Article contents
MONITORING WESTERN FLOWER THRIPS (THYSANOPTERA: THRIPIDAE) IN “GRANNY SMITH” APPLE BLOSSOM CLUSTERS
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The efficiency and accuracy of sampling western flower thrips (Frankliniella occidentalis [Pergande]) from “Granny Smith” apple blossom clusters were analyzed during 1986–1987 to develop a sampling plan for research purposes. The accuracy of the “shake” method was compared with an “extraction” process of each of three blossom cluster types: pink, open, and petalless (petal fall). Thrip extractions from combined clusters revealed that a 9-s and 6-s “shake” removed 84 and 74%, of the thrips, respectively, but a 3-s “shake” removed 53%, and was more variable. Open blossom clusters always had higher thrips densities than either pink or petal fall clusters, regardless of the bloom state. The effects of cardinal position within trees were not consistent over time. Clusters from the top of the canopy had more thrips than lower canopy clusters, and apical clusters had more thrips than basal clusters during peak bloom. Variance component analyses indicated that thrips counts from clusters within tree were more variable than counts among trees, even when cluster types were analyzed separately. Two sets of indices (Iwao’s regression of mean crowding on mean density and Taylor’s regression of log variance on log mean density) for each cluster type indicated aggregated spatial patterns. Precision level sampling plans were developed using Iwao’s regression coefficients.
Résumé
L’efficacité et la précision dans l’échantillonage de Frankliniella occidentalis (Pergande) à partir des inflorescences du pommier “Granny Smith” ont été analysées durant 1986 et 1987 en vue de développer un model d’échantillonage à but de receherche. La précision dans la méthode de “secousse” a été comparée à celle d’un procédé d’extraction de thrips dans chacun des types suivant d’inflorescences : roses, épanouies et sans pétale. Les extraits de F. occidentalis de ces inflorescences révélaient que 9 s et 6 s de “secousse” suffisaient pour isoler respectivement 84 et 74% de lui, tandis que 3 s de secousse en isolait 53% avec plus de variation. Les inflorescences épanouies contenaient toujours une densité élevée par rapport aux inflorescences roses et aux inflorescences sans pétale malgré les étapes. La position géographique des inflorescences avait des effets irreguliers dans le temps. Les inflorescences au sommet des arbres contenaient plus de thrips que celles en dessous, les inflorescences apicales en avait plus que celles en position basale à l’épanouissement maximum des fleurs. Les analyses de variance indiquaient que les nombres de thrips entre inflorscences d’un arbre variaient plus que ceux des inflorescences d’un arbre à l’autre même lorsque les types d’inflorescences étaient analysés séparément. Deux groupes d’indices (la régression d’agrégation moyenne sur la densité moyenne de Iwao et la régression du log de la variance sur le log de la densité moyenne de Taylor) pour chacun des types d’inflorescences indiquaient une distribution agrégée. Les models d’échantillonage ont été développé en utilisant le coefficient de régression de Iwao.
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1988
References
- 27
- Cited by