :

betteraves à sucre 13.712.751 milliers de F
lin 586.327 milliers de F
tabac 184.545 milliers de F
chicorée à café 131.756 milliers de F
houblon 100.606 milliers de P

page 338 note (1) Prévision. Durant les 6 premiers mois de la campagne, la consommation fut de 16 % superieure a celle des 6 premiers mois de la campagne precedente. Si ce rythme d'augmentation se maintenait, 290.000 tonnes d'equivalent de sucre brut seraient consommees au cours de la campagne, soit tout le contingent!

page 339 note (2) Estimation tenant compte d'un stock de 51.432 tonnes restant en fin de campagne

page 338 note (1)

Indice des prix: Product végétaux Pommes de terre
(M.A.) base 1936-38=100 374,1 382,1
(B.B.) base 1949-50=100 104,9 111,0

page 344 note (1) Non comprises les pommes de terre.

page 344 note (2) Non compris l'orge de printemps.

page 349 note (1) Y compris les pommes de terre.

page 356 note (1) Non compris le gibier, ni la volaille

page 360 note (1) Moyenne des trois années. Les chiffres bruts de chaque année seraient trompeurs, car ils voilent d'importants mouvements de stocks : constitution de ceux-ci au début de la guerre de Corée, et écoulement dans les deux années ultérieures.

page 363 note (1) Estimation de M. W. Brinckman, confirmée par le Ministere de l'Agriculture.

page 363 note (2) Production + importations nettes, sans tenir compte des différences annuelles de stocks.

page 369 note (1) Respectivement: seigle 18,3%; avoine 14,3%; mais 12,7%; autrescéréales fourragères 23,3%.