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Molecular evidence for sympatric taxa within Pemphigus betae (Hemiptera: Aphididae: Eriosomatinae)
Published online by Cambridge University Press: 02 April 2012
Abstract
Mitochondrial DNA cytochrome c oxidase subunit 1 (DNA barcode) and nuclear microsatellite flanking region sequences were used to analyse populations of putative “sugarbeet root aphid”, Pemphigus betae Doane, from sites in Alberta, Canada. Three sympatric genotypes were revealed, identified as P. betae, P. populivenae Fitch, and an undetermined third species. All three genotypes formed morphologically indistinguishable galls on the same set of cottonwood (Populus L., Salicaceae) host species, often on the same tree. Gall morphology is frequently used to identify Pemphigus species. Our results indicate that this practice may be unreliable for these three taxa at least.
Résumé
Les séquences de la sous-unité 1 de la cytochrome c oxydase de l'ADN mitochondrial (code à barres de l'ADN) et de la région flanquante des microsatellites nucléaires nous ont servi à analyser les populations de l'espèce putative du « puceron de la betterave à sucre », Pemphigus betae Doane, de sites de l'Alberta (Canada). Il existe trois génotypes sympatriques, identifiés comme P. betae, P. populivenae Fitch et une troisième espèce non identifiée. Les trois génotypes forment tous des galles qui sont impossibles à distinguer sur le même ensemble d'espèces-hôtes de peupliers (Populus L., Salicaceae), souvent sur le même arbre. La morphologie des galles sert souvent à identifier les espèces de Pemphigus; nos résultats indiquent que cette procédure n’est pas fiable au moins pour ces trois taxons.
[Traduction par la Rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 2010
References
- 9
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