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OVIPOSITION PREFERENCE OF A POLYPHAGOUS MOTH, THE OBLIQUEBANDED LEAFROLLER, CHORISTONEURA ROSACEANA (HARRIS) (LEPIDOPTERA: TORTRICIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The daily pattern of oviposition, the rank order of oviposition preference for three potential hosts, and the effect of experience on oviposition preference were investigated under natural abiotic conditions in the obliquebanded leafroller, Choristoneura rosaceana. Females from the two adult cohorts occurring seasonally oviposited between 0400 and 2400 hours, with peak oviposition around 2000 hours. Both non-choice and choice oviposition trials revealed that the apple and snowberry hosts were preferred over wild rose. Oviposition preference resulted in delays in laying on the less preferred host, but seemed to have no effect on clutch size. Females caged with exclusive access to one of the three hosts appeared to have similar lifetime fecundity or longevity. A first oviposition on wild rose resulted in a delay in laying a second clutch on that host, which suggests the presence of aversive learning that could function to reduce the liklihood of laying successive clutches on a less preferred host. A first oviposition on the apple host, however, seemed to have no effect on further oviposition preference. Hence, it appears that learning would not function specifically to concentrate foraging of the females within apple orchards.
Résumé
Le moment de la ponte au cours de la journée, le rang de préférence de trois hôtes potentiels et l’effet de l’expérience sur le choix d’un site de ponte ont été étudiés dans des conditions abiotiques naturelles chez la Tordeuse à bandes obliques, Choristoneura rosaceana. Les femelles des deux cohortes annuelles d’adultes pondaient entre 0400 et 2400 heures et les efforts de ponte étaient concentrés autour de 2000 heures. Les expériences de ponte avec choix et sans choix ont démontré que les insectes préféraient pondre sur les pommiers et les shepherdies plutôt que sur les églantiers. Ces préférences ont donné lieu à des retards dans la ponte sur l’hôte le moins apprécié, mais ces retards n’affectaient pas le nombre d’oeufs pondus. Les femelles en cage avec accès exclusif à un type d’hôte semblaient avoir toutes la même fécondité globale et la même longévité. Une première ponte sur des églantiers a eu pour effet d’entraîner un retard dans la seconde ponte sur cet hôte, ce qui semble indiquer que l’existence d’un apprentissage malheureux peut réduire la probabilité de pontes consécutives sur un hôte moins apprécié. En revanche, une première ponte sur un pommier semble être restée sans effet sur les pontes subséquentes. Il semble donc que l’apprentissage ne résulterait pas nécessairement en une concentration des efforts de recherche de nourriture des femelles dans les vergers de pommiers.
[Traduit par la Rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1995
References
- 6
- Cited by