Ma première étude publiée par la Revue internationale de la Croix-Rouge dans son numéro 194 de février 1935 (p. 79 et suiv.) m'a valu un certain nombre de demandes d'explications qui m'obligent à quelques précisions. C'est surtout à M. Paul Des Gouttes, à qui m'unissent près de douze années d'une intime collaboration dans ce domaine de l'aviation sanitaire, que je désire fournir ces explications.