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Syrie Romaine, de Pompée à Dioclétien

Published online by Cambridge University Press:  24 September 2012

J.-P. Rey-Coquais
Affiliation:
Université de Dijon

Extract

Sur la Syrie romaine, nos informations sont aujourd'hui vastes, lacunaires et dispersées. Fouilles et explorations ont considérablement enrichi la documentation disponible. Archéologie, épigraphie, numismatique ont donné lieu à des publications nombreuses. Les textes littéraires antiques ont été réinterprétés. Des études d'ensemble ou de détail, au premier rang desquelles prennent place celles d'Henri Seyrig, ont renouvelé notre connaissance des faits et des événements.

Quelques pages ne peuvent être ni une synthèse ni un catalogue; un choix s'impose. Certains points, assurés depuis longtemps, permettent d'être bref; d'autres, récemment acquis ou encore en discussion, appellent de plus longs développements.

A regret, nous laisserons de côté les multiples aspects de la civilisation, ou plus exactement des rencontres de civilisations, dont l'étude rend passionnante l'histoire de la Syrie dans l'antiquité. Nous tentons seulement de fournir pour cette étude en quelque sorte un cadre et une toile de fond indispensables, en montrant comment il a fallu plus de trois siècles pour que la Syrie fût solidement intégrée à un empire romain unifié. De l'emprise romaine, nous nous attacherons à préciser les étapes d'abord, de la conquête de Pompée à la reconquête d'Aurélien, les instruments ensuite, gouverneurs, armée, organisation des finances et de la monnaie. Cette perspective explique que nous nous arrêtions chronologiquement au règne de Dioclétien, malgré le grand intérêt que présente en Syrie le IVe siècle de notre ère.

Type
Research Article
Copyright
Copyright ©J.-P. Rey-Coquais 1978. Exclusive Licence to Publish: The Society for the Promotion of Roman Studies

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References

1 Parmi toutes les personnes qui, depuis vingt ans, m'ont aidé à prendre une connaissance directe de la Syrie antique, qu'il me soit permis de remercier très vivement de leur accueil, au Liban, l'Émir Maurice Chéhab, directeur général des Antiquités, M. Ernest Will, directeur de l'Institut français d'archéologie de Beyrouth, M. Maurice Dunand, directeur des fouilles de Byblos et de Sidon, le R. P. Maurice Tallon, de l'Université Saint-Joseph de Beyrouth; en Syrie, le Dr. Afif Bahnassi, directeur général des Antiquités et des Musées, M. Adnan Bounni, directeur des Fouilles, et le Dr. Kassem Toueir, directeur à la Direction Générale des Antiquités, M. Bachir Zouhdi, Conservateur au Musée de Damas, M. Gabriel Saadé à Lattaquié, M. Thierry Bianquis, directeur de l'Institut français d'Études arabes de Damas, ainsi que ses prédécesseurs, M. Nikita Élisséeff M. André Raymond. J'exprime tout particulièrement ma reconnaissance à M. Jean Pouilloux, maintenant directeur au Centre National de la Recherche Scientifique. Le Professeur Fergus Millar a bien voulu réviser mon manuscrit et me suggérer corrections et compléments; je l'en remercie sincèrement.

2 Voir mon ouvrage Arados et sa pérée aux époques grecque, romaine et byzantine (1974), 191–258; voir aussi le volume collectif Ἑλληνισμὸς καὶ Ῥώμη (Ἱστορία τοῦ Ἑλληνικοῦ Ἔθνους, Athènes, Ekdotike Athenon, 1976), 270–319, où j'ai tenté une synthese sur Rome et l'hellénisme dans la Syrie romaine.

3 Noter quelques sigles utilisés dans cet article: AAS = Armales archéologiques de Syrie, devenues Annales archéologiques arabes syriennes; BMB = Bulletin du Musée de Beyrouth; CIS = Corpus Inscriptionum Semiticarum; DBS = Supplément au Dictionnaire de la Bible de Vigouroux; IGLS = Inscriptions Grecques et Latines de la Syrie (publiées par L. Jalabert, R. Mouterde, C. Mondésert ou J.-P. Rey-Coquais); MUSJ = Mélanges de l'Université Saint-Joseph de Beyrouth; RN = Revue numismatique; SGN = Sylloge Graecorum Nummorum; ZDPV = Zeitschrift des deutschen Palästina-Vereins. Noter aussi l'abréviation suivante: Schürer2 = E. Schürer, The History of the Jewish People in the Age of Jesus Christ (175 B.C.–A.D. 135) 1, édité et révisé par G. Vermes et F. Millar (1973). Aufstieg und Niedergang der röm. Welt 11. 8 (1977), 3294Google Scholar consacrées à la Syrie, a paru trop tard pour pouvoir être utilisé ici.

4 Sur la situation au Ier siècle ayant J.-C, mise au point et références dans Will, Éd., Recherches sur l'histoire politique du monde hellénistique 11 (1967), 423–34Google Scholar. 455–66.

5 Sur l'importance et la position des éléments arabes en Syrie, voir Dussaud, R., La pénétration des Arabes en Syrie avant l'Islam (1955)CrossRefGoogle Scholar; Merkel, R., dans Altheim, F.Stiehl, R., Die Araber in der Alten Welt 1 (1964), 139–80Google Scholar.

6 cf. Starcky, J., ‘Pétra et la Nabatène’, DBS VII (1966), 907Google Scholar; Jones, A. H. M., The Cities of the Eastern Roman Provinces2 (1971), 254Google Scholar; Teixidor, J., The Journal of the Ancient Near Eastern Society of Columbia University 5 (1973), 408Google Scholar; Schürer2, 577–9. La Souda, s.v. Νικόλαος et Ἀντίπατρος, fournit quelques données sur la situation de la bourgeoisie hellénisée de Damas au temps de la jeunesse de Nicolas de Damas; cf. Wacholder, B. Z., Nicolaus of Damascus (1963), 1417Google Scholar; Bowersock, G. W., Augustus and the Greek World (1965), 134–8Google Scholar.

7 cf. Éd. Will, op. cit. (n. 4). Les intérêts financiers apparaissent bien aux premiers temps de l'occupation romaine; cf. Nicolet, C., L'ordre équestrea à l'époque républicaine (2 vol., 1966 et 1974), 335, 678, 763–4Google Scholar.

8 Rizzo, Voir F. P., Le fonti per la storia delta conquista pompeiana delta Stria (Suppl. Kokalos 2; Palermo 1963)Google Scholar.

9 cf. Jones, A. H. M., Cities, 256–62Google Scholar.

10 H. Bietenhard, ‘Die Dekapolis vom Pompeius bis Traian’, ZDPV 76 (1963), 24–58; Parker, S. Thomas, ‘The Decapolis Reviewed’, Journ. Bibl. Lit. 94 (1975), 437–41CrossRefGoogle Scholar, montrant que la Décapole est une expression géographique et non une ligue fondée par Pompée. Sur Pella, voir R. H. Smith, Pella of the Decapolis, vol. 1, The 1967 Season of the College of Wooster Expedition to Pella (1973).

11 H. Seyrig, Antiq. syr. VI, 41–2.

12 Wagner, J., Seleukeia am Euphrat/Zeugma (Beihefte zum Tübinger Atlas des Vorderen Orients, Reihe B/10, 1976), 275–6Google Scholar et 285–6. La ville fut enlevée à la Commagène et rattachée à la province de Syrie après Actium.

13 Voir notamment Bellinger, A. R., ‘The Early Coinage of Roman Syria’, Studies in Roman Economic and Social History presented to A. C. Johnson (1951), 5867Google Scholar; Downey, G., A History of Antioch in Syria (1961), 143–62CrossRefGoogle Scholar; M. Chéhab, ‘Tyr à l'époque romaine’, MUSJ 38 (1962), 24–6; Rey-Coquais, J.-P., Arados et sa pérée, 160–4Google Scholar.

14 Sur les ères, les études d'H.Seyrig, Antiq. syr. (voir index), demeurent fondamentales. Les récents manuels de chronologie, Grumel, V., La Chronologie (Traité d'Études Byzantine 1, 1958)Google Scholar, Bickerman, E. J., Chronology of the Ancient World (1968)Google Scholar, Samuel, A. E., Greek and Roman Chronology, Calendars and Years in Classical Antiquity (Handbuch der Altertumswissenschaft 1. 7, 1972Google Scholar), qui ne sauraient tout développer, sont insuffisants.

15 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 73–84; 77–8, raison du choix de l'année 66 comme origine de l'ère, mais Antiq. syr. VI, 98: l'ère d'Antioche est une ère locale. Il n'y a pas d'ére pompéienne d'Aréthuse; R. Mouterde, IGLS V, p. 57, Samuel, A. E., Greek and Roman Chronology, 247Google Scholar, n. 1, n'ont pas vu qu'Antiq. syr. IV corrigeait Syria 27 (1950), 20–1.

16 Ère pompéienne de 64 ou 63 à Tripolis, H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 109–10; à Orthosie, Botrys, Byblos, H. Seyrig, Antiq. syr. V, 92–9.

17 Ère pompéienne probablement de 63 à Dora et à Démétrias de Phénicie, H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 72–117.

18 Ères de 64 à Gadara, Hippos, Scythopolis, de 63 à Gérasa, Pella, Philadelphie, H. Seyrig, Antiq. syr. VI, 44; pour Scythopolis, voir aussi H. Seyrig, RN 1964, 65–7. Ères de 64 ou de 63 à Abila et Dion, H. Seyrig, Antiq. syr. VI, 49–51, en tenant compte que Tafas, sur le territoire de Dion ou d'Abila, a une ère de 64, ibid., 44, n. 5.

19 H. Seyrig, Antiq. syr. VI, 45–8; Tripolis, Orthosie, Démétrias, Dora, ont aussi frappé des monnaies de l'an 1.

20 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 73, 76, 81.

21 H. Seyrig, ibid., 97.

22 H. Seyrig, Antiq. syr. V, 93, n. 4.

23 H. Seyrig, RN 1964, 220; cf. J.-P. Rey-Coquais, Arados et sa pérée, 162.

24 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 116–17. Il n'y a pas d'ère césarienne de Scythopolis, H. Seyrig, RN 1964, 65–7.

25 cf. Buchheim, H., Die Orientpolitik des Triumvirn M. Antonius (1960)Google Scholar.

26 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 98–101. Cette ère date les lettres d'Octavien à son navarque Séleucos de Rhosos, IGLS 718 = Sherk, R. K., Roman Documents from the Greek East (1969), no. 58Google Scholar. Encore en usage en 135/6, RN 1968, 9.

27 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 84.

28 H. Seyrig, RN 1964, 41, 43; cf. J.-P. Rey-Coquais, Arados et sa pérée, 164.

29 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 109–10.

30 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 73–109; V. 93, n. 3; 95, n. 6.

31 cf. CIL III 6687 ( = ILS 2683 = Ehrenberg-Jones, n°. 231 = E. Gabba, Iscr. gr. e lot. per lo studio della Bibbia (1958), 52–61, n° 18); cf. J.-P. Rey-Coquais, MUSJ 47 (1972), 100–1.

32 H. Seyrig, Antiq. syr. V, 87–8; IGLS 2085.

33 H. Seyrig, Antiq. syr. V, 89, 92–4, 96; cf. J.-P. Rey-Coquais, MUSJ 47 (1972), 100–1.

34 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 85.

35 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 188–92; VI, 53–5; IGLS VII, p. 22–4; cf. Arados et sa pérée, 196.

36 A. Alt, ZDPV 62 (1939), 209–20.

37 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 145. A. E. Samuel, Greek and Roman Chronology, ne mentionne pas l'ère tyrienne de 126 avant J.-C.

38 Seyrig, H., Syria 39 (1962), 42–4CrossRefGoogle Scholar.

39 Il n'y a pas de documents sur la façon de dater dans la Syrie intérieure entre la conquête de Pompée et le règne d'Auguste; cf. Seyrig, Antiq. syr. V, 98, n. 5. L'ère des Séleucides est en usage à Damas, H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 101–4, à Baalbek et dans sa région, Seyrig, H., Syria 39 (1962), 44, n. 2CrossRefGoogle Scholar.

40 L'usage d'ères différentes peut permettre de reconnaître les limites des territoires des cités, ainsi, pour Antioche, Seyrig, H., dans Tchalenko, G., Villages antiques de la Syrie du Nord III (1958), 1214Google Scholar; pour Sidon A. Alt, ZDPV 62 (1939), 209–20; ZDPV 70 (1954), 142–6: ‘Neues über die Zeitrechnung der Inschriften des Hermongebiets’; pour Arados, IGLS VII, p. 22–3.

41 Voir Grumel, V., La Chronologie, 168–9, 172–5Google Scholar. Pour le calendrier de Séleucie de Piérie, V. Grumel, 174, et Samuel, A. E., Greek and Roman Chronology, 174, n. 2Google Scholar, renvoient seulement aux Hemerologia publiés par W. Kubitschek en 1915; il existe de nombreuses inscriptions datées de Séleucie, IGLS III. 2 (1953), où les noms de mois sont des noms de mois macédoniens. Voir aussi ma note ‘Calendriers de la Syrie gréco-romaine’, Akten des VI. Intern. Kongresses f. Gr. u. Lat. Epigr. München 1972 (Vestigia 17, 1973), 564–6. Pour le calendrier en usage à Doura-Europos, voir Welles, C. B., Excav. Dura, Final Report V. 1, 10Google Scholar.

42 Voir ma note ‘Calendriers de la Syrie grécoromaine’.

43 J.-P. Rey-Coquais, AAS 23 (1973), 51–2.

44 Downey, G., A History of Antioch, 167–8Google Scholar, pense que le titre de métropole était sorti d'usage et qu'il réapparaît sur les monnaies de 5/6 après J.-C. par allusion à la nouvelle position d'Antioche comme capitale d'une province agrandie par l'annexion du royaume d'Archelaüs; mais le titre de métropole apparaît aussi en 25/4 avant J.-C. et en 4/5 après J.-C. sur des monnaies d'Antioche, SGN Danish Museum, Syria: Cities.

45 Kern, O., Die Inschriften von Magnesia, 149Google Scholar ( = L. Moretti, Iscr. agon, greche, 62). G. Downey, op. cit. (n. 13) 209 et 232, n. 151; Deininger, J., Die Provinziallandtage der röm. Kaiserzeit (1965), 87Google Scholar, retiennent seulement une datation au Ier siècle de notre ère.

46 Josèphe, Ant. 12, 317–21; Bell. 2, 93–8. Cf. Avi-Yonah, ‘Palästina’, RE Suppl. XIII (1973), 378.

47 cf. Pflaum, H.-G., Les procurateurs équestres (1950), 20Google Scholar.

48 Voir Schürer2, 561–73. Appendice 1: ‘History of Chalcis, Ituraea and Abilene’.

49 cf. IGLS V (1959), 114, avec les références.

50 cf. M. P. Charlesworth, CAH X (1952), 115 et 281; H. Seyrig, MUSJ 37 (1961), 261.

51 Seyrig, H., Syria 36 (1959), 3943CrossRefGoogle Scholar = Antiq. syr. VI, 11–16; Starcky, J., ‘Arca du Liban’, Les Cahiers de l'Oronte (Beyrouth) 10 (19711972), 103–17Google Scholar.

52 AAS 23 (1973), 41–6 et 50–5; cf. Reynolds, J., JRS 66 (1976), 184Google Scholar.

53 Dans l'article cité ci-dessus (n. 52), à propos du Massyas qui sépare Apaée de la tétrarchie, il aurait fallu citer aussi Strabon 16, 753; il pouvait y avoir plusieurs Marsyas ou Massyas. Sur quelques tétrarchies de la Syrie intérieure, voir les hypothèses de Jones, A. H. M., Cities, 262–3, 267Google Scholar.

54 Je n'ai pu voir Pani, M., Roma e i re d'Oriente da Augusto a Tiberio (1972)Google Scholar.

55 E. Gabba, Iser. gr. e lat. per lo studio della Bibbia, n° 16; cf. J. et Robert, L., Bull, épigr. 1959, 3Google Scholar.

56 Seyrig, H., dans Archäologie und Altes Testament, Festschrift Kurt Galling (1970), 251–4Google Scholar.

57 Voir Schürer2, 442–54: ‘Agrippa I’.

58 CIS 11 170; cf. J. Starcky, DBS VII (1966), 917.

59 Inscription inédite, découverte par M. Ghaleb Amer dans le ‘mausolée des prêtres’ qui jouxte à l'Est l'abside de la basilique; l'inscription est gravée dans u n cartouche à queues d'aronde saillant sur le long côté du couvercle d'un sarcophage remployé: Τιβ(έριον) Κλ(αύδιον) Βαλσαμι|ον εὐσεβὴ προ|φήτην καὶ Ἄγρι|πεῖναν σύνβι|ον Βαλσαμιος υἱ|ὸς μετὰ ἀδελφῶν.

60 Voir Schürer2, 471–83, Excursus: ‘Agrippa II’.

61 H. Seyrig, RN 1964, 55–65.

62 Th. Frankfort, dans Hommages A. Grenier, Coll. Latomus 58. 2 (1963), 659 s.; carte pl. CXLII.

63 Collart, P., Syria 50 (1973), 137–61CrossRefGoogle Scholar.

64 La tour est sur le même axe que le grand autel, vers lequel ouvre la loggia de son premier étage, qui abritait sans doute une statue de culte (relevés inédits de M. Haroutune Kalayan).

65 Lecture assurée par des inscriptions inédites découvertes par M. Haroutune Kalayan.

66 Nouvelle ‘lecture’. Ce serait un exemple de plus de ces Dédicaces faites par des dieux, étudiées par J. T. Milik.

67 Une inscription trouvée sur un site de l'ancien royaume d'Agrippa II est datée par une année de règne de Domitien: cf. Th. Frankfort, op. cit. (n. 62), 667; H. Seyrig, RN 1964, 60–1; Schürer2, 481–3.

68 cf. IGLS V, p. 113–16.

69 AAS 23 (1973), 39–47, inscr. n° 1, 2, 6, 9; 53–5.

70 Voir Schürer2, 573; F. Millar et G. Vermes hésitent entre Chalcis ad Libanum et Chalcis ad Belum.

71 BMC Syria, liv–lv. Pour Jones, A. H. M., JRS 21 (1931), 267Google Scholar, il s'agit bien de Chalcis ad Belum.

72 BMC Phoenicia, cxxv et cxxxiv, n. 4; O. Eissfeld, RE, s.v. ‘Tyros’ (1948), 1899–1900; M. Chéhab, MUSJ 38 (1962), 23–31.

73 H. Seyrig, apud M. Chéhab, op. cit. (n. 13), 27–8; G. W. Bowersock, op. cit. (n. 6), 103. Westermann, W., The Slave Systems of Greek and Roman Antiquity (1955), 84Google Scholar, affirme la perte de l'autonomie.

74 IGLS VII 4009; Arados et sa pérée, 165–6.

75 Callu, J.-P., La politique monetaire des empereurs romains de 238 à 311 (1969), 167 et 168Google Scholar, n. 3 Didrachme de Sidon en 54 après J.-C.; H. Seyrig et G. Le Rider, RN 1968, 37.

76 Bronzes pseudautonomes à Damas sous Auguste et Tibère, à Tripolis jusqu'a Néron, à Arados jusqu'en 116–17, à Sidon jusqu'en 117/18, à Tyr et à Antioche jusque sous Septime-Sévère: BMC Phoenicia, BMC Syria, H. Seyrig et G. Le Rider, RN 1968, 35 (Arados), 21–2 (Sidon), 38 (Tyr); J.-P. Callu, op. cit., 105 (Antioche).

77 H. Bietenhard, ZDPV 79 (1963), 55–7; Glueck, N., Deities and Dolphins (1966), 40Google Scholar; Gawlikowski, M., Le Temple palmyrénien (1973), 45Google Scholar. Pour Chad, C., Les dynastes d'Émèse (1972), 104Google Scholar, Damas a été réintégrée dans l'empire romain par Cornelius Palma en 106.

78 J. Starcky, DBS VII (1966), 909 et 915; Rev. bibl. 1968, 207. Cf. Schürer2, 579, n. 17, et 581–2. Il y a bien des façons d'expliquer que l'ethnarque ait pu faire fermer les portes de la ville.

79 J. Starcky, DBS VII, 919. Contra, Clermont-Ganneau, Ch., Rec. arch. or. l (1888), 4874Google Scholar; H. Bietenhard, ZDPV 79 (1963), 57, n. 216.

80 H. Seyrig, ‘Le statut de Palmyre’, Antiq. syr. III, 142–75; Piganiol, A., ‘Observations sur le Tarif de Palmyre’, Rev. Historique 195 (1945), 1029Google Scholar; Richmond, I. A., ‘Palmyra under the Aegis of Rome’, JRS 53 (1963), 4354Google Scholar; Gawlikowski, M., Le Temple palmyrénien, 41–5Google Scholar; Bowersock, G. W., ‘Syria under Vespasian’, JRS 63 (1973), 133–40Google Scholar.

81 M. Gawlikowski, op. cit. (n. 77), 46–7.

82 Habicht, Chr., Altertümer von Pergamon VIII. 3Google Scholar, Die Inschr. des Asklepieions (1969), 157–8.

83 Milik, J. T., Dédicaces faites par des dieux (1972), 259Google Scholar, croit cette tribu étrangère à Palmyre; mais un étranger indique son ethnique, non sa tribu.

84 Les ‘quatre tribus’ ont été étudiées récemment par Schlumberger, D., Syria 48 (1971), 121–33CrossRefGoogle Scholar; J. T. Milik, op. cit. (n. 83), 17, 30, 234; M. Gawlikowski, op. cit. (n. 77), 26–47. Cf. J. Starcky, Rev. arch. 1974, 1, 85; van Berchem, D., Palmyre, Colloque Strasbourg 1973 (1976), 170–3Google Scholar.

85 M. Gawlikowski, op. cit. (n. 77), 47.

86 D. van Berchem, CRAI 1970, 235.

87 M. Gawlikowski, op. cit. (n. 77), 44; Studia Palmyreńskie 6–7 (1975), 45–6Google Scholar.

88 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 180–6. Cf. Richmond, I. A., JRS 53 (1963), 4950Google Scholar. Voir ci-dessous, P. 68.

89 M. P. Charlesworth, CAH X (1952), 281

90 Bowersock, G. W., Augustus and the Greek World, 65–6Google Scholar.

91 Sur Beyrouth romaine, l'étude la plus récente est celle de R. Mouterde, Regards sur Beyrouth, Extrait de MUSJ 40 (1966), 23 s. Sur Hélioupolis, voir notre introduction, IGLS VI (1967), p. 34, n. 9.

92 M. P. Charlesworth, CAH X, 120; R. Mouterde, op. cit. (n. 91), 23. Il n'y a pas de preuve que l'extension du territoire de Béryte soit une récompense d'une hypothétique révolte contre Antoine et Cléopâtre.

93 J. Lauffray, ‘Forums et monuments de Béryte’, BMB 7 (1944–1945), 13–80, et 8 (1946–8), 7–16, résumé dans Mouterde, R. et Lauffray, J., Beyrouth, ville romaine (1953)Google Scholar.

94 Saïdah, R., Berytus 18 (1969), 137–9Google Scholar.

95 BMC Phoenicia, 68 s., n° 113–18; pl. IX, 10, 11, 12. L'attribution du n° 108 à Marc-Aurèle est considérée comme douteuse; voir p. lvi. La légende sec(uritas) saec(uli) apparaît à Rome seulement sous Élagabale et accompagne la représentation allégorique de la Sécurité: H. Mattingly, E. A. Sydenham, C. H. V. Sutherland, RIC IV. 2 (1938), n° 145; Mattingly, H., BMC Roman Empire V (1950), 565Google Scholar, n° 229; pl. 90, 5. Les monnaies de Béryte représentent les divinités de la cité, Poseidon, Astarté, ou les aigles des légions fondatrices. Dans une inscription de Béryte, BMB 7 (1944–1945), 68 ( = AE 1950, 233). que la nomenclature du dédicant daterait plutôt de la seconde moitté du IIe siècle, R. Mouterde développe saeculo C C en c(oloniae) c(onditae); le dédicant, originaire d'Émèse et colon de Béryte, aurait ainsi célébré la ‘Fortune du Génie de la Colonie’ lors des fêtes ‘séculaires’ de la colonie.

96 cf. IGLS VI (1967), p. 34, n. 9, rappel des thèses en présence.

97 H. Seyrig, BMB 16 (1961), 11–113. Cf. Bowersock, G. W., Augustus and the Greek World, 66Google Scholar.

98 cf. R. Saïdah, ‘Chronique’, BMB 20 (1967), 155–8. Kalayan, H., programmes du Festival de Baalbek 1970, 1971, 1972Google Scholar, études et plans inédits. Voir aussi H. Kalayan, dans Les dossiers de l'archéologie, n° 12, Septembre-Octobre 1975, 28–35.

99 REG 81 (1968), p. xvi–xvii. Contra, Hajjar, Y., La Triade d'Héiopolis-Baalbek, son culte et sa diffusion (EPRO, 59, Leiden 1977), 25Google Scholar, n. 2.

100 cf. Seyrig, H., Syria 36 (1959), 39CrossRefGoogle Scholar; Y. Hajjar, op. cit., 220–56, 530, 539–43.

101 Hypothèse admise par tous les tenants d'une élévation au statut colonial sous Septime-Sévère; l'absence de l'appellation Septimia dans les documents héliopolitains de l'époque sévérienne (inscriptions, monnaies) ne leur paraissait pas, à bon droit, une objection décisive.

102 Jones, A. H. M., ‘The Urbanization of the Ituraean Principality’, JRS 21 (1931), 268Google Scholar. Je ne crois pas que Chalcis ait jamais été une cité indépendante d'une tétrarchie; contra, M. P. Charlesworth, CAH X (1952), 115.

103 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 87. Cf. AAS 23 (1973), 63: Claudia Apamaea.

104 H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 88–91; cf. Arados et sa pérée, 196: Balanée devient Claudia Leucas.

105 En 50/1, une première fondation Γερμανικέων τῶν ἐν Πτολεμαἴδι eut lieu avant la fondation coloniale. Pour Kadman, L., The Coins of Akko Ptolemaïs (1961), 23Google Scholar, la colonie daterait seulement de la treizième année de régne de Néron. Sur les titres de la colonia Claudia Ptolemaïs, voir H. Seyrig, RN 1969, 47–9.

106 Digeste 50, 15,1. Cf. Kubitschek, W., Sitz.-Ber. Akad. Wien, Phil.-hist. Klasse 1916, 8094Google Scholar.

107 cf. Gascou, J., Antiquités africaines 6 (1972), 140CrossRefGoogle Scholar, n. 8; voir aussi Wightman, E. M., Roman Trier and the Treveri (1970), 40–2Google Scholar.

108 Bowersock, G. W., ‘Syria under Vespasian’, JRS 63 (1973). 133–40Google Scholar.

109 MUSJ 47 (1972), 94–105; cf. Bowersock, G. W., JRS 65 (1975), 183Google Scholar. Contrairement à ce qu'affirme Th. Frankfort, Coll. Latomus 58. 2 (1963), 671, n. 6, la datation par année de règne des empereurs n'est pas le système de datation habituel dans la province de Syrie.

110 W. H. Waddington, Inscr. Syrie 2210, 2213, 2220, 2224, 2287, 2308; R. Dussaud, Mission… désert, n° 11. Cf. Sourdel, D., Les cultes du Hauran à l'époque romaine (1952), 10Google Scholar; Milik, J. T., Dédicaces, 93, 341Google Scholar.

111 Voir D. Sourdel, op. cit., 9–18.

112 R. Mouterde, dans E. de Ruggiero, Diz. epig. IV (1957). 795.

113 cf. MUSJ 47 (1972). 99.

114 CIL VIII 7059 ( = ILS 1067); ILS 1066. Cf. Eck, W., dans Aufstieg und Niedergang der römischen Welt 11. 1 (1974), 188Google Scholar. Fulvius Titianus fut légat impérial curateur de Palmyre dans la première moitié ou au milieu du IIe siècle, H. Seyrig, Antiq. syr. III, 187–8.

115 Pflaum, H.-G., Carrières procuratoriennes, 383Google Scholar; Libyca 3 (1955), 125Google Scholar. ILS 8853 mentionne un logistès de Séleucie de Piérie, Alexandrie près d'Issos et Rhosos; cf. H. Seyrig, Antiq. syr. III, 187, n. 2.

116 Eck, W., Senatoren von Vespasian bis Hadridan (1970), 232, n. 511Google Scholar.

117 Laodicée: OGI 603; Rhosos: RN 1968, 9; Tripolis: OGI 587; Tyr: OGI 575; Séleucie: SGN Danish Museum, Syria: Cities, n° 401.

118 cf. H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 74.

119 Welles, C. B., dans Kraeling, H., Gerasa, City of the Decapolis (1938), 399, n° 53Google Scholar; Nouveau Choix d'inscr. gr. (Institut F.-Courby 1971), 167–8, n° 32.

120 ILS 8819a; voir Cumont, F., Bull. Acad. Belgique 1905, 204Google Scholar.

121 Le titre de métropole sur les monnaies, BMC Syria, 283–4 (Damas), 118(Samosate). Cf. Jones, A. H. M, JRS 18 (1928), 157Google Scholar.

122 Seyrig, H., Antiq. syr. III, 151Google Scholar; O. Eissfeld, RE, s.v. ‘Tyros’ (1948), 1900; M. Chéhab, MUSJ 38 (1962), 31–3.

123 Buckler, W. H., Calder, W. M., Cox, C. W. M., JRS 16 (1926), 74–5, n° 20Google Scholar.

124 Philadelphie: cf. Schlumberger, D., Syria 48 (1971), 385–9CrossRefGoogle Scholar; Abila, Dion, Pella, cf. H. Seyrig, Antiq. syr. VI, 49–53. L'appellation Philadelphie de Cœlésyrie apparaît sur les monnaies précisément sous le règne d'Hadrien: SGN Danish Museum, Syria: Cities, n° 452. Sous Trajan, Philadelphie, Gérasa et vraisemblablement Dion auraient été attribuées à la nouvelle province d'Arabie: H. Bietenhard, ZDPV 79 (1963), 44–5; Bowersock, G. W., ‘A Report on Arabia Provincia’, JRS 61 (1971), 230Google Scholar. Notre interprétation suppose que rien n'aurait été changé dans leur participation au culte impérial.

125 cf. Downey, G., A History of Antioch, 223, n. 109Google Scholar. L'Histoire Auguste parle d'une séparation entre Syrie et Phénicie; s'il s'agit de circonscriptions administratives ou de koina du culte impérial, cette séparation est bien antérieure au règne d'Hadrien.

126 Suidae Lexikon, ed. A. Adler, IV, 69, n° 809.

127 Contra, Starcky, J., ‘Pétra’, DBS VII (1966), 920Google Scholar; Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 232Google Scholar. Le titre de métropole entraina des avantages ‘universitaires’, Digeste 27, 1, 6, 2; cf. Jones, A. H. M., ‘The Greeks under the Roman Empire’, Dumbarton Oaks Papers 17 (1963), 8CrossRefGoogle Scholar = The Roman Economy (1974), 98.

128 Rostovtzeff, M., The Social and Economic History of the Roman Empire,2 revised by Fraser, P. M. (1957)Google Scholar, passim, notamment 261–73.

129 Heichelheim, F., ‘Roman Syria’, dans An Economic Survey of Ancient Rome IV (1938), 121257Google Scholar.

130 Tchalenko, G., Villages antiques de la Syrie du Nord (3 vol., 19531958)Google Scholar. Cf. Rodinson, M., ‘De l'archéologie à la sociologie historique, Notes méthodologiques sur le dernier ouvrage de G. Tchalenko’, Syria 38 (1961), 170200CrossRefGoogle Scholar.

131 Seyrig, H., Syria 27 (1950), 5CrossRefGoogle Scholar.

132 SGN Danish Museum, Syria: Cities, n° 36–66; cf. Jones, A. H. M., Cities, 262Google Scholar; Frézouls, E., Colloque Apamée 1969, 84Google Scholar; Wagner, J., Seleukeia am Euphrat/ Zeugma, 68Google Scholar.

133 Maricq, Voir A., Syria 36 (1959), 254–63CrossRefGoogle Scholar ( = Classica et Orientalia, 103–11), confortant la thèse de Guey, J., Essai sur la guerre parthique de Trajan (1937)Google Scholar, réaffirmée REA 54 (1952), 388–92. Contra, Lepper, F. A., Trajan's Parthian War (1948)Google Scholar. Cf. Henderson, M. I., JRS 39 (1949), 121–32Google Scholar.

134 Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 228Google Scholar, a insisté à juste titre sur la sédentarisation et les travaux d'irrigation et d'agriculture des Nabatéens. Pour Innes Miller, J., The Spice Trade of the Roman Empire (1969), 136Google Scholar, l'annexion de la Nabatène n'aurait pas affecté le commerce.

135 Pétra appelée métropole dans des papyrus grecs de la ‘Cave des Lettres’: Yadin, Y., Israel Exploration Journal 12 (1962), 257Google Scholar, n. 2; Jaarbericht Ex Oriente Lux 17 (1963), 227–41Google Scholar; Polotsky, H. J., Israel Exploration Journal 12 (1962), 258–62Google Scholar. Hadrianè Pétra métropolis, sur des sceaux trouvés à Kurnub: Negev, A., Israel Exploration Journal 19 (1969), 89106Google Scholar. Pour une interprétation différente, voir Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 231–4Google Scholar.

136 Maricq, A., ‘Vologésias, l'emporium de Ctésiphon’, Syria 36 (1959), 264–76Google Scholar ( = Classica et Orientalia, 113–25).

137 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 196–207; Palmyra and the East’, JRS 40 (1950), 17Google Scholar. Starcky, J., ‘Une inscription palmyrénienne trouvée près de l'Euphrate’, Syria 40 (1963), 4755CrossRefGoogle Scholar. Sur l'itinéraire de Palmyre à Spasinou Charax, Le Rider, G., Suse sous les Séleucides et les Parthes (1965), 443Google Scholar.

138 H. Seyrig, op. cit. (n. 137); Schlumberger, D., ‘Palmyre et la Mésène’, Syria 38 (1961), 256–60CrossRefGoogle Scholar; Le Rider, G., Suse, 432–3, 439Google Scholar.

139 G. Le Rider, Suse, 428, 433, ne croit pas que l'inscription fragmentaire Antiq. syr. III, 199–202, n° 22, puisse signifier la présence de marchands palmyréniens établis ou commerçant à Suse.

140 H. Seyrig, AAS 13 (1963), 162–6.

141 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 202–7.

142 R. Ghirsman, CRAI 1958, 261–8; Rev. arch. 1959. I, 70–7. Cf. Le Rider, G., Suse, 432, n. 2Google Scholar.

143 IGR I, 1169; CIS 3910; AE 1912, 171. Cf. H. Ingholt, MUSJ 46 (1970–1971), 199.

144 Will, E., ‘Marchands et chefs de caravanes à Palmyre’, Syria 34 (1957), 262–71CrossRefGoogle Scholar.

145 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 203–4; Chr. Dunant, Museum Helveticum 1956, 216–25 = Le Sanctuaire de Baalshamîn à Palmyre III, Les Inscriptions (1971), 56–9, n° 45. Cf. Richmond, I. A., JRS 53 (1963), 53Google Scholar.

146 Ingholt, MUSJ 46 (1970–1971), 196–9; cf. J. et L. Robert, Bull, épigr. 1972, 569 b.

147 Seyrig, H., ‘Caractères de l'histoire d'Émèse’, Syria 36 (1959), 190–2Google Scholar.

148 Sur Arca du Liban et sur Tripolis, voir les articles de Starcky, J. et de Sarkis, H., Les Cahiers de l'Oronte (Beyrouth), n° 10 (19711972), 103–13 et 80–102Google Scholar. Un papyrus (P. Oxy. 3053) illustre le rôle commercial du port de Tripolis: en 251, un homme d'Osrhoène y vend une jeune esclave originaire de Mésopotamie, qui est ensuite importée en Égypte par bateau.

149 Arados et sa pérée, 188–90.

150 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 205–7.

151 Le Tarif de Palmyre concerne la circulation locale, H. Seyrig, Antiq. syr. III, 148.

152 Pfister, M., Textiles de Palmyre (1934)Google Scholar; Nouveaux Textiles de Palmyre (1940); ‘Les Soieries Han de Palmyre’, Revue des Arts asiatiques 13 (1941).

153 M. Th. Schmitter, ‘Chine ou Proche-Orient?’, Rev. arch. 1939, I, 73–102; Riboud, Krishna, Arts asiatiques 17 (1968), 97CrossRefGoogle Scholar.

154 Lasserre, Voir F., dans Der Kleine Pauly IV (1970), col. 641–2Google Scholar.

155 Hannestad, Voir K., Byzantion 25–6 (19551956), 241–56Google Scholar; Maricq, A., Syria 36 (1959), 272–5CrossRefGoogle Scholar ( = Classica et Orientalia, 121–4); W. Wolska-Conus, éditant Cosmos Indicopleustiés, Topographie chrétienne I (Sources Chrétiennes 141, 1968), 352, n. 452.

156 H. Seyrig, RN 1958, 171–81.

157 cf. BMC Syria, Antioche de l'Euphrate, Dolichè, Germanicia. Les plus anciennes monnaies connues de Zeugma, qui appartint à la province de Syrie un siècle avant la Commagène, datent de Trajan; voir Wagner, J., Seleukeia am Euphrat/ Zeugma, 68, n. 207Google Scholar.

158 , J.-P. Callu, Politique monétaire, 171–3Google Scholar, reprenant les études de A. R. Bellinger et H. Seyrig.

159 J.-P. Callu, op. cit., 24–5.

160 Digeste 50, 15, 1. Pour Hélioupolis, voir cidessus.

161 Pour Laodicée, Malalas, Ol. 387 (293–4 Bonn); des monnaies commémorent le don de blé: Seyrig, H., Antiq. syr. IV, 218–19Google Scholar. Pour Tyr, voir ci-dessous.

162 Dates assurées par deux poids portant une triple datation, selon l'ère de la métropole, l'ere de la colonie et l'ère césarienne, seule usuelle, l'un publié par Seyrig, H., Syria 40 (1963), 30–2CrossRefGoogle Scholar ( = Antiq. syr. VI, 132–4), l'autre inédit dans le commerce à Beyrouth.

163 cf. M. Chéhab (et R. Mouterde), MUSJ 38 (1962), 19–20.

164 cf. Callu, J.-P., Politique monétaire, 171Google Scholar.

165 Il y a quelque ambiguïté dans le Digeste 50, 15, 1 et 8 (textes d'Ulpien et de Paul) sur les fondations postérieures à Septime-Sévère.

166 Monnaies coloniales d'Émèse sous Caracalla et Julia Domna, BMC Syria, 238–9, n° 9–17; le titre de métropole apparaît sous Élagabale, BMC Syria 240, n° 18–21. Émèse est la seule colonie en Syrie dont on ait relevé les vestiges de centuriation, W. J. van Liere, ‘Ager centuriatus of the Roman Colonia of Emesa/Homs’, AAS 8–9 (1958–1959), 55–8. Le nom de Julius Aurelius que prennent sous Caracalla les citoyens d'Émèse et de Palmyre leur viendrait plutôt, je pense, de l'octroi du statut colonial que de la Constitution Antoninienne, Schlumberger, D., Bull. d'études orientales (Damas) 9 (1943), 58Google Scholar.

167 cf. Downey, G., A History of Antioch, 245, n. 51 et 53Google Scholar. Sous Élagabale, monnaies avec le titre de métropole et de colonie, SGN Danish Museum, Syria: Cities, n° 250 s.

168 Le Digeste ignore les promotions coloniales d'Arca, de Sidon, de Damas. Voir BMC Phoenicia, 109–10 (Arca), 188–9 (Sidon). Sidon reçut des dons de blé, H. Seyrig, Antiq. syr. IV, 218–9.

169 BMC Phoenicia, 275–9.

170 Voir IGLS VI, p. 35, n. 2; Robert, L., Monnaies antiques en Troade (1966), 55–6Google Scholar. Le ‘Marsyas’ n'implique pas le jus italicum, Beschaouch, A., Mustitana I, 152Google Scholar; contra, Kadman, L., The Coins of Akko Ptolemaïs, 24Google Scholar.

171 Monnaies coloniales de Damas seulement sous Philippe l'Arabe, BMC Syria, 286, n° 12–3.

172 Kubitschek, Voir W., Sitz.-Ber. Akad. Wien, Phil.-hist. Klasse 177. 4 (1916), 91–4Google Scholar.

173 Contra, Kadman, L., Coins of Ptolemaïs, 23, 78Google Scholar; Saxer, R., Untersuchungen über den Vexillationen des röm. Kaiserheeres von Augustus bis Diokletian (Epigr. Studien I, 1967), 52–3Google Scholar.

174 Monnaies de Damas avec vexillum de la légion VI Ferrata, BMC Syria, 286, n° 24; monnaies de Sidon avec trois étendards, BMC Phoenicia, 188–9, n° 266–73, 192, n° 288, 195, n° 302–5.

175 Callu, J.-P., Politique monétaire, 28Google Scholar.

176 Voir IGLS VI, p. 34, n. 6.

177 cf. Mouterde, R., Regards sur Beyrouth (1966), 23–4Google Scholar.

178 Pour Tyr, cf. M. Chéhab, MUSJ 38 (1962), 36.

179 Excav. Dura, Final Report, V. 1, n° 32.

180 ibid., n° 27 et 38; cf. p. 5 et 7.

181 ibid., 8.

182 C. B. Welles, HThR 34 (1941), 79–102; Excav. Dura, Final Report v. 1, n° 89, commentaire.

183 Maricq, A.Res Gestae Divi Saporis’, Syria 35 (1958), 295360CrossRefGoogle Scholar ( = Classica et Orientalia, 33–101). SEG XX, 324; cf. J. et L. Robert, Bull. épigr. 1960, 418; 1963, 294. Göbl, Voir R., ‘Der Triumph des Sasaniden Shaphur über Gordian, Philippus und Valerianus, Die ikonographische Interpretation der Felsreliefs’, Denkschr. Oesterr. Akad. 116 (1974), 1523Google Scholar; cf. J. et L. Robert, Bull. épigr. 1975, 714.

184 A. Alföldi, CAH XII, Chap, VI, ‘The Crisis of the Empire (A.D. 249–270)’; Die Hauptereignisse der Jahre 253–261 n. Chr. im Orient im Spiegel der Münzprägung’, Berytus 4 (1937), 4167Google Scholar; Studien zur Geschichte der Weltkrise des 3. Jahrhunderts nach Christus (1967), 124–8.

185 Voir P. Bastien et H. Huvelin, RN 1969, 233–4.

186 Callu, J.-P., Politique monétaire, 210–1Google Scholar; P. Bastien et H. Huvelin, RN 1969, 331–44.

187 cf. J.-P. Callu, op. cit., 210.

188 Excav. Dura, Fined Report V. 1, 417.

189 H. R. Baldus, Uranius Antoninus, Münzprägung and Geschichte (Antiquitas, Reihe 3, Band 1, 1971). Cf. Chastagnol, A., Syria 51 (1974), 208–14Google Scholar.

190 H. R. Baldus, op. cit., 229–36, 265–9.

191 cf. Callu, J.-P., Politique monétaire, 209Google Scholar. Uranius, maître d'Antioche, n'y frappe pas monnaie, H. R. Baldus, op. cit. (n. 189), 176.

192 H. R. Baldus, op. cit, 257–9; Callu, J.-P., Politique monétaire, 210Google Scholar.

193 H. R. Baldus, op. cit., 257.

194 H. R. Baldus, op. cit., 236–50, 252–5; traite aussi de IGLS 1799–1801.

195 Seyrig, H., Syria 36 (1959), 191CrossRefGoogle Scholar, n. 1; H. R Baldus, op. cit., 176, 249. Sur la famille impériale d'Émèse, voir G. W. Bowersock, YCS 24 (1975), 922–34.

196 H. Seyrig, RN 1958, 51–7: H. R. Baldus, op. cit. 176, 267; Chastagnol, A., Syria 51 (1974), 208–14Google Scholar.

197 H. R. Baldus, op. cit., 176–7, 263–9.

198 H.R. Baldus, op. cit., 261. Voir SEG XVII, 528.

199 H. R. Baldus, op. cit., 260. Sur l'activité de la monnaie d'Antioche, cf. Callu, J.-P., Politique monétaire, 209–10Google Scholar.

200 cf. J.-P. Callu, ibid., 200–12.

201 H. R. Baldus, op. cit. (n. 189), 261–2. Contra Pekáry, T., ‘Bemerkungen zur Chronologie des Jahrzehnts 250–260’, Historia II (1962), 123–8Google Scholar; J.-P. Callu, op. cit., 211.

202 H. R. Baldus, op. cit., 262; P. Bastien et H. Huvelin, RN 1969, 231–70: la Victoria Parthica célèbre la reprise d'Antioche par l'armée romaine.

203 C. Just. 5, 3, 5 ( = 9, 9, 18); cité par J.-P. Callu, op. cit., 211. Millar, F., The Emperor in the Roman World (1977), 570, n. 24Google Scholar, remarque que ce texte atteste la présence de Valérien à Antioche s'il s'agit d'une subscriptio, mais non s'il s'agit d'une epistula.

204 Schlumberger, D., ‘L'inscription d'Hérodien. Remarques sur l'histoire des princes de Palmyre’, Bull. d'études orientales (Damas) 9 (19421943), 3548Google Scholar; Ingholt, H., Palmyre, Colloque Strasbourg 1973 (1976), 115–37Google Scholar. Sur les événements, Millar, voir F., JRS 61 (1971), 810Google Scholar.

205 M. Chéhab (et R. Mouterde), MUSJ 38 (1962), 19–20; cf. H. Seyrig, AAS 13 (1963), 162, n. 1. Sur l'époque et l'occasion de cette dédicace, voir Ingholt, H., Palmyre, Colloque Strasbourg 1973 (1976), 121–3Google Scholar.

206 Seyrig, H., ‘Les fils du roi Odainath’, AAS 13 (1963), 159–72Google Scholar. Schwartz, Voir J., ‘L'Histoire Auguste et Palmyre’, Banner Historia-Augusta-Colloquium 1964/1965 (1966), 185–95Google Scholar; Milik, J- T., Dédicaces Jaites par des dieux (1972), 319–20Google Scholar.

207 H. R. Baldus, op. cit. (n. 189), 238–9, 264.

208 H. Seyrig, AAS 13 (1963), 160–1, références. Starcky, J., Palmyre (1952), 54Google Scholar; Dunant, Chr., Le sanctuaire de Baalshamîn III, Inscriptions, p. 66–7Google Scholar, tiennent Odainath pour gouverneur. Contra, Millar, F., JRS 61 (1970), 8Google Scholar.

209 Schlumberger, D., Syria 49 (1972), 339–41CrossRefGoogle Scholar; H. Seyrig, AAS 13 (1963), 160–1; Mllik, J. T., Dédicaces, 269Google Scholar, retraçant toute la carrière de Vorôd. Dans l'inscription AAS 13 (1963), 161, oú Vorôd apparaît encore comme pérégrin, alors que Palmyre est colonie romaine, on pourrait restituer non pas βουλευ|[τὴς Παλμυρηνός] mais βουλευ|[τικός]; sur ce titre, voir IGLS VI, 2935.

210 La date de la capture de Valérien est controversée; cf. Lopuszanski, G., La date de la capture de Valérien et la chronologie des empereurs gaulois (1), 195 424Google Scholar; H. Seyrig, MUSJ 37 (1960–1961), 265, n. 2; Callu, J.-P., Politique monétaire, 212–14Google Scholar.

211 J.-P. Callu, op. cit., 220. 422.

212 Cantineau, J., Inventaire Inscr. Palmyre III, 19Google Scholar ( = CIS II, 3946); Michalowski, K., Palmyre, Fouilles polonaises 1959 (1960), 208Google Scholar, n. 2: βασιλεὺς βασιλέων; cf. J. et L. Robert, Bull. épigr. 1964, 496. Titre pris avant la lutte, H. Seyrig, AAS 13 (1963), 166, n. 6; plus généralement considéré comme pris après la victoire, cf. Starcky, J., ‘Palmyre’, DBS VI (1960), 1080Google Scholar. La chronologie reste à préciser. Sur les sources, voir J. Schwartz, ‘L'Histoire Auguste et Palmyre’, cité n. 206.

213 H. Seyrig, MUSJ 37 (1960–1961), 246–67.

214 Schlumberger, D., Bull. d'études orientales (Damas) 9 (19421943), 35Google Scholar; Seyrig, H., ‘Vabalathus Augustus’, Mélanges K. Michalowski (Warszawa, 1966), 659–62Google Scholar; Carson, R. A. G., ‘The Hama Hoard and the Eastern Mints of Valerian and Gallienus’, Berytus 18 (1968), 123–42Google Scholar; P. Bastien et H. Huvelin, RN 1969, 231–70; Callu, J.-P., Politique monétaire, 235Google Scholar; Millar, F., JRS 61 (1971), 810Google Scholar; Bowman, A. K., JRS 66 (1976), 156Google Scholar.

215 P. Bastien et H. Huvelin, op. cit. (n. 214), 238–9; F. Millar, op. cit. (n. 214), 9.

216 Les inscriptions découvertes dans les fouilles que dirige à Tyr l'Émir M. Chéhab paraîtront dans un prochain volume du BMB.

217 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 139–40; Will, E., ‘Le sac de Palmyre’, Mélanges Piganiol (1966), 1409–16Google Scholar, voit la III Cyrenaica dans la légion III que la vita Aureliani montre ardente au pillage de la ville.

218 Rea, J., The Oxyrhynchus Papyri XL (1972), p. 1526Google Scholar; Schwartz, J., ‘Chronologie du IIIe s. P. C.’, ZPE 24 (1977), 167–77Google Scholar. Une inscription de Syrie garderait le souvenir de l'expédition de Septimius Zabdas en Égypte, H. Seyrig, Antiq. syr. V, 122–3; pour ‘a proclamation of Vaballathus?’, voir Parsons, P. J., Chronique d'Égypte 42 (1967), 397401CrossRefGoogle Scholar. Aurélien n'aurait repris l'Égypte qu'en 272 au printemps (J. Schwartz), à la fin de l'été (Bowman, A. K., JRS 66 (1976), 156Google Scholar).

219 Schwartz, Voir J., Lucius Domitius Domitianus (Pap. Bruxelles 12, 1975). 110–16Google Scholar; ‘Palmyre et l'opposition à Rome en Égypte’, Palmyre, Colloque Strasbourg 1973 (1976), 139–51Google Scholar. Cf. A. K. Bowman, op. cit. (n. 214), 158.

220 Schwartz, J., Bull. Soc. arch. Alexandrie 40 (1953), 116Google Scholar; Callu, J.-P., Politique monétaire, 235Google Scholar; P. Bastien et H. Huvelin, op. cit. (n. 214), 239. Voir aussi C. Brenot et H.-G. Pflaum, RN 1965, 134–205.

221 Seyrig, H., Mélanges Michalowski, 659–62Google Scholar.

222 Gawlikowski, M., Syria 48 (1971), 412–26CrossRefGoogle Scholar; Le Temple palmyrénien, 76–8.

223 Desanges, J., Catalogue des tribus africaines de l'antiquité classique (1962), 184–7Google Scholar.

224 Sur Saturninus, voir J. F. Gilliam, AJPh 79 (1958), 237; Syme, R., Ammianus and the Historia Augusta (1968), 55Google Scholar; Emperors and Biography (1971), 244, 268–9. Signalons ici la découverte d'un trésor de quatre-vingt-dix-sept bronzes de Probus à Posideion, Courbin, P., ‘Rapport sur la fouille de Ras el-Basit’, AAS 22 (1972), 46Google Scholar s.

225 P. Bastien et H. Huvelin, RN 1969, 244; C. Brenot, RN 1971, 170–2, rendant compte de Pflaum, H.-G. et Bastien, P., La Trouvaille de Çanakkale (Turquie) (1969)Google Scholar.

226 cf. Frézouls, E., Colloque Apamée 1969, 84Google Scholar.

227 Bowersock, G. W., dans Le monde grec, Hommages à Claire Préaux (Bruxelles, 1975), 515–22Google Scholar.

228 Milik, J. T., Dédicaces (cité n. 83), 59Google Scholar, inscription du cairn de Jathun en Jordanie.

229 Voir IGLS 2501 bis, commentaire.

230 cf. Mouterde, R. et Poidebard, A., Le limes de Chalcis (1945), 194–5Google Scholar.

231 G. W. Bowersock, op. cit. (n. 227), 521.

232 Millar, F., ‘Paul of Samosata, Zenobia and Aurelian: The Church, local culture and political allegiance in third-century Syria’, JRS 61 (1971), 117Google Scholar.

233 F. Millar, ibid.

234 Ne pouvant donner une bibliographie même restreinte, je signalerai seulement l'étude, riche de suggestions et de références, de J. et Baily, J. Ch., Dialogues d'histoire ancienne 1974, 267304Google Scholar.

235 Campbell, B., JRS 65 (1975), 25Google Scholar. Voir Corbier, M., L'Aerarium Saturni et l'Aerarium militare (1974), 106, 144–52, 187–8, 202, 231–6Google Scholar. En l'espace de cent trente ans, six gouverneurs moururent à leur poste, Syme, R., Philologus 1936, 243, n. 19Google Scholar.

236 Syme, R., ‘The Stemma of the Sentii Saturnini’, Historia 13 (1964), 156–66Google Scholar; Scheid, J., Les Fréres Arvales… sous les empereurs julio-claudiens (1975), 54, 82, 98, 145–6, 156Google Scholar; Szramkiewicz, R., Les gouverneurs de province à l'époque augustéenne (1975), 186–97, 336–8Google Scholar.

237 Syme, R., Tacitus (1958), 23, 30–1, 51–2, 645–50Google Scholar; Eck, W., ‘Beförderungskriterien der senatorischen Laufbahn… von 69 bis 138 n. Chr.’, dans Aufstieg und Niedergang der römischen Welt II. 1 (1974), 203, 211–17Google Scholar.

238 Pflaum, H.-G., dans Bonner Historia-Augusta Colloquium 1963 (1964), 95122Google Scholar.

239 Et même quatre légions d'Auguste à Néron; voir plus loin.

240 Voir Syme, R., Tacitus, 650Google Scholar.

241 Campbell, B., JRS 65 (1975), 1131Google Scholar.

242 Ainsi, notamment, Javolenus Priscus, Fabius Justus, Arrien.

243 Syme, R., Roman Revolution (trad, française (1967), 310, 321, 375Google Scholar; Szramkiewicz, R., Les gouverneurs, 4950Google Scholar.

244 Orth, W., Die Provinzialpolitik des Tiberius (1970), 83Google Scholar; Shorter, D. C. A., Historia 23 (1974), 229–45Google Scholar.

245 Syme, R., Philologus 1936, 238–45Google Scholar; Tacitus, 631–2; Historia 9 (1960), 365 s.; JRS 67 (1977), 41.

246 Sur les limites entre les deux provinces, voir notre Arados et sa pérée, 120, n. 2; Palmyre est en Phénicie, Doura-Europos en Syrie Cœlé.

247 Seston, W., Dioclétien et la Tétrarchie (1946), 373 s.Google Scholar; Frézouls, E., Colloque Apamée 1969, 83Google Scholar: le chef-lieu de l'Euphratésie est Hiérapolis, Cyrrhus a perdu son importance. Voir ci-dessous n. 249.

248 A. Alt, ZDPV 71 (1965), 173: cf. Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 242Google Scholar.

249 W. Seston, loc. cit. (n. 247): Libanensis vers 295, Euphratensis sans doute postérieure à Dioclétien. van Berchem, D., L'armée de Dioclétien et la réforme constantinienne (1952)Google Scholar: l'Euphratensis daterait du milieu du IVe siècle, la Libanensis de 400. Stein, E., Histoire du Bas Empire, éd. française par J.-R. Palanque (1959), 437, n. 22Google Scholar, et carte de l'empire en l'an 309, où figurent les provinces d'Aug. Euphratensis et Aug. Libanensis. Jones, A. H. M., The Later Roman Empire (1964), Map 1Google Scholar: Aug. Euphratensis et Aug. Libanensis sous Dioclétien. Piganiol, A., L'empire chrétien2 (1972), 19, n. 2Google Scholar: ni Euphratensis ni Libanensis avant 328. Les divergences proviennent surtout d'appréciations différentes du laterculus Veronensis.

250 Harrer, G. A., Studies in the History of the Roman Province of Syria (1915)Google Scholar; Inscriptions of Legati in Syria’, AJA 36 (1932), 287–9CrossRefGoogle Scholar.

251 E. Honigmann, RE IV A 2 (1932), s.v. ‘Syria’, 1629–30, et s.v. Συροφοινίκη, 1789.

252 Voir notamment Seyrig, H., ‘Légats propréteurs de Syrie entre 63 et 137’, Syria 22 (1941), 173–4Google Scholar = Antiq. syr. III, 160–1. Cf. Pflaum, H.-G., Aufstieg und Niedergang II. 1, 126–7Google Scholar.

253 Schürer2, 244–66.

254 Bowersock, G. W., JRS 64 (1975), 182Google Scholar.

255 Syme, R., Akten des VI. Intern. Kongresses f. Gr. u. Lat. Epigraphik München 1972 (1973), 585601Google Scholar.

256 Eck, W., Senatoren (cité n. 116), 249Google Scholar.

257 Voir aussi Syme, R., Révolution romaine, 556, n. 30 et 37Google Scholar.

258 Scheid, J., Les Frères Arvales, 54, 98,Google Scholar rappelle que l'on peut hésiter pour ce gouvernement entre les années 30 et 28, et opte pour cette dernière date.

259 Varro n'était certainement qu'un préteur; cf. Szramkiewicz, R., Les gouverneurs, 49Google Scholar.

300 CIL III 6687 = Gabba, E., Iscr. gr. e. lat. per lo studio della Bibbia (1958), 5261, n° 18Google Scholar. Cf. Schürer2, 399–427: ‘Excursus 1. The Census of Quirinius, Luke 2, 1–5’.

261 Syme, R., Akten des VI. Intern. Kongresses f. Gr. u. Lat. Epigr., 585601Google Scholar.

262 cf. Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 227Google Scholar, n. 53.

263 Shotter, D. C. A., ‘Cnaeus Calpurnius Piso, Legate of Syria’, Historia 23 (1974), 229–45Google Scholar.

264 Syme, R., Historia 13 (1964), 156–66Google Scholar.

265 Franke, P. R., Arch. Anzeiger 1968, 474–80Google Scholar.

266 Syme, R., ‘The Ummidii’, Historia 17 (1968), 72105Google Scholar. Durmius Quadratus est mentionné dans une inscription grecque inédite d'Apamée-sur-l'Oronte.

267 Seyrig, H., Syria 22 (1941), 155–78CrossRefGoogle Scholar; cf. Bowersock, G. W., JRS 65 (1975), 182Google Scholar.

268 Syme, R., JRS 60 (1970), 2739,Google Scholar voit dans CIL IX, 3426 les commandements exercés par Corbulon en Orient; cf. AE 1969–70, 181.

269 Garzetti, , Mélanges A. Piganiol (1966), II, 777–90Google Scholar.

270 L. Robert, CRAI 1951, 255; van Rengen, W., Colloque Apamée 1972, 108–9Google Scholar; cf. Bowersock, G. W., JRS 63 (1973). 133Google Scholar; Isaac, B. H., Roll, I., JRS 66 (1976), 1519Google Scholar.

271 Reynolds, Voir J., JRS 66 (1976), 185Google Scholar.

272 AE 1961, 319; cf. Winkler, G., Akten des VI. Intern. Kongresses f. Gr. u. Lat. Epigr., 495–8Google Scholar.

273 van Elderen, B., American School Orient. Research, Newsletter 4 (1974), 2Google Scholar, n° 1, avec photographie; AE 1973, 558.

274 Devreker, J., Akten des VI. Intern. Kongresses f. G. u. Lat. Epigr., 451Google Scholar.

275 H. Hanfmann, ‘M. Cornelius Nigrinus Curiatius Maternus, General Domitians und Rivale Trajans’, ibid., 449–50.

276 Alföldy, G. et Hanfmann, H., Chiron 3 (1973), 331–73Google Scholar; AE 1973, 283.

277 Syme, R., Akten des VI. Intern. Kongresses f. Gr. u. Lat. Epigr., 451Google Scholar. Dans ‘Legates of Mœsia’, Dacia 1968, 331–40, il datait les légations de Mésie et de Syrie entre 120 et 130. Cornelius Nigrinus ne figure pas dans Stech, B., Senatores Romani… inde a Vespasiano usque ad Traiani exitum (Klio, Beiheft 10, 1963)Google Scholar.

278 Eck, W., Senatoren (cité n. 116), 249Google Scholar. Degrassi, A., I Fasti consolari (1952), 120Google Scholar, situait Cornelius Nigrinus à la fin du Ier siècle ou au dèbut du IIe siècle.

279 G. Alföldy et H. Hanfmann, op. cit. (n. 276).

280 Habicht, Chr., Altertümer von Pergamon VIII. 3, Die Inschriften des Asklepieions (1969), 4752Google Scholar.

281 J.-P. Rey-Coquais, AAS 23 (1973), 40–1. 49; cf. J., et Robert, L., Bull, épigr. 1975, 718Google Scholar.

282 E. Groag, RE v A (1934), 669–71, avait attribué ce cursus anonyme à D. Terentius Scaurianus. Selon N. Gostar, Epigraphica, Travaux dédiés au VIIe Congrès intern, d'épigr. gr. et lat. (1977), 82–99, reprenant l'inscription de Philippes commentée par Speidel, M., JRS 60 (1970), 142–52Google Scholar, le titre de consularis [exerci]tus provindae no[vae…] donné à D. Terentius Scaurianus impliquerait qu'il ait été en même temps gouverneur de Syrie entre 113/14 et 115/16. II est absolument exclu d'identifier ce général romain avec Σκαυριανὸς Μαξίμου, auteur d'une modeste dédicace grecque dans un temple de Doura-Europos (Excav. Dura. Preliminary Report of the Third Season (1932), 59–61).

283 Syme, R., ‘The Ummidii’, Historia 17 (1968), 72105Google Scholar; mais on prendra garde que R. Syme plaçait Ummidius Quadratus avant Bruttius Praesens, lequel doit être exclu de la liste des gouverneurs Eck, W., Senatoren, 232, n. 511Google Scholar.

284 Publicius Marcellus est nommé dans une inscription de Palmyre, Dunant, Chr., Le sanctuaire de Baalshamîn III, Inscriptions, 57, n° 45Google Scholar. Sur Julius Severus, voir Syme, R., Tacitus, 631Google Scholar; Campbell, B., JRS 65 (1975). 20Google Scholar.

285 van Rengen, W., Colloque Apamée 1972, 105–6Google Scholar. Autre hypothèse, AE 1974, 651; le personnage honoré à Apamée pourrait être un fils homonyme du prolégat de 132.

286 AAS 23 (1973). 53–5; cf. J. et Robert, L., Bull, épigr. 1975, 718Google Scholar.

287 Pour le prénom d'Arrien, Λούκιος (ou Αὖλος?), voir Nt. Delmousou, , Athens Annals of Arch. 3 (1970), 377Google Scholar s.; W. Eck, RE Suppl. xiv s.v. ‘Flavius’ 44; Follet, S., Athènes au IIe et au III3 siècle, Études chronologiques et prosopographiques (1976), 34, n. 8Google Scholar.

288 Habicht, Chr., Altertümer von Pergamon VIII. 3Google Scholar, Inschr. des Asklepieions, 162, n. 4, citant Kent, J. H., Corinth VIII. 3Google Scholar, The Inscriptions (1966), n° 124, et Bowersock, G. W., Greek, Roman and Byzantine Studies 8 (1967), 279Google Scholar s. A Byblos, une inscription inédite mentionne un ἀνθύπατος φιλόσοφος, qu'honorait son ami le sophiste L. Cassius Antistius Vetus; le nom et le autres titres du proconsul philosophe ont disparu avec la cassure de la pierre. L'inscription est peut-être a verser au dossier d'Arrien.

289 W. Eck, RE Suppl. XIV s.v. ‘Flavius’ 44; Aufstieg und Niedergang II. 1 (1974), 164, n. 20; 165, n. 24 a; 202, n. 217; 215.

290 cf. Eck, W., Aufstieg und Niedergang II. 1, 188Google Scholar; Corbier, M., L'Aerarium Saturni et l'Aerarium militare (1974), 187–8Google Scholar.

291 CIL III 1437 e = IGLS vi 2777. Rea, Voir J., ZPE 26 (1977), 217–9Google Scholar.

292 E. Honigmann se fondait sur la lecture erronée d'un milliaire daté où il faut lire le nom du gouverneur d'Arable C. Julius Geminius Marcianus; le seul A. Larcius Priscus attesté en Syrie est le prolégat de 97/8, Syme, R., Philologus 1936, 238 sGoogle Scholar.

293 R. Syme, loc. cit., 249, n. 19. AE 1972, 657, dit Libo ‘légat de Syrie, où il mourut, en 163–165’.

294 Voir aussi Birley, E., Roman Britain and the Roman Army (1953), 32Google Scholar; Pflaum, H.-G., Carrèires procuratoriennes, 401–2Google Scholar; Corbier, M., L'Aerarium Saturni, 235Google Scholar.

295 Rémondon, R., ‘Les dates de la révolte d'Avidius Cassius’, Chronique d'Égypte 26 (1951), 364–77CrossRefGoogle Scholar; Bowman, A. K., ‘A Letter of Avidius Cassius?’, JRS 60 (1970), 20–6Google Scholar; Syme, R., Emperors and Biography (1971), 128–30Google Scholar; Schwartz, J., Ancient Society 4 (1973), 191–8Google Scholar; Bowman, A. K., JRS 66 (1976), 157Google Scholar. Dunant, Chr., Le sanctuaire de Baalsharnîn III, Inscriptions, n° 48Google Scholar, inscription datée de novembre 171, restitue ὁ διασημότατος ὕπα[ρχ]ος; ὑπα[τικ]ός conviendrait mieux. Je n'ai pu voir Spiess, J., Avidius Cassius und der Aufstand des Jahres 175 (Diss. München 1975)Google Scholar.

296 E. Groag, PIR e D 144 (1943).

297 cf. E. Groag, PIR e A 1211 (1933). Julius Saturninus est nommé dans une inscription inéclite de Ghoslaniyé, voir ci-dessous n. 332.

298 J. F. Gilliam, AJPh. 79 (1958), 225–42; cf. AE 1959, 4. Welles, C. B.Fink, R. O.Gilliam, J. F., The Excavations at Dura Europos, Final Report v. 1Google Scholar, The Parchments and Papyri (1959), 22 s.

299 Birley, A. R., Epigr. Studien 4 (1967), 83Google Scholar; AE 1971, 490. La découverte de Bulla Regia rend périmée l'hypothèse, cf. Chastagnol, A., Fastes de la Prefécture de Rome au Bas Empire (1962), 62Google Scholar, d'un Rufinus gouverneur de Syrie (?) vers 266–7.

300 Est exclu également de la liste Alfenius Avitianus qui, en 209/10, fut gouverneur d'Arabie. Virius Julianus, selon les acta duquel est érigée à Baalbek une statue dédiée pour le salut de l'empereur régnant Gordien III (IGLS 2716), s'il était gouverneur, l'était de Phénicie; cf. J. F. Gilliam, AJPh 1958, 228, n. 12. On l'a identifé à tort avec L. Virius Lupus Julianus, consul en 232; ainsi IGLS 2716 et Y. Hajjar, op. cit. (n. 99), 29.

301 Fink, R. O., Excav. Dura, Final Report V. 1, 231Google Scholar, n. 6, émenderait Polemius Silvius en rejetant Séleucos.

302 Voir ci-dessus, n. 299. Cf. Corbier, M., L'Aerarium Saturni, 321, n. 3, 322–3Google Scholar.

303 Voir ci-dessus, n. 224.

304 Jones, A. H. M., Martindale, J. R., Morris, J., The Prosopography of the Later Roman Empire 1 (1971), 1105–6.Google Scholar

305 Contra, Bowersock, G. W., JRS 61 (1971), 232Google Scholar, n. 84; 236.

306 Gawlikowski, M., Studia Palmyreńskie 3 (1969), 71–3Google Scholar; AE 1969–70, 610, où la restitution du nom repose sur l'inscription d'Arados, publiée AAS 18 (1968), 69–76, qui n'a pas été citée.

307 Voir ci-dessus, n. 299 et 302.

307 bis cf. Jacques, F., Ktema 2 (1977), 308–10.Google Scholar

308 cf. Chastagnol, A., Fastes de la Préfecture de Rome, 30–1Google Scholar: il n'est pas certain que l'absence de la mention des Cédars dans une inscription de la fin du IIIe siècle relative à Artorius Pius Maximus ait une signification chronologique.

309 Miltner, F., Anzeiger Oesterr. Akad. Wiss., phil.-hist. Klasse 94 (1957), 340–52Google Scholar; cf. AE 1967, 481.

310 Malcus, B., Opuscula Romana (Lund) 7 (1969), 213–37.Google Scholar

311 PLRE 1108–9.

312 Stein, E., Histoire du Bas Empire, éd. française Palanque, J.-R. (1959), 1, 70Google Scholar. Tout rapprochement est exclu avec Julius Julianus κράτιστος δοῦξ en 251–3, Excav. Dura, Final Report V. 1, 23, et avec le préfet de la légion I Parthica sous Philippe, ILS 2771.

313 Roussel, P. et de Visscher, F., Syria 23 (19421943), 173200CrossRefGoogle Scholar. Cf. Oliver, J. H., Mélanges helléniques G. Daux (1974), 289–94Google Scholar.

314 Excav. Dura, Fined Report V. 1, 399: Laberianus serait le gouverneur de Syrie Cœld Mais les gens de Goharia (Dmeir) n'avaient aucune raison de s'adresser au gouverneur de la province voisine.

315 Excav. Dura, Final Report v. 1, 22–46; H. Seyrig, Antiq. syr. III, 180–6; van Rengen, W., Colloque Apamée 1969, 99101, et 1972, 97–102Google Scholar; Wagner, J., Seleukeia am Euphrat/Zeugma (1976), 132–46Google Scholar.

316 L'article ‘legio’ de E. Ritterling, RE (1925) reste indispensable. Brèves indications dans Mann, J. C., ‘The Frontiers of the Principate’, Aufstieg und Niedergang II. 1, 522–3Google Scholar; voir aussi, dans ce même recueil, Davies, R. W., ‘The Daily Life of the Roman Soldier’, 325–31Google Scholar.

317 cf. Schürer2, 362, n. 42.

318 Wagner, J., Seleukeia, 143Google Scholar; rien n'assure que la légion IV Scythica prit part à l'expédition d'Arménie.

319 Voir le tableau dressé par Jones, A. H. M., The Later Roman Empire, 369Google Scholar.

320 Tacite, Ann. 2, 57; cf. E. Frézouls, Colloque Apamée 1969, 82.

321 Wagner, J., Seleukeia, 286Google Scholar; tuiles estampillées au nom de la légion IV Scythica, 136–7.

322 J., et Robert, L., Bull, épigr. 1949, 190Google Scholar: AE 1950, 190.

323 IGLS 1399, 1400; Arados et sa pérée, 87–8, 167. Rien n'atteste la présence à Laodicée de la légion VI Ferrata, souvent affirmée à la suite d'une lecture inattentive de la notice de E. Ritterling, RE XII. 2 (1925), 1589.

324 A l'epoque de Trajan, I Adiutrix à Cyrrhus (IGLS 234 commentaire), qui recrute en Syrie, Forni, G., dans Aufstieg und Niedergang II. 1, 378–9Google Scholar; sous Marc-Aurèle, XIII Gemina (R. Cagnat, CRAI 1928, 84; IGLS VI, p. 108, n. 1); au début du IIIe siècle, I Adiutrix et II Adiutrix à Zeugma (J. Wagner, Seleukeia, 132–4, n0 1–2), VIII Augusta à Cyrrhus (IGLS 152) et à Séleucie de Piérie (IGLS 1160), X Gemina Pia Fidelis à Zeugma (Wagner, J., Seleukeia, 134–5, n0 3Google Scholar); sous Gallien, IV Flavia et VII Claudia à Cyrrhus (IGLS 150–151), peutêtre VII Claudia à Béroé/Alep (IGLS, 179–181).

325 Voir notre Arados et sa pérée, 167. Sous les Flayiens et Trajan, la XV Apollinaris recruta en Syrie, Forni, G., Il Reclutamento delle legioni da Augusta a Diocleziano (1953), 185, 232Google Scholar.

326 van Rengen, W., Colloque Apamée 1969, 99100, et 1972, 98–101Google Scholar. Pour imposer Élagabale, les princesses syriennes d'Émèse se révoltèrent contre Macrin avec l'aide du commandant équestre de la légion II Parthica P. Valerius Comazon, cf. H.-G. Pflaum, Carrières, n° 290; Syme, R., Emperors and Biography (1971), 141–2Google Scholar.

327 Seules sont attestées en Syrie les cohortes II et III Thracum Syriaca (diplôme de 91 et de 156/7, inscription, de Soukhné; diplôme de 88; voir cidessous, n. 329 et 338). Cf. Pflaum, H.-G., Carrières, 274–6Google Scholar; Jarrett, M. G., ‘Thracian Units in the Roman Army’, Israel Exploration Journal 19 (1969), 218–20Google Scholar.

328 Cohors I Hamiorum miliaria quae est in Syria, CIL XIII, 3684, cf. Pflaum, H.-G., Libyca 1956, 139Google Scholar. Cohors miliaria Italica voluntariorum quae est in Syria, CIL XI, 6117, cf. Pflaum, H.-G., Castellum Arsacalitanum, 13Google Scholar. Cohors II Italica CR … exercitus syriaci, CIL III, 13483 a, cf. Schürer2, 365, n. 54. Ala I Bosporana, CIL VIII, 26603 et 15529, revus par C. Poinssot, cf. AE 1969–70, 649 et 653. Ala (VII) Phrygum, ala III Thracum, CIL n, 4251 = ILS 2711, cf. Habicht, Chr., Altertümer von Pergamon III, Inschr. des Asklepieions, 69Google Scholar.

329 CIL XVI, 35 (trois ailes et dix-sept cohortes); AE 1961, 319 (trois ailes et sept cohortes); CIL XVI, 106 (quatre ailes et seize cohortes). Seule la cohorte II Italica CR apparaît dans les trois diplômes; l'ala III Augusta Thracum CR et les cohortes I Thracum miliaria, II Thracum CR, I Sebastena figurent à la fois en 88 et en 91; la cohorte II Thracum syr. est mentionnée en 91 et en 156/7. Quatre cohortes, absentes de 91, apparaissent en 88 et en 156/7, I Augusta Pannoniorum, II Classica, III Augusta Thracum, IV Callaecorum Lucensium (sur cette dernière, voir Roxan, M. M., Epigr. Studien 9 (1972), 246–7Google Scholar = AE 1972, 669). Deux des ailes et dix des cohortes mentionnées en 156–7 sont des créations de Trajan.

330 Welles, C. B., dans Kraeling, H., Gerasa, City of the Decapolis (1938), n° 199201Google Scholar.

331 W.-H. Waddington, Inscr. Syrie 2121; cf. H. Seyrig, Antiq. syr. 1, 80.

332 Inédit, copie de R. Mouterde: … cos. v l coh. I. Aug. l [P]ann. eq(uitata). l sub Iulio Sal turnino leg. l Aug. pr. pr. per l Petron(ium) Crescenl tern praef. coh. l eiusdem. Cette cohorte serait plutôt la cohorte I Aug. Pannoniorum attestée en Syrie (CIL XVI, 35 et 106) que la cohorte I Pannoniorum eq(uitata) veter(ana), AE 1929, 125.

333 Le camp est situé à l'Est de Dmeir, au lieu-dit Khirbet Maqsoura; voir R. Brünnow et von Domaszewski, A., Die Provincia Arabia III (1909), 187 s.Google Scholar; Poidebard, A., La trace de Rome dans le désert de Syrie (1934), 43 et 194Google Scholar.

334 CIL III, 6658; la cohorte I Flavia Chalcidenorum est mentionnée dans le diplôme de 156/7, CIL XVI, 106; CIL III, 130 et 141602. Une écuyer d'un préfet de l'aile des Voconces, natif de Thelséa, fait une dédicace au temple de Dmeir (OGI 628). Voir Alt, A., ‘Ein Dorfbezirk im Hinterland von Damaskus’, Aus Antike und Gegenwart, Festschrift Schubart (1950), 2535Google Scholar.

335 W.-H. Waddington, Inscr. Syrie 2562 m et n; CIL III, 131 et 132 avec add. 141603.

336 On peut supposer qu'il y avait une garnison romaine à Palmyre dès l'époque flavienne, cf. H. Seyrig, Antiq. syr. III, 146, 155.

337 Voir H. Seyrig, Antiq. syr. I, 77–80; III, 180–6; nouvelle attestation de la cohors I Fl(avia) Chalc(idenorum) eq(uitata) sag(ittariorum), Gawlikowski, M., Studia palmyreńskie 3 (1969), 73–4Google Scholar.

338 H. Seyrig, Antiq. syr. I, 71; Poidebard, A., La trace de Rome, 78Google Scholar. L'inscription a échappé à Jarrett, M. G., Israel Exploration Journal 19 (1969), 219Google Scholar.

339 Excav. Dura, Final Report v. 1, 22–46.

340 ibid., 24–6.

341 ibid., 40.

342 ibid., n° 60 B.

343 ibid., n° 26.

344 ibid., n° 30.

345 R. Stucky, AAS 23 (1973), 163–200, notamment 176: briques estampillées; cf. Antiquiés de l'Euphrate (Direction des Antiquités de Syrie 1974), 94–7. A Tell Kannas, tombes de légionnaires romains, non datées, Finet, A., ‘Aperçu sur les fouilles beiges de Tell Kannas’, AAS 22 (1972), 64Google Scholar.

346 IGLS 140; créée en 54 après J.-C, AE 1969–70, 649.

347 H. Seyrig, Antiq. syr. III, 180–4.

348 Premerstein, A. v., Jahreshefte des Oesterr. Arch. Institute 1911, 200Google Scholar = ILS 9471 = AE 1911, 161.

349 Excav. Dura, Final Report v. 1, 23.

350 ibid., 24–6.

351 Wagner, Voir J., Seleukeia am Euphrat/Zeugma, 146, n. 133Google Scholar. A Dibsi-1-Faraj (antique Athis?), les fouilles ont montré l'importance du site à l'époque de Dioclétien, Harper, R. P. (trad. Raymond, A.), Antiquiés de l'Euphrate (Direction des Antiquités de Syrie, 1974), 103–6Google Scholar, cf. Margueron, J.-C., Ktema I (Strasbourg 1976), 71Google Scholar.

352 Poidebard, A., La trace de Rome dans le désert de Syrie, Le Limes de Trajan à la conquête arabe, Recherches aériennes (1934)Google Scholar; Mouterde, R. et Poidebard, A., Le Limes de Chalcis, Organisation de la steppe en Haute Syrie romaine (1945)Google Scholar.

353 cf. H. Seyrig, Antiq. syr. III, 174, n. 2; 179, n. 3. Un stratège contre les nomades, Ingholt, H., Syria 13 (1932), 278 s.CrossRefGoogle Scholar; H. Seyrig, Antiq. syr. III, 186. Un stratège de Gamala et ‘Ana, A. Poidebard, La trace de Rome, 112; les cavaliers de l'aile de Gamala et ‘Ana, Chr. Dunant, Le sanctuaire de Baahhamîn III, Inscriptions, 65Google Scholar, n° 51 (cf. Milik, J. T., Dédicaces faites par des dieux, 64–5Google Scholar). L'inscription grecque découverte par O. Grabar à quelque 120 km. au NE de Palmyre, prés de Soukhné et Tayyié, proviendrait de Palmyre, car il est douteux qu'à l'époque de Marc-Aurèle et de Lucius Verus il y ait eu un établissement remain sur le site, Bowersock, G. W., Chiron 6 (1976), 349–55Google Scholar.

354 cf. IGR III, 119 et 1144; Seyrig, H., Syria 42 (1965), 31–4CrossRefGoogle Scholar.

355 cf. Sourdel, D., Les cultes du Hauran à l'époque romaine, 512Google Scholar.

356 CIL III, 755 + 993 = Besheliev, Spätgr. u. Spätlat. Inschr. Bulgarien, n° 48; PLRE, 547, s.v. ‘Marcellinus’ 14. Au NE de Damas, sous Septime-Sévère, le gouverneur aurait fait construire un fort in securitatem publicam et Scaenitarum Arabum terrorem, CIL III, 128 (copie de Des Monceaux, interpolée).

357 Fellmann, R., ‘Le “camp de Dioclétien” à Palmyre’, Mélanges d'Hist. Ancienne et d'Arch. Paul Collart (1076), 173–91Google Scholar; Gawlikowski, M., ‘Le camp de Dioclétien, Bilan préliminaire’, Palmyre, Colloque Strasbourg 1973 (1976), 153–63Google Scholar. Dédicace d'un optio princeps à l'automne 302 après Dunant, J.-C. Chr, Le sanctuaire de Baalshamîn III, Inscriptions, 43–4, n° 31Google Scholar.

358 Bowersock, G. W., JRS 63 (1973), 133–6Google Scholar, a rappelé l'importance des travaux routiers sous les Flaviens. Fitz, J., Les Syriens à Interdsa (1972), 88Google Scholar, parlant d'un vaste programme de réfection des routes à l'échelle de l'empire, cite pour la Syrie seulement CIL III, 205; mais CIL HI, 6723 et 6725 attestent sous le méme gouverneur les travaux de la voie Hama-Palmyre et ce programme était déja en cours sur la route Béryte-Hélioupolis, IGLS 2958, sur la route du Ledja, Dunand, M., Mém. Acad. Inscr. XIII. 2 (1933)Google Scholar. ou en Syrie du Nord (réfection du pont de Kiakhta, IGLS 39–40; construction d'une route Bérée-Hiérapolis, Frézouls, E., Colloque Apamée 1969, 82Google Scholar). L'armée construit et restaure routes et ponts: route d'Abilène, CIL III, 199–201, route du Nahr el-Kelb, CIL III, 206–7, route de l'Euphrate près de Aïni, IGLS 66, pont de Kiakhta sur le fleuve Chabinas (Boula-sou); sur ce pont, voir Lugli, G., Mélanges Piganiol (1966), 1057Google Scholar.

359 Voir nos notes IGLS VI, p. 29–30, et surtout Arados et sa pérée, 85–9.

360 van Rengen, w., Colloque Apamée 1972, 107–10Google Scholar.

361 A. Bounni, AAS 10 (1960), 159–64; cf. AAS 21 (1971), 126. Autre milliaire au nom de Fabius Justus AE 1940, 210; cf. Eck, W., Aufstieg und Niedergang 11. 1, 168Google Scholar, n. 41 Rappelons, entre Palmyre et Horns, à Tyas, un milliaire de Dioclétien, Poidebard, A., La trace de Rome, 200, n. 1Google Scholar.

362 J. Mécérian, MUSJ 38 (1962), 301.

363 P. J. Riis, AAS 15. 2 (1965), 75; sur cette route, Goodchild, R., ‘The Coast Road of Phoenicia and its Milestones’, Berytus 9 (19481949), 91127Google Scholar.

364 Voir AE 1972, 626–8, transports, depuis la Pamphylie, des approvisionnements des armées de Syrie.

365 Kienast, D., Untersuchungen zu den Kriegsflotten der röm. Kaiserzeit (1966), 87–9Google Scholar. Deux présets seulement de la classis Syriaca sont connus, au IIe siècle; voir Pflaum, H.-G., Carrières, 1081Google Scholar. Sur le cimetière des marins et des officiers de la flotte à Séleucie, voir Seyrig, H., Mélanges syriens R. Dussaud 1 (1939), 451–9Google Scholar; IGLS 1155–82. A É-phèse, un naupegus aupiciarius de la flotte de Syrie, AE 1972, 582.

366 D. Kienast, op. cit., 90–3. Voir aussi Robert, L., L'Antiquité Classique 35 (1966), 406CrossRefGoogle Scholar, n. 2; Journal des Savants 1973, 171.

367 Pflaum, H.-G., Carrières, 1080–2Google Scholar. Aemilius Juncus, proc. Aug., dont on a trouvé le nom sur une conduite d'eau en plomb à Béryte, AE 1903, 116, serait le père du consul suffect de 127, mais ne serait pas ce Juncus, proc. provinciae Asiae, qui fit une brillante carrière équestre (identification qu'avait faite Pflaum, H.-G., Carrières, 281–3, n° 116Google Scholar); voir Oliver, J. H., Hesperia 36 (1967), 4456Google Scholar; discussion dans AE 1967, 452. Cf. Follet, S., Athènes au IIe et au IIIe siècle (1976), 32–4Google Scholar.

368 Pflaum, H.-G., Bull. Soc. Antiq. France 1970, 265–72Google Scholar; AE 1973, 548.

369 Inscription inédite, trouvée dans les fouilles menées à Tyr par l'Éimir Maurice Chéhab.

370 R. Mouterde, MUSJ 34 (1957), 231 s.

371 Millar, F., JRS 53 (1963), 199Google Scholar; The Emperor in the Roman World (1977), 315.

372 Excav. Dura, Final Report V. I, 229–34, n° 64.

373 ibid., n° 60; cf. p. 22.

374 ibid., n° 97.

375 Dans le papyrus de Doura n° 81, Davies, R. W., JRS 57 (1967), 20–2Google Scholar, lit … proc …; mais R. O. Fink, AJA 88 (1967), 84–5, lit … prae …; cf. AE 1967, 524.

376 Pflaum, H.-G., Procurateurs équestres (1950), 33 sGoogle Scholar.

377 Rey-Coquais, J.-P., Inscr. gr. et lat. découvertes dans les fouilles de Tyr I, Inscriptions de la nécropole (= BMB 29, 1977), 57–9Google Scholar, n° 100, avec remarque sur la date p. 167.

378 Dunant, Chr., Le sanctuaire de Baalshamîn III, Inscriptions, n° 20Google Scholar; cf. J. Starcky, Rev. arch. 1974, I, 89.

379 cf. Pflaum, H.-G., Carrières, 1081Google Scholar.

380 Seyrig, H., Syria 22 (1941), 263–6CrossRefGoogle Scholar = Antiq. syr. III, 207–10. Cf. de Laet, S., Portorium (1949), 331–41Google Scholar; Andreotti, R., ‘Su alcuni problemi del rapporto fra politica di sicurezza e controllo del commercio nell'impero romano’, Rev. intern. Droits Antiquité 16 (1969), 215–57Google Scholar.

381 Deléage, A., La capitation du Bos-Empire (1945), 152–6Google Scholar; E. Stein, Histoire du Bos-Empire, éd. fr. J.-R. Palanque (1959), 1, 441, n. 4 4; cf. Faure, E., Étude de la Capitation de Dioclétien d'après le Panégyrique VIII (1961), 64–6Google Scholar; Callu, J.-P., Politique monétaire, 322, 416Google Scholar.

382 Seyrig, H., Tchalenko, dans G., Villages antiques de la Syrie du Nord III (1958), 67Google Scholar.

383 H. Seyrig, ibid., 6–11, 51 (carte). Cf. Robert, L., Hellenica XI–XII (1960), 319Google Scholar, n. 6. Adinolfi, Ajouter M., Oriens Antiquus 4 (1965), 71–5Google Scholar; cf. J., et Robert, L., Bull, épigr. 1966, 467Google Scholar.

384 H. Seyrig, op. cit., 7.

385 Wruck, W., Die Syrische Provinzialprägung von Augustus bis Traian (1931)Google Scholar.

386 Pour une série de dupondii et d'as frappés sous Claude, Franke, P. R., Arch. Anzeiger 1968, 476Google Scholar, propose une datation corrigée. Voir aussi Callu, J.-P., Politique monétaire, 158Google Scholar, rectifications proposées par H. Seyrig et A. R. Bellinger.

387 C. M. Kraay, RN 1965, 58–68.

388 j.-p callu La politique monétaire. Malgré les dates indiquées dans le titre (cité n. 75), l'ouvrage, on l'a vu, est riche de renseignements sur la période antérieure. Compte-rendu de J. Lafaurie, RN 1970, 156–8.

389 J.-P. Callu, op. cit, 162–77.

390 E. T. Newell, ‘The pre-imperial coinage of Roman Antioch’, Num. Chron. 1919, 69–113; cf. J.-P. Callu, op. cit., 12–13, 105; Sutherland, C. H. V., Monnaies romaines (trad. de Roquefeuil, S., 1974). 152. 159. 161Google Scholar; J.-B. Giard, RN 1970, 40–3 (sous Claude).

391 J.-P. Callu, op. cit., 269, n. 1.

392 J.-P. Callu, ibid., 162–76, 236.

393 J.-P. Callu, ibid., 162–4.

394 Excav. Dura, Final Report v. 1, 225; J.-P. Callu, op. cit., 166, 421–2.

395 Chabot, J.-B., Choix d'inscr. de Palmyre (1922), 35Google Scholar; cf. J.-P. Callu.op. cit., 147.

396 Excav. Dura, Final Report v. 1, 8.

397 Voir ci-dessus, n. 75.

398 Excav. Dura, Final Report v. 1, n° 20 (121 après J.-C), n° 23 (134 après J.-C), n° 25 (180 après J.-C).

399 Welles, C. B., dans Kraeling, H., Gerasa, City of the Decapolis, 374–6, n° 3–5Google Scholar.

400 Yadin, Y., ‘The Cave of the Letters’, Israel Exploration Journal 12 (1962), 244–5Google Scholar, n. 28 (vers 128–130 après J.-C).

401 cf. Excav. Dura, Final Report v. i, 9, n. 14; 164, n. 20. Callu, J.-P., Politique monétaire 144, 167–8, 187Google Scholar.

402 IGR III, 1047; cf. J.-P. Callu, op. cit., 147–9.

403 J.-P. Callu, ibid., 13–14.

404 Excav. Dura, Final Report v. 1, n° 31: cf. p. 8–9.

405 ibid., 164, n° 20.

406 CIS 11, 3948 (= IGR HI, 1050).

407 Guey, J., Syria 38 (1961), 261–74CrossRefGoogle Scholar; Bull. Soc. Fr. Numismatique 19 (1964), 383–4Google Scholar, s'opposant à Buttrey, T. V., Berytus 14 (1963), 117–28Google Scholar.

408 Callu, J.-P., Politique monétaire, 12–13, 25–6, 104–7Google Scholar. Il n'y eut pas prescription du droit de monpnayage, ibid., 27.

409 J.-P. Callu, ibid., 28–9; 110.

410 cf. C. Brénot et H.-G. Pflaum, RN 1965, 154.