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Les implications institutionnelles de l’intégration monétaire européenne

L’Argumentation D’Un Livre Recent

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

C.R.I.D.E.
Affiliation:
Université Catholique de Louvain
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Le Centre de Recherches Interdisciplinaires Droit-Economie de l’Université de Louvain juge utile de proposer une synthèse de l’ouvrage récent de Michel DESSART : “POUR UNE POLITIQUE MONETAIRE COMMUNE DANS LA C.E.E.”

Dans la ligne de ses préoccupations, le C.R.I.D.E. a souhaité mettre en évidence les implications institutionnelles de l’intégration monétaire européenne. C’est pourquoi il présente ici l’argumentation de l’auteur selon un ordre différent de celui du livre. Pour les passages qui lui paraîtraient schématiques ou incomplets, le lecteur est invité à se reporter au texte original.

Il va de soi que le C.R.I.D.E. ne partage pas nécessairement les vues présentées dans les pages qui suivent.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1972 

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References

NOTES

(1) On l’a notamment vu en 1969, lorsqu’en France, des considérations de prestige extérieur et, en Allemagne, des perspectives électorales contrecarrèrent et retardèrent outre mesure les décisions qui s’imposaient au niveau de la politique monétaire.

(2) Par exemple, lorsque, au début de 1963, la Nederlandsche Bank, d’une part, réduisit son taux d’escompte de 4 à 3,5 % et, d’autre part, releva de 4 à 5 % le coefficient des réserves obligatoires, elle s’efforçait d’obtenir deux résultats partiellement antagonistes : faciliter la reprise conjoncturelle en favorisant le recours au crédit et, par contre, empêchei les banques d’exercer une influence expansionniste trop marquée.

(3) Il y a, par exemple, un parallélisme certain entre la diminution ou l’augmentation des participations respectives des pays membres dans le total des réserves C.E.E. et la réduction ou le développement de la participation des mêmes pays au total des exportations C.E.E.