page 412 Note 2. Sloria del commercio italiano : il mercato nell’ alto medio evo. Padoue, Cedam, 1934; in-8°, VIII-349 p.

page 413 Note 1. Quelques erreurs cependant. Par un lapsus singulier, l'Edit de Pitres, de 864, qui est de Charles le Chauve et n'a trait, par conséquent, qu'à la France occidentale, est attribué à « Louis II et Lothaire ». — Le capitulaire de villis recommande d'éviter que le personnel des domaines royaux ne s'en aille « vaguer dans les marchés » : sage avis, qu'à travers les âges plus d'un propriétaire a répété à ses valets de terme, trop enclins à gaspiller leur temps sur les foirails. A la suite de Mr Dopsch, Mr Carli y voit la preuve d'une « fuite vers les villes » I Je demande bien pardon d'insister sur ce détail en apparence insignifiant. Mais on ne saurait trop dire qu'à torturer ainsi les textes ce sont nos études elles-mêmes sur lesquelles on jette le discrédit.

page 413 Note 2. Dans un article précédemment paru dans les Annales (t. VII, 1935, p. 643, n. 1), j'ai eu l'occasion de signaler, à la suite de Mr J. Sion, combien il serait désirable de rassembler les renseignements relatifs au portage à dos d'homme, avant la grande révolution des transports que, nous dit Mr Lefebvre des Noettes, provoqua l'avènement de l'attelage « moderne ». Une note de Mr Carli attire mon attention sur un témoignage nouveau, dans le diplôme d'exemption de péages accordé en 769 par le roi des Francs Carloman à l'abbaye de Novalèse (Dipl. Karolina, I, n° 47).