^{page 483 note 1} Sur Albarracin, cf. Guillaurne, James, L'Internationale. Documents et Souvenirs (1864–1878), Paris 1905–1910, t. II, p. 276Google Scholar; t. III, p. 47, 86 note, 184, 319; t. IV, p. 62, 146, 172, 210, 232 note, 249 et 312.

^{page 484 note 1} Carton 3. Sur ces papiers Guillaume, cf. notre article dans le Mouvement Social, 1964, No. 48, p. 95–108Google Scholar. Cette liasse de lettres adressées à Kropotkine avait été confiée par celuici, lors de son départ de La Chaux-de-Fonds, au peintre Gustave Jeanneret. L'anarchiste russe la fit remettre à Guillaume en 1907 (J. Guillaume, op. cit. t. IV, p. 146, note 4).

^{page 484 note 2} Guillaume, op. cit., t. IV, p. 249.

^{page 484 note 3} Albarracín était naturellement rentré en Espagne sous une fausse identité.

^{page 485 note 1} Le congrès de la Fédération jurassienne se tint à St-Imier du 4 au 6 aoüt 1877. La résolution relative au congrès universel de Gand est reproduite par Guillaume, op. cit., t. IV, p. 233–234. Elle prévoyait que les délégues de la Fédération devraient au préalable se mettre d'accord avec les autres fédérations de l'Internationale, au congrès de Verviers, puis, à Gand, n'accepter le «<pacte de solidarité» proposé qu'à condition de sauvegarder intégralement le principe de l'autonomie de chaque organisation.

^{page 485 note 2} Professeur de mathématiques; membre de l'Alliance et de la Fédération espagnole qui l'avait délegué au congrès de Berne, en 1876, où Guillaume avait fait sa connaissance et l'avait trouvé très exalté (op. cit., t. IV, p. no). II sera également délégué aux congrès de Verviers et de Gand, en septembre 1877.

^{page 485 note 3} Une partie des insurgés d'Alcoy avait été déportée aux Philippines.

^{page 485 note 4} Ce nom est-il un pseudonyme d'Albarracín?

^{page 485 note 5} Jean-Louis Pindy.

^{page 486 note 1} Les internationalistes espagnols se préparaient à une insurrection.

^{page 486 note 2} James Guillaume et Paul Brousse.

^{page 486 note 3} Les membres de la Fédération jurassienne, pour prendre leur revanche de la manifestation du 18 mars à Berne, avaient décidé, à l'occasion du congrès de St-Imier, de défiler dans les rues de la petite bourgade, drapeau rouge en tête. On s'attendait à quelques heurts avec la police ou les éléments hostiles de la population, comme à Berne, mais il n'en fut rien.

^{page 488 note 1} J. B. Baudrand, tapissier lyonnais, fixé à La Chaux-de-Fonds et membre actif de la section de l'lnternationale.

^{page 488 note 2} Nous n'avons pu identifier cette personne.

^{page 488 note 3} Le congrès de St-Imier, 4–6 août 1877Google Scholar. cf. note 1, p. 485.

^{page 488 note 4} Bulletin de la Fédération jurassienne, 12 août 1877.

^{page 488 note 5} Le procés intenté à Berne aux participants à la manifestation du 18 mars, qui se déroula du 16 au 18 ao^ut 1877. cf. Guillaume, op. cit., t. IV, p. 239–247.

^{page 488 note 6} L'Avant-Garde, , organe de la Fédération française de l'A.I.T., rédigée par Brousse, paraissait à La Chaux-de-Fonds depuis le 2 juin 1877Google Scholar; elle parut jusqu'au 2 décembre 1878.

^{page 489 note 1} Albarracin, en se réjouissant de la prise de position tres nette du congrès de St-Imier en faveur du principe d'autonomie comme préalable à tout «<pacte de solidarité» entre les fédérations de l'Internationale et les organisations de tendance social-démocrates, regrette le rapprochement qui avait été tenté, l'année précédente, lors du congrès de Berne, entre socialistes allemands et internationalistes fédéralistes.